La production de phosphate constitue une ressource économique importante pour la Tunisie comme pour le Maroc. Et ce, bien que les approches relatives à la gestion environnementale présentent des différences notables.
Par exemple, au Maroc, les autorités ont cessé les rejets en mer depuis 2009. Illustrant ainsi un suivi rigoureux des effluents industriels liés à cette production. En Tunisie, les rejets de phosphogypse dans le Golfe de Gabès se poursuivent, avec un volume estimé à environ 13 000 tonnes par jour. Ce qui soulève des enjeux importants pour l’écosystème marin et la biodiversité.
Concernant la pollution de l’air, les installations marocaines disposent de dispositifs avancés de filtration et de monitoring. Ce qui permet de limiter l’impact atmosphérique; même si la pollution demeure un sujet à surveiller autour des sites de production. En Tunisie, notamment dans les régions de Gabès et Gafsa, des phénomènes tels que les pluies acides sont observés. Ce qui met en lumière la nécessité de renforcer les infrastructures pour mieux maîtriser la qualité de l’air et préserver la santé des populations environnantes.
Pour la gestion des déchets solides, au Maroc une surveillance régulière contribue à éviter leur accumulation excessive près des zones industrielles. En Tunisie, des initiatives de gestion des déchets pourraient permettre de mieux encadrer le stockage et le traitement des déchets. Et ce, afin de réduire les risques environnementaux et sanitaires.
La surveillance des nappes phréatiques est activement menée au Maroc pour limiter la contamination industrielle. En Tunisie, des cas de pollution des eaux souterraines autour de Gafsa indiquent l’importance d’accroître les mécanismes de contrôle pour protéger les ressources en eau potable et soutenir l’agriculture locale.
Globalement, le secteur phosphatier marocain a bénéficié d’investissements significatifs pour moderniser ses infrastructures et renforcer les contrôles environnementaux. La Tunisie, quant à elle, poursuit ses efforts pour adapter son modèle de gestion. De même qu’elle souhaite encourager davantage d’innovations technologiques et de régulations adaptées. Ce qui permettra d’allier développement économique et préservation environnementale
L'économiste maghrébin Tunisie
Par exemple, au Maroc, les autorités ont cessé les rejets en mer depuis 2009. Illustrant ainsi un suivi rigoureux des effluents industriels liés à cette production. En Tunisie, les rejets de phosphogypse dans le Golfe de Gabès se poursuivent, avec un volume estimé à environ 13 000 tonnes par jour. Ce qui soulève des enjeux importants pour l’écosystème marin et la biodiversité.
Concernant la pollution de l’air, les installations marocaines disposent de dispositifs avancés de filtration et de monitoring. Ce qui permet de limiter l’impact atmosphérique; même si la pollution demeure un sujet à surveiller autour des sites de production. En Tunisie, notamment dans les régions de Gabès et Gafsa, des phénomènes tels que les pluies acides sont observés. Ce qui met en lumière la nécessité de renforcer les infrastructures pour mieux maîtriser la qualité de l’air et préserver la santé des populations environnantes.
Pour la gestion des déchets solides, au Maroc une surveillance régulière contribue à éviter leur accumulation excessive près des zones industrielles. En Tunisie, des initiatives de gestion des déchets pourraient permettre de mieux encadrer le stockage et le traitement des déchets. Et ce, afin de réduire les risques environnementaux et sanitaires.
La surveillance des nappes phréatiques est activement menée au Maroc pour limiter la contamination industrielle. En Tunisie, des cas de pollution des eaux souterraines autour de Gafsa indiquent l’importance d’accroître les mécanismes de contrôle pour protéger les ressources en eau potable et soutenir l’agriculture locale.
Globalement, le secteur phosphatier marocain a bénéficié d’investissements significatifs pour moderniser ses infrastructures et renforcer les contrôles environnementaux. La Tunisie, quant à elle, poursuit ses efforts pour adapter son modèle de gestion. De même qu’elle souhaite encourager davantage d’innovations technologiques et de régulations adaptées. Ce qui permettra d’allier développement économique et préservation environnementale
L'économiste maghrébin Tunisie

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