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Dix questions à poser aux sionistes.

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  • Dix questions à poser aux sionistes.

    Dix questions (qui tuent) à poser aux sionistes
    par le rabbin Michael Dov Weissmandl
    http://www.nkusa.org/HistoricalDocuments/tenquestions.cfm
    [L'auteur est le doyen de la Yeshiva Nitra, et il est l'auteur de min hametzar]

    Publié par l'auteur en 1948, et maintes fois réédité
    traduit de l'anglais par Marcel Charbonnier


    1/ Est-il vrai qu'en 1941, puis à nouveau en 1942, la Gestapo allemande a offert à tous les juifs européens la possibilité de transiter en Espagne, s'ils renoncent à tous leurs biens en Allemagne et en France occupée, aux deux conditions ci-après :
    a) aucun des déportés ne devraient partir d'Espagne pour la Palestine ;
    b) tous les déportés seraient acheminés d'Espagne aux Etats-Unis ou dans des colonies britanniques, afin d'y demeurer ; des visas d'entrée seraient accordés aux juifs vivant dans ces contrées ; une rançon d'un montant de 1 000 dollars pour chaque famille serait fournie par l'Agence [juive], à l'arrivée desdites familles à la frontière espagnole, au rythme de mille familles par jour ?

    2/ Est-il vrai que les dirigeants sionistes de Suisse et de Turquie ont accepté cette offre, pleinement conscient du fait que l'exclusion de la Palestine, comme destination des déportés, était fondée sur un accord passé entre la Gestapo et le Mufti [de Jérusalem] ?

    3/ Est-il exact que la réponse faite par les dirigeants sionistes fut négative, et accompagnée des commentaires suivants :
    a) Seule, la Palestine pourrait être considérée une destination acceptable pour les déportés ;
    b) Les juifs européens doivent souffrir davantage et mourir en plus grand nombre que les autres nations, afin que les alliés, une fois victorieux, avalisent un « Etat juif » à la fin de la guerre ;
    c) Aucune rançon ne sera payée ?

    4/ Est-il exact que la réponse à l'offre de la Gestapo a été faite dans une connaissance totale du fait que l'alternative à cette offre, c'étaient les chambres à gaz ?

    5/ Est-il vrai qu'en 1944, à l'époque des déportations en Hongrie, une offre similaire avait été faite, ce qui aurait permis de sauver tous les juifs de ce pays ?

    6/ Est-il vrai que cette même hiérarchie sioniste a, à nouveau, refusé cette offre (après que les chambres à gaz aient déjà prélevé leur effroyable tribut de plusieurs millions de victimes) ?

    7/ Est-il vrai qu'au plus haut des tueries, durant la guerre, 270 membres du Parlement britannique ont proposé d'évacuer quelque 500 000 juifs d'Europe, et de les réinstaller dans des colonies britanniques, dans le cadre de négociations diplomatiques avec l'Allemagne ?

    8/ Et n'est-il pas vrai que cette offre a été rejetée par les dirigeants sionistes, avec ce commentaire : « Vers la Palestine, sinon rien ! » ?

    9/ Est-il exact que le gouvernement britannique a accordé des visas à 300 rabbins et membres de leur famille, leur permettant de se rendre dans l'Île Maurice, ainsi qu'un sauf-conduit pour les personnes évacuées via la Turquie. Les dirigeants de l' « Agence juive » ont saboté ce plan, faisant remarquer qu'il était déloyal vis-à-vis de la Palestine et que les 300 rabbins, ainsi que les membres de leur famille méritaient d'être gazés.

    10/ Est-il vrai que durant les négociations mentionnées plus haut, Chaim Weitzman, le premier « homme d'Etat juif » déclara : « La partie la plus précieuse de la nation juive est d'ores et déjà en Palestine, et ces juifs-là, qui vivent en-dehors de la Palestine, n'ont pas tellement d'importance ». L'adjoint de Weitzman, Greenbaum, aggrava cette déclaration, faisant la remarque suivante : « Une vache, en Palestine, est plus précieuse que tous les juifs d'Europe » ?

    Il y aurait bien d'autres questions similaires à poser à ces dégénérés athées, plus connus sous le nom d' « hommes d'Etat juifs », mais, pour le moment, laissons-les répondre aux dix questions.

    Ces « hommes d'Etat » sionistes, si grande était leur clairvoyance, voulaient mettre un terme à deux mille ans d'obéissance juive et de compromis politiques juifs respectant l'ordre divin. Avec leur militance offensive, ils ont attisé les incendies de l'antisémitisme en Europe, et ils ont réussi à forgé une chaîne de haine anti-juive entre l'Allemagne nazie et les pays environnants.

    Ce sont ces « hommes d'Etat » qui avaient organisé le boycott totalement irresponsable contre l'Allemagne, en 1933. Ce boycott a été, pour l'Allemagne, ce qu'une piqûre de puce est à un éléphant ; en revanche, il a causé la catastrophe pour les juifs d'Europe. En des temps où l'Amérique et l'Angleterre étaient en paix avec le chien fou Hitler, les « hommes d'Etat » sionistes ont négligé la seule méthode plausible d'aménité politique ; et, par leur boycott, ils ont suscité chez le dirigeant de l'Allemagne une colère frénétique. Ensuite, après le pire épisode de l'histoire juive, ces « hommes d'Etat » sioniste ont trompé les réfugiés brisés dans les camps de personnes déplacées, les maintenant dans la faim et les privations, et leur demandant de refuser toute proposition de réinstallation ailleurs qu'en Palestine, à seule fin de pouvoir y installer leur Etat.

    Les « hommes d'Etat » sionistes ont incité, et continuent à inciter, une jeunesse juive amère dans des guerres inutiles contre les puissances mondiales, comme l'Angleterre, ainsi que contre des masses arabes se comptant par centaines de millions.

  • #2
    L'article du Guardian parle de la connivence des Sionistes avec les Nazis et du pacte secret entre Israel et le régime raciste de Pretoria.
    La photo montre l'accueil chaleureux réservé au premier ministre Sud Africain, le Nazi John Vorster par les dirigeants sionistes lors de sa visite à Jerusalem occupée en 1976.
    ""
    Brothers in arms - Israel's secret pact with Pretoria

    During the second world war the future South African prime minister John Vorster was interned as a Nazi sympathiser. Three decades later he was being feted in Jerusalem. In the second part of his remarkable special report, Chris McGreal investigates the clandestine alliance between Israel and the apartheid regime, cemented with the ultimate gift of friendship - A-bomb technology
    South Africa's prime minister John Vorster (second from right) is feted by Israel's prime minister Yitzhak Rabin (right) and Menachem Begin (left) and Moshe Dayan during his 1976 visit to Jerusalem. Photograph: Sa'ar Ya'acov

    Read the first part of Chris McGreal's report
    Several years ago in Johannesburg I met a Jewish woman whose mother and sister were murdered in Auschwitz. After their deaths, she was forced into a gas chamber, but by some miracle that bout of killing was called off. Vera Reitzer survived the extermination camp, married soon after the war and moved to South Africa.
    Reitzer joined the apartheid Nationalist party (NP) in the early 1950s, at about the time that the new prime minister, DF Malan, was introducing legislation reminiscent of Hitler's Nuremberg laws against Jews: the population registration act that classified South Africans according to race, legislation that forbade sex and marriage across the colour line and laws barring black people from many jobs.
    Reitzer saw no contradiction in surviving the Holocaust only to sign up for a system that was disturbingly reminiscent in its underpinning philosophy, if not in the scale of its crimes, as the one she had outlived. She vigorously defended apartheid as a necessary bulwark against black domination and the communism that engulfed her native Yugoslavia. Reitzer let slip that she thought Africans inferior to other human beings and not entitled to be treated as equals. I asked if Hitler hadn't said the same thing about her as a Jew. She called a halt to the conversation.
    Reitzer was unusual among Jewish South Africans in her open enthusiasm for apartheid and for her membership of the NP. But she was an accepted member of the Jewish community in Johannesburg, working for the Holocaust survivors association, while Jews who fought the system were frequently ostracised by their own community.
    Many Israelis recoil at suggestions that their country, risen from the ashes of genocide and built on Jewish ideals, could be compared to a racist regime. Yet for years the bulk of South Africa's Jews not only failed to challenge the apartheid system but benefited and thrived under its protection, even if some of their number figured prominently in the liberation movements. In time, Israeli governments too set aside objections to a regime whose leaders had once been admirers of Adolf Hitler. Within three decades of its birth, Israel's self-proclaimed "purity of arms" - what it describes as the moral superiority of its soldiers - was secretly sacrificed as the fate of the Jewish state became so intertwined with South Africa that the Israeli security establishment came to believe the relationship saved the Jewish state.
    Afrikaner anti-semitism
    Apartheid sought to segregate every aspect of life from the workplace to the bedroom, even though whites in practice were dependent on black people as a workforce and servants. Segregation evolved into "separate development" and the bantustans - the five nominally "independent" homelands where millions of black people were dumped under the rule of despots beholden to Pretoria.
    When the Nationalist party government first gained power in Pretoria in 1948, the Jews of South Africa - the bulk of them descendants of refugees from 19th-century pogroms in Lithuania and Latvia - had reason to be wary. A decade before Malan became the first apartheid-era prime minister, he was leading opposition to Jewish refugees from Nazi Germany entering South Africa. In promoting legislation to block immigration, Malan told parliament in 1937: "I have been reproached that I am now discriminating against the Jews as Jews. Now let me say frankly that I admit that it is so."
    South African anti-semitism had grown with the rise of Jews to prominence in the 1860s, during the Kimberly diamond rush. At the turn of the century, the Manchester Guardian's correspondent, JA Hobson, reflected a view that the Boer war was being fought in the interests of a "small group of international financiers, chiefly German in origin and Jewish in race". Fifty years later, Malan's cabinet saw similar conspiracies. Hendrik Verwoerd, editor of the virulently anti-semitic newspaper, Die Transvaler, and future author of "grand apartheid", accused Jews of controlling the economy. Before the second world war, the secret Afrikaner society, the Broederbond - which included Malan and Verwoerd as members - developed ties to the Nazis. Another Broederbond member and future prime minister, John Vorster, was interned in a prison camp by Jan Smuts's government during the war for his Nazi sympathies and ties to the Grey Shirt fascist militia.
    Don Krausz, chairman of Johannesburg's Holocaust survivors association, arrived in South Africa a year after the war, having survived Hitler's camps at Ravensbrück and Sachsenhausen when much of his extended family did not. "The Nationalists had a strongly anti-semitic platform before 1948. The Afrikaans press was viciously anti-Jewish, much like Der Stürmer in Germany under Hitler. The Jew felt himself very much threatened by the Afrikaner. The Afrikaner supported Hitler," he says. "My wife comes from Potchefstroom [in what was then the Transvaal]. Every Jewish shop in that town was blown up by the Grey Shirts. In the communities that were predominantly Afrikaans, the Jews were absolutely victimised. Now the same crowd comes to power in 1948. The Jew was a very frightened person. There were cabinet ministers who openly supported the Nazis."
    Helen Suzman, a secular Jew, was for many years the only anti-apartheid voice in parliament. "They didn't fear there would be a Holocaust but they did fear there might be Nuremberg-style laws, the kind that prevented people practising their professions. The incoming government had made it clear that race differentiation was going to be intensified, and the Jews didn't know where they were going to fit into that," she says.
    Many South African Jews were soon reassured that, while there would be Nuremberg-style laws, they would not be the victims. The apartheid regime had a demographic problem and it could not afford the luxury of isolating a section of the white population, even if it was Jewish. Within a few years many South African Jews not only came to feel secure under the new order but comfortable with it. Some found echoes of Israel's struggle in the revival of Afrikaner nationalism.
    Many Afrikaners saw the Nationalist party's election victory as liberation from bitterly hated British rule. British concentration camps in South Africa may not have matched the scale or intent of Hitler's war against the Jews, but the deaths of 25,000 women and children from disease and starvation were deeply rooted in Afrikaner nationalism, in the way the memory of the Holocaust is now central to Israel's perception of itself. The white regime said that the lesson was for Afrikaners to protect their interests or face destruction.
    "What the Nats were trying to do was protect the Afrikaner," says Krausz. "Especially after what was done to them in the Boer war, where the Afrikaner was reduced almost to a beggar on returning after the war, whether it was from the battlefield or some sort of concentration camp. They did it to protect the Afrikaner, his predominance after 1948, his culture."
    There was also God. The Dutch Reformed Church, prising justifications for apartheid out of the Old Testament and Afrikaner history, seized on the victory over the Zulus at the battle of Blood River as confirming that the Almighty sided with the white man.
    "Israelis claim that they are the chosen people, the elect of God, and find a biblical justification for their racism and Zionist exclusivity," says Ronnie Kasrils, South Africa's intelligence minister and Jewish co-author of a petition that was circulated amongst South African Jewry protesting at the Israeli occupation of Palestinian territory.
    "This is just like the Afrikaners of apartheid South Africa, who also had the biblical notion that the land was their God-given right. Like the Zionists who claimed that Palestine in the 1940s was 'a land without people for a people without land', so the Afrikaner settlers spread the myth that there were no black people in South Africa when they first settled in the 17th century. They conquered by force of arms and terror and the provocation of a series of bloody colonial wars of conquest."

    Lire tout l'article: http://www.guardian.co.uk/world/2006...hafrica.israel ""

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    • #3
      Je le demande s'ils ne leur ont pas posé la question suivante:

      Comment peut-on caser 200 juifs dans une automobile?
      La philosophie, ou l'art du discours vain

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      • #4
        Pour être court, le FLN auraient répondu de même façon a la France, plus ils y a des victimes algériennes et de préférence des enfants et des femmes, la cause algérienne se transformera vers un droit , plutôt guerre d'indépendance.

        Ce que les chef juifs ont fait, et de la pure résistance, le premier d'entre vous qui me dira le contraire, je lui dirais d'aller lire l'history du Colonel Amirouche et pas seulement et ce qu'il a fait dans les villages de la Kabylie pour ........ je vous laisse deviner.

        Retenez cela, plus ils y a des victimes et de préférence des enfants et des femmes, la cause se transformera en un droit

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        • #5
          Je vois ou tu veux en venir ya Daoud mais ceci n'empèche pas que AMIROUCHE reste un Homme d'une loyauté incomparable et d'une dignité que seul les grands hommes comme lui peuvent s'en orgueiller.
          L'Algerie du début du 20em siècle en a enfanter qques un .........
          Dont ces deux noms qui suivent......

          Amirouche et Si El Haouès, en route vers la Tunisie en fin mars 1959, aient pu être "balancés" à partir de Tunis. Le colonel Amirouche avait une réputation de baroudeur et d’organisateur qui avait fait que le petit peuple l’a adoubé, adoré et aimait le comparer à Omar Ibn El Khattab, le troisième calife de l’Islam. Parmi les locutions à connotation prophétique, Amirouche disait aux moudjahidine : "Ne croyez pas que vous rejoindrez vos familles dès la fin de la guerre. Pendant dix ans, nous resterons dans les montagnes et chaque fois qu’un gouvernement n’œuvrera pas dans l’intérêt du peuple, nous le remplacerons par un autre".

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          • #6
            perso j'ai une seule question et pas dix

            - combien vous faut il de temps pour vous apercevoir que votre ideologie est sans issue ?

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            • #7
              - combien vous faut il de temps pour vous apercevoir que votre ideologie est sans issue ??????
              T'inquiète ya Tizi tout programme a une issue , l'essentiel c'est de laisser le temps au temps
              Il y en eu d'autres avant qui disaient pareille et ceux là font souvent partie des perdants.
              Tant qu'il y a de la vie il y a de l'éspoire.

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              • #8
                @tizi::

                Si les juifs avaient suivis les conseilles tel que les donnes,
                ils ne seraient jamais n palestine
                Pendant 2000 ans leurs seul mot au lever du jour : Mazel-Tov l'année prochaine à jerusalem.................

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                • #9
                  oui myra je connais cette priere, mais perso, je ne suis pas trés fan des ecritures bibliques, je me dit que l'etre humain qu'il soit juif,chretien ou moslem, interpretera chaque texte de lois comme ca lui chante, d'ailleurs, pourquoi avoir "inventé" les avocats, si ce n'est pour etre en phase avec nos hypocrisie non ?

                  Commentaire


                  • #10
                    pourquoi avoir "inventé" les avocats, si ce n'est pour etre en phase avec nos hypocrisie non ?

                    Donc tu ne me donnerais pas tort d'étre l'avocat de mes correlegionnaires

                    Commentaire


                    • #11
                      racdavid
                      Pour être court, le FLN auraient répondu de même façon a la France, plus ils y a des victimes algériennes et de préférence des enfants et des femmes, la cause algérienne se transformera vers un droit , plutôt guerre d'indépendance.
                      Dans ce forum il y a toujours un mokhazni pour insulter notre mémoire surtout celle relative à notre glorieuse guerre de libération.
                      Dernière modification par Allane, 28 juillet 2008, 13h33.

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                      • #12
                        Donc tu ne me donnerais pas tort d'étre l'avocat de mes correlegionnaires

                        @myra

                        mais fait gaffe quand meme, parcequ'etre avocat, c'est quand meme un metier de menteur né, alors si tu veux des hassanates, autant ne defendre personne !

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                        • #13
                          Ya tizi::
                          Je ne t'apprendrais rien en te disant que pour les causes JUSTES l'islam permet le monsonge , ouallahou allaam..

                          Commentaire


                          • #14
                            - combien vous faut il de temps pour vous apercevoir que votre ideologie est sans issue?
                            Qu'entends-tu par idéologie?
                            La philosophie, ou l'art du discours vain

                            Commentaire


                            • #15
                              Je ne t'apprendrais rien en te disant que pour les causes JUSTES l'islam permet le monsonge
                              Il me semble que l'Islam est justement venu pour détruire toute forme de mensonge. L'Islam qui fait des compromis avec le mensonge c'est celui des mounafikines (les hypocrites). ou'Allahou Aalam.
                              Dernière modification par oeil du cyclone, 13 septembre 2008, 18h29.
                              La philosophie, ou l'art du discours vain

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