Honte au Maroc, Algerie, et autres pays qui font de la race humaine la pire espece.
L'article est tres long, 2 pages, pour solidarité, contnuez votre lecture au:
http://www.lemonde.fr/web/article/0,...-633431,0.html
Au Maroc, certains les traitent de "négros" , azi , en arabe dialectal. D'autres, moins nombreux, citent le Coran et parlent des "enfants de la route" (abna essabil ). A Oujda, ville frontalière au nord-est du royaume chérifien, à moins de 15 km de l'Algérie, on n'a guère pitié de ces clandestins subsahariens venus du Mali, du Nigeria, de Guinée ou de Sierra Leone, avec l'espoir * de plus en plus souvent déçu * d'atteindre l'Europe
Depuis les accords passés ces derniers temps avec l'UE, la route de l'exil est devenue un ***-de-sac. Et la prison remplace souvent le centre de rétention. "Dès notre arrivée à Oujda, la police nous a arrêtés. On est restés quatre jours enfermés. Sans rien à manger. On buvait l'eau de la douche * la seule de toute la prison", raconte Williame Kouame, un Ivoirien de 22 ans. "On était 37 dans une même cellule : 36 hommes, plus Nina" , ajoute-t-il, désignant sa jeune épouse assise sur une couverture sur le sol. Nina Kouame a 20 ans. A Bouaké, elle était coiffeuse......
Depuis les accords passés ces derniers temps avec l'UE, la route de l'exil est devenue un ***-de-sac. Et la prison remplace souvent le centre de rétention. "Dès notre arrivée à Oujda, la police nous a arrêtés. On est restés quatre jours enfermés. Sans rien à manger. On buvait l'eau de la douche * la seule de toute la prison", raconte Williame Kouame, un Ivoirien de 22 ans. "On était 37 dans une même cellule : 36 hommes, plus Nina" , ajoute-t-il, désignant sa jeune épouse assise sur une couverture sur le sol. Nina Kouame a 20 ans. A Bouaké, elle était coiffeuse......
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