Le but de toute religion est de créer des liens (positifs en principe) entre l'homme et son créateur ou bien entre les hommes. Au delà de la notion de récompense (Hassanat) pour la pratique, il y a (ou plutôt il doit y avoir) le développement spirituel du croyant. Ainsi, en faisant la prière on ne devrait pas oublier la méditation, en pratiquant le jeûne on devrait savoir si ça nous mène à la compassion,....
En Islam, la dimension spirituelle des pratiques se traduit par "حلاوة الإيمان" (la douceur de la foi). C'est un état de bien-être considéré comme une récompense pour le croyant pratiquant. Certains compagnons du Prophète disaient que si les habitants d'Éden ne savaient pas ce que c'était, ils nous envieraient.
Mais voilà, j'ai l'impression que cette notion est devenue un peu "élitiste". Que les "représentants" de l'Islam s'en détournent et préfèrent dire aux gens: contentez-vous de faire vos obligation et d'éviter ce qu'on vous dit que c'est interdit "haram" pour décrocher un ticket pour le paradis.
Donc la question est simple: que reste-t-il de la spiritualité à l'époque des fatwas et des condamnations ?
En Islam, la dimension spirituelle des pratiques se traduit par "حلاوة الإيمان" (la douceur de la foi). C'est un état de bien-être considéré comme une récompense pour le croyant pratiquant. Certains compagnons du Prophète disaient que si les habitants d'Éden ne savaient pas ce que c'était, ils nous envieraient.
Mais voilà, j'ai l'impression que cette notion est devenue un peu "élitiste". Que les "représentants" de l'Islam s'en détournent et préfèrent dire aux gens: contentez-vous de faire vos obligation et d'éviter ce qu'on vous dit que c'est interdit "haram" pour décrocher un ticket pour le paradis.
Donc la question est simple: que reste-t-il de la spiritualité à l'époque des fatwas et des condamnations ?
Commentaire