Le "polisario" doit d'abord s'affranchir de la tutelle algérienne (ONG internationale)
New York (Nations Unies), 09/10/08- La présidente de l'Internationale des femmes de la Démocratie Chrétienne, Mme Anna Maria Cervone, a accusé l'Algérie de saboter toute tentative sérieuse de règlement de la question du Sahara, indiquant que la solution de ce différend exige d'abord la levée de la tutelle imposée par Alger au "polisario".
"Pour parvenir à une solution de la question du Sahara, il faut d'abord libérer le +polisario+ de la domination algérienne. C'est à cette condition que des négociations sérieuses et substantielles peuvent aboutir à une solution définitive", a-t-elle dit devant la quatrième Commission de l'ONU.
Elle a toutefois souligné que l'Algérie "n'a aucun intérêt à ce que ce problème soit réglé".
Les autorités algériennes ont "usé de tous les moyens pour barrer la route aux efforts déployés par l'ex-Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l'ONU, M. Peter Van Walsum", pour trouver une solution réaliste à ce problème, a-t-elle indiqué.
La présidente de l'Internationale des femmes de la Démocratie Chrétienne a donné pour exemple de ce blocage "l'activisme des diplomates algériens en ce moment même dans les coulisses de l'ONU pour saborder toute tentative de solution non favorable à leurs convoitises".
Face aux obstacles dressés par l'Algérie, le Maroc fait valoir, a-t-elle dit, "ses droits légitimes et une réalité politique qu'aucun diplomate sensé ne saurait transcender pour aboutir à une solution définitive à ce conflit".
Par MAP
New York (Nations Unies), 09/10/08- La présidente de l'Internationale des femmes de la Démocratie Chrétienne, Mme Anna Maria Cervone, a accusé l'Algérie de saboter toute tentative sérieuse de règlement de la question du Sahara, indiquant que la solution de ce différend exige d'abord la levée de la tutelle imposée par Alger au "polisario".
"Pour parvenir à une solution de la question du Sahara, il faut d'abord libérer le +polisario+ de la domination algérienne. C'est à cette condition que des négociations sérieuses et substantielles peuvent aboutir à une solution définitive", a-t-elle dit devant la quatrième Commission de l'ONU.
Elle a toutefois souligné que l'Algérie "n'a aucun intérêt à ce que ce problème soit réglé".
Les autorités algériennes ont "usé de tous les moyens pour barrer la route aux efforts déployés par l'ex-Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l'ONU, M. Peter Van Walsum", pour trouver une solution réaliste à ce problème, a-t-elle indiqué.
La présidente de l'Internationale des femmes de la Démocratie Chrétienne a donné pour exemple de ce blocage "l'activisme des diplomates algériens en ce moment même dans les coulisses de l'ONU pour saborder toute tentative de solution non favorable à leurs convoitises".
Face aux obstacles dressés par l'Algérie, le Maroc fait valoir, a-t-elle dit, "ses droits légitimes et une réalité politique qu'aucun diplomate sensé ne saurait transcender pour aboutir à une solution définitive à ce conflit".
Par MAP
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