27.07.2008, 22h00 | Mise à jour : 22h02
Une double explosion a fait au moins onze morts et 72 blessés, dimanche soir à Istanbul (Turquie), selon les images de la chaîne de télévision NTV citant des sources policières.
Une première bombe de faible puissance a explosé dans une cabine téléphonique sur une avenue du quartier périphérique et résidentiel de Güngören, sur la rive européenne de la métropole turque.
Une deuxième déflagration de plus forte puissance a suivi quelques minutes plus tard à quelques mètres de là, alors que la foule commençait à s'assembler sur les lieux du premier attentat.
De nombreuses équipes d'ambulanciers et de pompiers ont été dépêchées sur les lieux et un périmètre de sécurité a été établi par la police. Sur les images diffusées par NTV, on pouvait assister à des scènes de panique.
Dans un premier temps, les télévisions avaient attribué la double explosion à une fuite de gaz. Selon l'une des chaines de télévision turques, des policiers envisageraient plutôt la piste d'un attentat, qu'ils attribueraient à des indépendantistes liés au Parti des travailleurs du Kurdistant (PKK).
leparisien.fr
Une double explosion a fait au moins onze morts et 72 blessés, dimanche soir à Istanbul (Turquie), selon les images de la chaîne de télévision NTV citant des sources policières.
Une première bombe de faible puissance a explosé dans une cabine téléphonique sur une avenue du quartier périphérique et résidentiel de Güngören, sur la rive européenne de la métropole turque.
Une deuxième déflagration de plus forte puissance a suivi quelques minutes plus tard à quelques mètres de là, alors que la foule commençait à s'assembler sur les lieux du premier attentat.
De nombreuses équipes d'ambulanciers et de pompiers ont été dépêchées sur les lieux et un périmètre de sécurité a été établi par la police. Sur les images diffusées par NTV, on pouvait assister à des scènes de panique.
Dans un premier temps, les télévisions avaient attribué la double explosion à une fuite de gaz. Selon l'une des chaines de télévision turques, des policiers envisageraient plutôt la piste d'un attentat, qu'ils attribueraient à des indépendantistes liés au Parti des travailleurs du Kurdistant (PKK).
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