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El Kadhafi soutient Ben Ali et « détruit » l’UMA

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  • #16
    Il y a eu récemment une réunion de journalistes et d'intellectuels Mauritaniens. Je vais essayer de trouver les lien.

    plutôt quel est le pays qui veut avaler toute la Mauritanie ?
    Si la Mauritanie veut construire ce que sont entrain de construire la Libye et la Tunisie, pourquoi pas une intégration. J'y vois pas de mal.

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    • #17
      Meme Les Dictateurs ont compris que la Complementarité Economique est le Chemin le Plus Court Pour L'Union , Pour Créér de l'emploi , Pour developper le revenu des Citoyens et Pour Unir les peuples Tout Simplement ...

      NB : Plus d'Un Million de Touristes Lybiens en Tunisie en 2008 et La Lybie s'Interesse Maintenant au Tourisme en Collaboration avec les Tunisiens .


      Ni la Tunisie ni la Libye n’ont adopté ce genre de mesures pratiques avec leur principal voisin, l’Algérie.
      Faut Etre à Deux ou à Plusieurs pour Une Telle Décision ...

      en Plus c'est pas Possible : Car Bouteflika n'est pas Tres Ancien au Pouvoir Comme Ben Ali ou el Kaddafi


      Les touristes libyens sont de plus en plus nombreux à visiter la Tunisie, avec une progression plus rapide que celle des Algériens ou des Marocains. Le travail de la commission mixte tuniso-libyenne est la plus régulière du Maghreb puisqu’elle est déjà à sa vingtième session. Sur le plan politique, El Kadhafi a déjà apporté son soutien à la candidature de Ben Ali pour la présidentielle.
      Sincerement : Les Dictateurs Qui Donnet la Une Tres Bon Leçon Aux " Démocrates " de l'Afrique du Nord , les Dictateurs ont Compris qu'on est en 2008. !!!!!

      Je ne Peux Que Féliciter El Kaddafi et Ben Ali " meme si je Soutient pas leurs Mode de Gouvernance " à Ce Qu'ils font pour leurs Citoyens avec cette Union Economique . " Meme si Pratiquement la Lybie n'a Pas Besoin de la tunisie Pour Vivre "
      Dernière modification par absent, 07 août 2008, 07h14.

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      • #18
        en Plus c'est pas Possible : Car Bouteflika n'est pas Tres Ancien au Pouvoir Comme Ben Ali ou el Kaddafi
        Bouteflika est le plus ancien, c'est un vieux de la vieille, il representa la diplomacie algerienne dès ses débuts, il a d'ailleur débuter tres jeune, il est avec kadafi les plus anciens hommes politiques du maghrèbe.

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        • #19
          Car Bouteflika n'est pas Tres Ancien au Pouvoir Comme Ben Ali ou el Kaddafi
          Et voilà manotoluik sort par une autre nouvelle , Boutef n est pas ancien , ( évidement en tant que président .) en tant que politicien , tu n as rien à dire

          mano
          Boutef n est pas un un Roi sans royaume comme Ben Ali et Khaddaffi , 3 iemes mandat çà suffit pour relancer l Algerie sur Rail ..

          -J espere que tu as lus et compris entre les lignes ce qu a dit btp50 , c est un vieux de la vielle !!!
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #20
            L'Algerie ne sort pas du lot jusqu'au moment oû un president civil serait elu démocratiquement avec maximum 2 mandats (maximum 10ans).
            Actuellement je ne vois pas qui remplecerait boutef, c'est pourquoi le peuple sera pour le 3eme mandat , je le souaite moi aussi car il pourrait créer des surprises .
            Croyez vous que Boumediene allait lacher le pouvoir un jour?

            Dans le monde arabe y a toujours cette figure de president/pére de peuple.
            Pourquoi ne pas déclarer ces pays des royaumes comme chez nous puisqu'un roi laisse son fils ou son frére et le president en fait de même.
            La haine aveugle

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            • #21
              Pourquoi ne pas déclarer ces pays des royaumes comme chez nous puisqu'un roi laisse son fils ou son frére et le president en fait de même.
              ben chez nous, on peut pas, pour la simple raison que notre boutef n'a pas d'héritier

              Sincèrment c décevant de voir ces deux pays (libye et tunisie) en train de construire des relations très fortes depuis des années, et que le seul mur qui sépare les pays du maghreb c'est l'algérie, parce qu'elle préfère se plier sur elle meme...
              Dernière modification par absente, 07 août 2008, 16h03.

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              • #22
                Pourquoi ne pas déclarer ces pays des royaumes comme chez nous puisqu'un roi laisse son fils ou son frére et le president en fait de même.
                mahjoub
                pour l Algerie ne sera jamais un royaume , ni aura un Roi sans royaume ( réference aux présidents à vie )
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #23
                  pour l Algerie ne sera jamais un royaume , ni aura un Roi sans royaume ( réference aux présidents à vie )
                  l'algerie est les gouverne par des generaux non des présidents
                  des rois fantomes

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                  • #24
                    des rois fantomes
                    zakaria89
                    Eh bien Oui ! des fantomes qui agacent les ésprits des Far et le Makhzen ...
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                    • #25
                      Sincèrment c décevant de voir ces deux pays (libye et tunisie) en train de construire des relations très fortes depuis des années, et que le seul mur qui sépare les pays du maghreb c'est l'algérie, parce qu'elle préfère se plier sur elle meme...
                      Comme dirait l'autre, il faut laisser le temps au temps. L'Algérie doit passer par un processus naturel par lequels beaucoup sinon la majorité des pays sont passé.

                      Il Faut pas oublier que de tels processus (maturité d'une nation, démocratie etc... ) prennent du temps, la démocratie en France ne s'est pas faite en en quelques années ou siècles.

                      Personnellement, moi je voudrait pas d'une démocratisation rapide au Maroc. chez nous au Maroc, où les droits de l'homme en fait de grands progrès, beaucoup de gens croient que "droit de l'homme" signifie qu'il peut tout faire, oubliant que ses droits s'arrêtent là où les droits des autres commencent. Il nous faut du temps pour assimiler cette notion.

                      C'est une question de temps, il faut prendre son mal en patience, peut que nous ne verrons pas la création du Maghreb.

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                      • #26
                        Le guide libyen Mouammar Kadhafi est arrivée, dimanche en fin de journée à Tunis, dans le cadre d'une visite d'amitié et de travail en Tunisie sur invitation du président Zine Labidine Ben Ali. Cette visite entre, selon les observateurs, dans le cadre de la consolidation des excellents liens de fraternité et de coopération entre la Tunisie et la Libye et des relations de fraternité exemplaires entre les dirigeants des deux pays.

                        "Ces relations constituent un exemple à suivre au niveau arabe et africain, répondent aux ambitions des peuples tunisien et libyen au progrès et au développement et contribuent à l'édification maghrébine", a souligné une source officielle tunisienne.

                        D'autre part, cette visite de haut niveau reflète la qualité des relations tuniso-libyennes fondées sur une tradition de concertation et de dialogue permanent sur les différentes questions d'intérêt commun et marquées par la concordance des positions des dirigeants des deux pays.

                        Elle doit, en outre, permettre de consolider les fondements du développement solidaire et de dynamiser le partenariat, au double plan bilatéral et maghrébin, selon la même source.

                        Cette coopération bilatérale a, par ailleurs, donné, dans le divers domaines, des résultats positifs qui se sont reflétés, notamment, à travers les réunions périodiques de la haute commission exécutive mixte tuniso-libyenne dont la 21ème session s'est déroulée, à Tunis, les 22 et 23 mai 2008, et qui avait été couronnée par la signature de plusieurs accords et programmes exécutifs de coopération.

                        Cette session, à l'image de ses précédentes, a offert l'occasion de promouvoir la solidarité, la coopération et la complémentarité économique entre Tunis et Tripoli, d'unifier les efforts au service des intérêts communs et de hisser les relations bilatérales aux plus hauts rangs.

                        Elle a également offert l'opportunité d'examiner les moyens adaptés pour développer davantage les échanges commerciaux entre les deux pays, exploiter de la meilleure manière les occasions offertes pour renforcer le volume des investissements mixtes, dynamiser le rôle de la Banque tuniso-libyenne et renforcer sa contribution à l'impulsion de la coopération bilatérale.

                        D'autre part, la Libye est considérée comme le premier partenaire de la Tunisie, au niveau maghrébin et arabe, et le cinquième, à l'échelle mondiale, après la France, l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne.

                        Ainsi, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a connu une importante évolution en 2007, dépassant les deux milliards de dollars, contre 1790 millions de dollars en 2006, 1274 millions de dollars en 2005, et 960 millions de dollars en 2004.

                        Pour sa part, le volume des investissements tunisiens en Libye dépasse les deux milliards de dinars tunisiens. Les projets d'investissement tunisiens en Libye sont au nombre de 28, pour une valeur globale de 176 millions de dollars, notamment dans les secteurs de l'industrie et des services.

                        D'autre part, 39 entreprises libyennes ont investi en Tunisie dont 31 dans le secteur industriel, 5 dans le tourisme et 3 dans le domaine des services, permettant de créer environ 3060 postes d'emploi, faisant de la Libye le quatrième investisseur parmi les pays arabes en Tunisie.

                        Toujours au chapitre des échanges commerciaux, la Libye absorbe 7% des exportations tunisiennes et exporte également vers la Tunisie 7% du total de ses exportations.

                        D'autre part, la Libye a fait cas d'exception pour les citoyens tunisiens, dans sa décision d'imposer un visa d'entrée sur son territoire, prise lors de la réunion du conseil des ministres arabes de l'Intérieur, le 5 février 2007 à Tunis.

                        La Libye a, en outre, épargné les entreprises tunisiennes, de la condition de présenter cinq mille dinars libyens (1,2 dinars libyens = un dollar américain) pour investir en Libye, et cela afin d'encourager la complémentarité économique entre les deux pays.

                        L'année 2008 a été marquée en matière de coopération entre Tunis et Tripoli par l'entrée en vigueur des certificats de conformité aux normes techniques des marchandises échangées entre la Tunisie et la Libye, le 2 janvier 2008, conformément aux recommandations de la haute commission mixte exécutive tuniso-libyenne et en réponse aux aspirations des acteurs économiques à faciliter la fluidité des marchandises entre les deux pays.

                        La signature, le 26 avril 2008, de la nouvelle convention bilatérale dans le domaine du transport aérien relative à l'ouverture de l'espace aérien entre les deux pays, s'est traduite par la levée des restrictions sur des vols en partance et en provenance des deux pays, de manière à renforcer la liaison aérienne entre la Tunisie et la Libye.

                        Sur un autre plan, il a été convenu de mettre en place un programme de travail commun dans le domaine de l'aviation civile relatif aux aéroports, à la navigation, à la sûreté aérienne et aux sociétés de transport aérien, ainsi qu'un accord sur l'ouverture d'une liaison maritime directe entre les deux pays.

                        A l'occasion de la clôture des travaux de la 21e session de la haute commission mixte exécutive, il avait été procédé à la conclusion de l'accord prévoyant le statut de la société paritaire pour l'exploration, l'exploitation commune du pétrole.

                        Cet accord a constitué un nouveau jalon dans la coopération bilatérale dans le secteur du pétrole.

                        A l'issue de la 20ème session de la haute commission mixte exécutive, tenue au mois de février 2007, à Tripoli, une série de décisions et de mesures importantes ont été également prises en vue de renforcer le principe de l'intégration économique déjà en vigueur entre les deux pays.

                        Parmi ces décisions, figure notamment celle relative à la suppression des barrières douanières et non douanières, entrée en vigueur à compter du 1er mars 2007 de manière à garantir la fluidité des marchandises entre les deux pays et l'application du principe du traitement national.

                        Dans le secteur financier et bancaire, il a été procédé à la conclusion d'un accord d'échange du dinar tunisien et du dinar libyen portant autorisation de l'échange des deux monnaies entre les institutions bancaires accréditées par les deux pays sans passer par les monnaies étrangères.

                        L'accord financier conclu entre les deux pays, entré en vigueur depuis le 20 mars 2007, a énoncé l'échange des deux monnaies locales auprès des banques accréditées par les deux pays, conformément aux taux de change annoncés quotidiennement.

                        La Tunisie et la Libye ont conclu également une série de conventions bilatérales dans les domaines du commerce, du tourisme, de l'artisanat, de l'agriculture, de la pêche, des ressources hydrauliques, des ressources humaines et des affaires consulaires, sociales et sécuritaires.

                        Les relations tuniso-libyennes devraient connaître dans la prochaine période une nouvelle mutation qualitative, compte tenu des grands projets communs dont les deux pays veillent à parachever les études de faisabilité afin d'entamer l'exécution dans les plus brefs délais.

                        Ces projets consistent particulièrement à créer une station de transformation de l'électricité et à mettre en place un gazoduc, un projet de zone touristique frontalière et des zones industrielles communes, outre la construction d'une autoroute entre Sfax et Tripoli.

                        Tunis - 03/08/2008

                        Pana

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                        • #27
                          Allah izidhoum, c'est tout ce qu'on peut dire.

                          Commentaire


                          • #28
                            Admirez el kaddafi

                            Le guide Mouammar Kadhafi en visite officielle et de travail en Tunisie a donné mardi soir une conférence à l'école nationale des sciences appliquées et de technologie à Carthage, dans la banlieue de Tunis, axée sur des questions et dossiers d'actualités relatifs au monde arabo-musulman à côté des grands changements que connaît le monde à tous les niveaux.

                            S'exprimant en présence des doyens des universités tunisiennes, des universitaires et étudiant, il a analysé les facteurs et les causes de la tendance à la disparition de l'Etat patrie et l'Etat national sous le poids des changements dans la carte du nouveau monde ce qui impose la nécessité de l'intégration de ces deux exemples, à savoir l'Etat patrie et l'Etat national dans un seul espace capable de faire face aux défis de cette ère et de ses problèmes.

                            Le dirigeant libyen, à qui l'université 7 novembre de Carthage a attribué le titre de doctorat honoris causa dans la civilisation arabo-islamique ainsi que sa médaille, a déterminé les régions menacées dans le cadre de la nouvelle carte du monde expliquant qu'il s'agit des régions ou les Etats patries seront en dehors d'un grand espace les protégeant telle que la partie du monde arabe qui se trouve en dehors de l'Afrique.

                            L'avenir de cette partie du monde arabe, a-t-il dit, n'est pas clair car elle existe en dehors de tous les espaces qui se forment actuellement et ne peut pas réunir les conditions lui permettant de constituer un espace indépendant.

                            il a indiqué que chaque Etat patrie isolé sera ciblé et finira par disparaître, citant l'exemple la Yougoslavie qui, malgré sa force régionale en tant que l'Etat le plus fort des Balkans, s'est disloqué et a disparu sous le poids de l'Organisation du traité de l'atlantique Nord (OTAN).

                            Selon le Guide Kadhafi, cette image s'applique également sur ce qui se déroule en Irak, à savoir l'occupation et l'oppression odieuse sans dissuasion car l'Irak, en tant qu'Etat individuel, n'appartient à aucune alliance ni à aucun espace fort pour le défendre.

                            "Même l'Iran, malgré ce qu'elle avance sur son programme nucléaire et son obstination, aura le même sort que l'Irak si une décision est prise à son encontre car les défis sont plus grands que les capacités de l'Iran qui n'est pas aussi forte que l'Irak dont la situation dans laquelle il a fini est devant nos yeux", a-t-il ajouté.

                            Le guide Kadhafi a expliqué que les grands espaces tels que les Etats Unis, l'Union européenne, la Chine et la Russie qui font changer la carte du monde constituent la force qui adopte les résolutions au sein du Conseil de sécurité des Nations unies et ont le pouvoir d'entraver les résolutions au sein de cette organisation.

                            Le leader libyen s'est interrogé sur la capacité des micro Etats d'Asie, d'Amérique latine ou d'Afrique à faire face à l'OTAN ou à la Chine ou encore entreprendre des négociations sur le même pied avec l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ou la banque internationale et le Fonds monétaire international.

                            Le Guide Kadhafi a indiqué que la nouvelle carte du monde qui se dessine en fonction des grands espaces qui se forment sur la base des intérêts matériels a poussé la Turquie, jadis le grand empire et le centre du kalifat islamique, à courir essoufflée derrière l'Union européenne "chrétienne" pour y adhérer.

                            Il a réaffirmé dans ce contexte que les Africains devraient compter sur l'Union africaine et mettre en place le gouvernement fédéral sur la voie des Etats-Unis d'Afrique en vue de se rassurer et d'avoir une place "sous le soleil et sur la terre".

                            "En dehors de cette stratégie il n'y aura pas d'avenir pour l'Etat patrie même s'il s'agit d'un Etat européen», a affirmé le leader libyen.

                            Il a précisé que rien n'interdit l'intégration de certains pays membres de l'UA sous l'ombrelle de cette Union car cela renforce cette union.

                            Ainsi, a-t-il dit, il n'y a aucun problème si l'Afrique du Nord, à titre d'exemple, constitue un seul Etat sous l'ombrelle de l'Union africaine.

                            Le leader libyen a évoqué, dans ce sens, son idée de ressusciter l'Etat fatimide qui pourrait se constituer en Afrique du Nord à travers la compréhension et la connaissance dans les institutions académiques, les établissements de l'enseignement et les médias en vue que le dialogue pour la création de cet Etat qui constitue l'identité commune de cette région d'Afrique du Nord soit publique.

                            Cet Etat fatimide, a-t-il expliqué, pourrait régler tous les problèmes d'ordre ethnique ou confessionnel, s'ils existent, et aura son grand poids dans le bassin méditerranéen et dans le cadre de l'UA et pourrait constituer un centre d'attraction pour les arabes.

                            Il a indiqué que la naissance du nouveau Etat fatimide constituerait un grand changement confessionnel de la conception culturelle islamique et de l'histoire islamique et apporterait une importante rectification de l'histoire car le seul Etat chiite qui avait été créée à travers l'histoire et aurait vécu 260 ans avait été l'Etat fatimide en Afrique du Nord et qui avait émergé à partir de la Tunisie.

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                            • #29
                              Ben Ali trés heureux .. et Khaddafi aussi les deux présidents à vie ...
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                              • #30
                                imprevisible ce kaddaffi et tres dangereux.
                                ben ali lui est un dictateur tres discret ,il se garde de crerer des tensions avec ses voisins.

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