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Le prophéte mohamed (qsssl) dans l'évangile de barnabé

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  • #16
    Techniquement vu que ta non croyance est par définition quelque chose qui n'est pas une croyance mais qui est rien , Karimalia peut la critiquer autant qu'il veut puisque tu ne pourrais pas lui reprocher de ne pas respecter tes croyances vu que tu n'en a pas...

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    • #17
      récemment tu disais, giro, que tu n'étais pas athée, et là tu affirmes que tu n'es pas croyant, je vais finir par croire que c'est toi le canular! ou alors tu es déiste?dans ce cas d'où te viennent tes certitudes? la raison est faillible, et nous semble irrationnel tout ce que l'on ne saisit pas..aussi il faut faire preuve de modestie, et ne jamais se permettre d'avis aussi tranchés... c'est pourquoi la foi est au dessus de tout: elle n'a que faire de la raison... et c'est pourquoi elle est dangereuse: on peut avoir foi en n'importe quoi...alors il faut faire le pari de la confiance, le pari de Pascal...
      Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

      Dionysios Solomos

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      • #18
        Techniquement vu que ta non croyance est par définition quelque chose qui n'est pas une croyance mais qui est rien , Karimalia peut la critiquer autant qu'il veut puisque tu ne pourrais pas lui reprocher de ne pas respecter tes croyances vu que tu n'en a pas...
        oh mais je m'en fiche qu'on me critique ou qu'on critique ma non croyence ça m'ai égale ... si j'ai envie de critiquer votre croyence croie moi que je ne me generai pas ...

        récemment tu disais, giro, que tu n'étais pas athée, et là tu affirmes que tu n'es pas croyant, je vais finir par croire que c'est toi le canular! ou alors tu es déiste?dans ce cas d'où te viennent tes certitudes?
        ça serait trop long amarimaa de t'expliquer mes certitudes et puis c'est pas le sujet ... sinon je suis aussi certain que 1+1 font 2 que toutes les religions sont des canulads, certain tu comprends ? nul besoins de pari de Pascal!

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        • #19
          il faut distinguer: les institutions de la foi elle-même...
          Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

          Dionysios Solomos

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          • #20
            Si Dieu éxiste, qui vous dit qu'il a envi d'etre vénéré. Et qui vous dit que ce qui est à l'origine de l'univers est conscient. Et mème si on croit en un Dieu conscient et omnipotent, quelle religion choisir?

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            • #21
              L'évangile de Barnabé est un ouvrage décrivant la vie de Jésus et qui aurait été rédigé par son disciple Barnabé. Les deux manuscrits les plus anciens écrits en italien et espagnol ont été datés de la fin du XVIe siècle, mais du texte espagnol il ne subsiste qu'une copie du XVIIIe siècle. Le manuscrit italien comprend 222 chapitres, dont l'essentiel décrit le ministère de Jésus. Sous plusieurs aspects, mais non tous, il est conforme à l'idée que se font les musulmans de la Bible. si bien que son authenticité et l'histoire du texte font toujours l'objet de controverses.

              Cet Évangile est considéré par la majorité des érudits (dont des chrétiens et quelques musulmans) comme une fraude pieuse, tardive et pseudépigraphique; cependant, quelques-uns suggèrent qu'il pourrait contenir quelques restes d'un travail apocryphe précédent, créé pour se conformer à l'Islam, ou peut-être gnostique (Cirillo, Ragg), ébionite (Pines) ou diatessaronique (Joosten) ; quelques érudits musulmans le considèrent comme authentique. Certaines organisations islamiques le citent pour appuyer la conception islamique de Jésus ; leur point de vue sera étudié ci-dessous.

              [modifier]
              Histoire de l'ouvrage
              L'évangile selon Barnabé est mentionné dans deux listes chrétiennes de livres apocryphes : le Decretum Gelasianum (dont l'attribution au pape Gélase Ier est apocryphe) ainsi que dans la Liste des 60 livres du VIIe siècle[1]. Ces deux listes ont été établies par des témoins indépendants, mais il n'est pas assuré que les auteurs ont pu se rendre compte de visu de la réalité des ouvrages référencés. Dans les deux cas, l'Évangile selon Barnabé est mis en relation avec un Évangile de Matthias.

              On ne doit pas confondre cet ouvrage avec les « Épîtres selon Barnabé », qui ont probablement été écrits au deuxième siècle. Il n'y a aucun lien entre les deux livres que ce soit dans le style, le contenu ou l'histoire, sinon leur attribution supposée à Barnabé. En ce qui concerne la circoncision, les deux auteurs adoptent un point de vue totalement différent : alors que l' « épître » rejette les pratiques judaïques, l' « évangile », lui, est en faveur des pratiques musulmanes. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être confondus avec « les Actes de Barnabé » qui racontent l'histoire des voyages de Barnabé le martyr et son enterrement ; on pense que ce dernier a été écrit à Chypre un peu après 431.

              En 478, durant le règne de l'empereur Zénon 1er, l'archevêque Arthémios de Chypre annonça que l'endroit où Barnabé avait été enterré en secret lui avait été indiqué en songe. On prétend que le corps du saint a été découvert avec sur sa poitrine une copie de l'évangile selon Mathieu ; c'est ce que dit le récit contemporain de Théodore Lector, qui a peut-être été présent quand les os et l'évangile ont été présentés par Arthémios à l'empereur. Quelques érudits qui défendent l'antiquité de l'évangile de Barnabé proposent que le texte qui aurait été découvert en 478 soit identifié à l'évangile de Barnabé, mais aucun témoignage de l'époque ne vient appuyer cette proposition. Selon une tradition médiévale conservée dans le monastère de Sumela au sud de Tébizonte, les reliques ont été offertes à ce monastère par Justinien, mais ont été perdues un siècle plus tard quand des forces persanes ont occupé les Alpes Pontiques au cours de leurs campagnes contre Héraclius.

              En 1986, on a prétendu pendant peu de temps qu'une première copie syriaque de cet évangile avait été trouvée près de Hakkari (cf. Hamza Bektaş in İlim ve Sanat Dergisi de Mars-Avril 1986, et «Türkiye» du 25 juillet 1986, « Barnabas Bible Found », in Arabia 4/1985/ 1405/ No. 41/ Jan.-Févr./ Rabi Al-Thani, p. 46, « Original Bible of Barnabas Found in Turkey » in The Minaret 12, 3; 1.+ 16 avril, 1985, n.p.) [2] Par la suite cependant, on a fait savoir que ce manuscrit ne contenait en réalité que la Bible canonique (Ron Pankow, « The Barnabas Bible? », in : Arabia 1985/1405//Mars-Avril/ Rajib, n.p.) [3]

              La plus ancienne mention d'un livre dont on s'accorde à penser qu'il se réfère à l'un des deux manuscrits connus, se retrouve dans un manuscrit morisque, BNM MME 9653, à Madrid, écrit vers 1634 en Tunisie par Ibrahim al-Taybili. En racontant comment, à son avis, la Bible prédit la venue de Muhammad, il parle de « l'Évangile de saint Barnabé où on peut trouver la lumière » (« y asi mesmo en Evanjelio de San Barnabé donde se hallara luz »). Il a été mentionné une autre fois en 1718 par le déiste irlandais John Toland et a été mentionné en 1734 par George Sale dans The Preliminary Discourse to the Koran :

              Les Musulmans ont aussi un Évangile en arabe, attribué à saint Barnabé, où l'histoire de Jésus-Christ est racontée d'une manière très différente de ce que nous trouvons dans les Évangiles canoniques et qui correspondent aux traditions que Mohammed a suivies dans son Coran. De cet Évangile les Morisques en Afrique ont une traduction en espagnol ; et il existe dans la bibliothèque du prince Eugène de Savoie, un manuscrit assez ancien, contenant une traduction italienne du même Évangile, composé, à ce qu'on suppose, à l'usage des renégats. – Le Discours Préliminaire au Coran, p. 79.

              Tout cela semble se rapporter aux versions des deux manuscrits connus : l'italien et l'espagnol.

              http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89v...e_Barnab%C3%A9

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              • #22
                et oui

                L'islam c'est notre religion
                alah est notre dieux le tou puissant
                mohamed (qsss.l) est notre profhéte

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                • #23
                  giromino,on sait que tu ne croit pas et que tu est sans foie,alor pourquoi tu te sent obliger de t'ingerer dans cette page,puis se que tu ne croit pas? a moin pour fair le philosophe peu etre?
                  Franchement heureusement qu'allah est misericordieu,parce que quand on voit des gens comme toi qui renie allah,aprés tout ses bienfaits qu'il nous donne...c'est honteux,soit reconnaissant,soit reconaissant!!

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                  • #24
                    Pour compléter ce qu'a écrit Caïus un peu plus haut, voici quelques indications concernant ce prétendu "évangile de Barnabé" écrit certes plusieurs siècles après la mort du disciple de Jésus.

                    Extrait d'un article de Jacques Jomier (de la Revue "Esprit et Vie") :

                    Jésus et l'histoire du salut selon Barnabé :
                    L'enseignement principal dans l'Evangile de Barnabé concerne le plan de salut de Dieu ; Il n'est pas question de voir Jésus annoncé par Jean-Baptiste ; ce dernier personnage n'est jamais mentionné.

                    Avant le chapitre 47, au milieu d'autres enseignements, Jésus profite d'un séjour au-delà du Jourdain pour raconter à ses disciples le récit de la création. On y apprend comment le nombril d'Adam est la trace d'un crachat de Satan ; ce dernier, en effet, avait craché sur la terre dont Dieu devait se servir pour façonner le premier homme et la marque en creux est restée (sic ! ch.35 et 39). Puis Adam entendit parler de Mohammad et vit en l'air une inscription brillante comme le soleil, proclamant la formule de foi musulmane : « Il n'y a qu'un seul Dieu et Mohammad est le Messager de Dieu » (ch.39).

                    Après leur désobéissance dont ils se repentiront, Adam et sa femme sont chassés du paradis terrestre, au milieu d'un torrent de larmes et Dieu promet que Mohammad sera envoyé à l'homme pour le tirer de sa misère (ch. 41).

                    Jésus n'est que le précurseur du Messie : « Je ne suis pas digne de dénouer les courroies de chaussures ni les lacets des sandales du Messager de Dieu que vous appelez le Messie. Celui-là est fait avant moi et viendra après moi » (ch. 42). Et à la samaritaine, Jésus déclare qu'il n'est pas le Messie (ch.82). Il est clair que Mohammad a le rôle principal dans l'histoire du salut et le texte rapporte le sacrifice d'Abraham en précisant bien que le fils sacrifié allait être Ismaël. Jésus affirme dès lors que la promesse à Abraham a été faite au sujet d'Ismaël et non d'Isaac (ch. 43-44). Jésus est un prophète ordinaire. Ni la rédemption, ni le croix, ni la passion ne sont conservées.

                    Un second ensemble d'épisodes va du ch. 47 au ch. 126 ; la grande question alors est celle de la personne de Jésus. Le ch. 47 rapporte la résurrection du fils de la veuve de Naïm. Le texte joue sur la phrase : « dieu a suscité un grand prophète parmi nous ; il a visité son peuple ». Or à Naïm, des soldats romains présents abondent dans ce sens et affirment aux habitants qu'un de leurs dieux est venu visiter son peuple. D'où la division qui semble s'étendre à toute la Palestine ; les uns déclarent que Jésus est Dieu, les autres le refusent. La tension atteint son point culminant et fait craindre une guerre civile. Des centaines de milliers de soldats se massent dans la vallée de Miçpa. Finalement, le Grand Prêtre interroge Jésus sur son identité ; celui-ci reconnaît être un homme, un simple mortel. Il confesse que Dieu n'a pas de fils car il n'en a nul besoin (ch. 95 et 96). En suite de quoi, à la demande de Pilate, le Sénat Romain alerté interdit sous peine de mort d'appeler Jésus dieu ou fils de Dieu. Le décret fut placé dans le temple en lettres de cuivre (ch.98). Finalement, la prédication des disciples parvint à convaincre les foules et tous déclarèrent qu'il y a un seul Dieu et que Jésus est le Prophète de Dieu (ch.126).

                    Enfin Jésus risquait d'être nommé roi. Il refusa les propositions et s'enfuit à Damas (ch. 138-139) tout en continuant à parler du Messager qui devait venir, de son intercession, etc. (ch.137).

                    Finalement, les Juifs complotèrent contre Jésus mais une élévation miraculeuse au ciel le fera échapper à la mort et Judas, transformé à la ressemblance de Jésus, a été crucifié à sa place (ch. 216 et suivants).

                    Est-il possible de dater plus précisément le texte ?
                    Bref, que l'évangile de Barnabé sous sa forme actuelle ait été rédigé d'après les évangiles canoniques et s'en inspire est évident. Il leur est donc postérieur. En outre, dans ses exposés de spiritualité cet évangile reproduit des thèmes qu'il serait invraisemblable de trouver avant une date tardive, mettons le milieu du Moyen Age, et en Occident. Ainsi la topographie des régions de l'enfer ou encore la division des péchés capitaux devenus péchés mortels, ou la description des phénomènes qui précéderont le Jugement dernier. Enfin, la critique des prêtres et des religieux se fait en des termes qui rappellent beaucoup plus l'anticléricalisme occidental médiéval que la vie au Proche-Orient à l'époque à l'époque de Jésus. Même la façon de parler des pharisiens remontant à l'époque d'Elie vise avant tout les religieux occidentaux de la fin du Moyen Age et de la Renaissance.

                    Un dernier argument nous conduit après l'an 1350. Jésus parle des temps messianiques de l'avenir et ajoute : « et l'année du jubilé qui maintenant revient tous les cent ans reviendra chaque année et en tout lieu à cause du Messie » (ch. 82).

                    Le jubilé était une institution juive périodique tombant tous les cinquante ans. Le jubilé tous les cent ans fut une exception dans l'église romaine lorsque fut décrétée en 1300 une année jubilaire qui aurait du se renouveler cent plus tard. Mais, dès 1350, la périodicité augmenta. Il y eut un jubilé en 1350 et ensuite tous les 25 ans. Que les années jubilaires au lieu de tomber tous les cent ans se soient multipliées, est un phénomène qui nous reporte après 1350.

                    L'étude des Ragg vit le jour en 1907. L'ensemble des orientalistes l'approuva. « Apocryphe incontesté », écrivit Louis Massignon dans la Revue du Monde Musulman ; « fumisterie » (Gaukelei), déclara Ignace Golziher dans ses études sur le Coran. Quant au P. Lagrange, il eut ces mots dans une recension : « c'est un curieux monument d'un étrange état d'âme ; il n'est pas aussi ennuyeux que d'autres apocryphes » (Revue Biblique, 1908, p.300.).

                    Du côté musulman, par contre, les arguments n'eurent aucun impact et, sauf dans quelques cas bien précis, l'engouement continua comme avant. Bien plus, le texte fut désormais entre les mains de ceux qui voulaient le consulter. Il venait d'être publié en traduction anglaise. Il fut aussitôt traduit en arabe (1908) au Caire,......................................;"

                    Ce qui ressort de cette étude , c'est qu'il s'agit bien d'un texte de propagande musulmane écrit au Moyen-Age et n'ayant donc aucune qualité historique concernant la vie et l'enseignement du Christ.
                    Dernière modification par franc_lazur, 07 juillet 2006, 16h03.

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