@Alamut
Bien entendu, mais ce n'est pas le "droit" de posséder des esclaves en lui-même qui peut être remis en cause par le musulman, pas plus que le "droit" d'épouser plus d'une femme ... etc.
Mais nous parlons bien d'un "droit" et non d'un "devoir", et dans la mesure où la manière légitime de posséder des ésclaves est d'en capturer à la guerre (contre des non-musulmans), le lien de cet aspect avec celui des relations extérieures de la Communauté devient obvie, directement ou non.
Si l'on se tient au stricte cadre juridique, leur option est déja fausse dans la mesure où il n'est pas possible de réduire des musulmans libres en ésclavage (même suite à une guerre). Pour justifier leur forfaits, ces groupes ont dûs passer par un autre canal, c'est-à-dire déclarer ces gens comme étant non-musulmans (kouffâr) ou apostats (murtaddine), ce qui déplace le problème à un tout autre niveau.
Pas trop d'accord avec toi, le droit de posséder des esclaves n’est pas dépendant de l’attitude de l’autre ou de l’ennemi.
Mais nous parlons bien d'un "droit" et non d'un "devoir", et dans la mesure où la manière légitime de posséder des ésclaves est d'en capturer à la guerre (contre des non-musulmans), le lien de cet aspect avec celui des relations extérieures de la Communauté devient obvie, directement ou non.
Et là on parle de ce qui devrait être un droit pour certains, d’ailleurs nos terroristes ont recouru à ce dit droit pour violer de pauvres petites gamines.
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