Annonce

Réduire
Aucune annonce.

99 Noms d'Allah ? ou plus ?

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #31
    Alors maintenant persistes tu dans cette déclaration ?


    "Khayrou el makirine" veut donc dire que Dieu a fait en sorte que dans la vie qu'il a crée celui qui tend un piège a son voisin ou lui fera du mal en subira lui-même les conséquences en vertu de même piège de part la nature ainsi crée, DIEU ne participe pas personnellement aux complots.

    Déjà ici " DIEU ne participe pas personnellement aux complots." - tu es en train de personnifier Dieu et tu limites SES actes .


    Désolé said, mais Dieu n'est pas limité , ni dans SES actes, ni dans le temps , ni dans l'espace ." Et IL EST celui qui vous a crée vous et ce que vous faites " ( Coran ) , il s'attribue les actes des Hommes qui sont en réalité SES actes .
    Dernière modification par abdelhamid31, 24 décembre 2018, 16h44.

    Commentaire


    • #32
      il peut ruser contre les ruses des hommes , il peut , il peut , il peut ...en réalité il est tout et il peut tout , et si tu le confine à une vision qui t'est propre a toi c'est que tu es dans l'erreur car tu n'as pas estimé Dieu à sa véritable grandeur.
      Cher Abdelhamid,
      Que se passe t-il, mon cher ami, vous ne savez pas que quand un acte est attribué à Dieu il y a lieu de l'expliquer d’une manière révérencielle qui n’est pas en contradiction avec les enseignements religieux de l’islam. Ceux-ci mettent d'une manière définitive de coté toute cause ou effet ou participation mondaine a la divinité. C'est dans la grandeur de cette vision des choses que l’Islam monothéiste croise l’amour de Dieu et l'amour des hommes dont le carrefour féconde la spiritualité éprise d’absolu. Dans le cadre de l'absolu, on comprend effectivement que tout est tiré du néant par la seule vertu de l'amour que Dieu se porte et que par conséquent toutes les créatures ou actes sont des lieux où Dieu s'épiphanise. Toute manifestation devient une merveille qui indique la sagesse, la puissance, la majesté et la grandeur de Dieu que cette parcelle soit une essence, une contingence ou une substance. L’aboutissement du cheminant devrait être cette station ou partout c'est la vision de l’Être suprême qui s'impose. Comprenez, une fois pour toutes, mon cher ami, qu'il devient évident que le concept de théophanie est étroitement lié à l’affirmation que l’être est essentiellement unique et c’est justement une manière de montrer qu’il le reste toujours malgré la multiplicité de sa manifestation. Ceux qui désirent sérieusement aller vers la réalité essentielle se doivent de considérer la création comme une théophanie des Noms divins (zuhûr el Hakk), et non comme une simple entité autonome. Il est bien sur très difficile d'expliquer la relation entre le Principe et la manifestation dans la théophanie des Noms divins. Le passage de l’Un au multiple, du non manifesté au manifesté, à travers la théophanie des Noms divins, par l’intermédiaire de l’être qui en constitue le réceptacle les embrasse nécessairement de sa réalité.

      Mais attention, de nos jours, il y a beaucoup de prétendus initiés aux sciences ésotériques qui restent très à l'écart de la vraie religion. La parole divine est délaissée, complètement oubliée, voire ensevelie. Certains, en voulant suivre l'exemple de ces prétendus initiés, vont chercher à s'abreuver à diverses fontaines spirituelles, mais en laissant de côté le cœur de ces sagesses qu'est la révélation coranique. Les new-maîtres contemporains simplifient la religion à l'extrême en enseignant une sorte de vague spiritualité dépourvue de tout fondement religieux ou scripturaire. Quant à moi, je préfère me ranger du côté de la stricte orthodoxie sunnite en évitant ce genre d'expressions philosophales, car partant de là, toutes les dérives doctrinales sont possibles. Mon ami, peut-on prétendre à une quelconque progression spirituelle en voulant se couper de la source divine de Connaissance, à savoir la Révélation coranique ? Le Coran dit : "Rien n'est comme Lui". Dieu est l'incomparable". Le Soufisme ne s'inscrit que dans cet ordre des choses et toute autre notion ne dérive que du charlatanisme spirituel.
      A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
      Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

      Commentaire


      • #33
        J'ai promis de te laisser le dernier mot ,

        Commentaire


        • #34
          quand un acte est attribué à Dieu il y a lieu de l'expliquer d’une manière révérencielle

          C'est vrai said tu as absolument raison , j'ai parlé de Dieu d'une manière non révérencielle, et je LUI ais manqué de respect ! " en contradiction avec les enseignements religieux de l’islam " sic !




          La parole divine est délaissée, complètement oubliée, voire ensevelie. Certains, en voulant suivre l'exemple de ces prétendus initiés, vont chercher à s'abreuver à diverses fontaines spirituelles,

          Oui, j'ai délaissé la parole divine et je me suis abreuvé dans des ouvrages de grande sorcellerie et de magie noire, et en attestent les citations que j'ai posté , émanant d'un faut Coran , du faut maître l'émir Abdelkader et du charlatan Ibn al Arabi..." sic : vague spiritualité dépourvue de tout fondement religieux ou scripturaire "


          Pffff!

          Commentaire


          • #35
            J'ai promis de te laisser le dernier mot ,
            Cher Abdelhamid,
            Merci, mon ami, j'aimerais comme vous, savoir laisser aux autres le dernier mot quand il le faut. Mon ami, l'ésotérisme islamique, avec les enseignements de ses maîtres et son univers de notions et de symboles, n'est pas anarchique dans la mesure ou il fournit des axes et références d'une très grande importance. La thématique du miroir de la création dans lequel Dieu se manifeste par l'intermédiaire de Ses noms divins n'est pas le fruit du hasard, elle intervient pour interdire toute assimilation de l'essence divine avec la substance de la création. La réalité devient un Etre Absolu, que c'est par Sa lumière que l'existence relative est en place et que si la lumière de cette Existence Absolue n'existait pas, tout serait néant. Cette lumière est unique omniprésente transcendante dans la terre et dans les cieux. Les êtres n’ont pas été créés pour qu'on les voit, mais pour qu'on voit cette lumière en eux. Dieu ne veut pas que l'on envisage la création d’un œil ordinaire, il nous appartient de considérer celle-ci comme une théophanie (zuhûr), et non comme une entité qui serait autonome. Cette théophanie est si puissante et enveloppante, elle établit une telle proximité entre Dieu et l’homme que, paradoxalement, elle constitue le voile suprême derrière lequel Dieu S’occulte. CORAN 50:16. "Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son âme lui suggère et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire". Par conséquent tout musulman voit le monde phénoménal comme illusoire lorsqu'il est envisagé en tant qu’entité autonome distincte de l’Être divin, mais comme réel s’il est investi par le seul « Réel »/al-Haqq. Mais arrêtons-nous ici car une maxime dit à ce sujet: "Que le sage ne trouble pas avec sa sagesse celui qui ne sait pas".
            j'ai parlé de Dieu d'une manière non révérencielle, et je LUI ais manqué de respect !
            Oui, mon ami, c'est exactement cela ce que vous avez fait et qui montre que vous n'en connaissez rien de Dieu. Il vous faut donc nécessairement passer par l'acte religieux. Toutes les traditions religieuses connaissent l'acte religieux qui forme le passage de la vérité de surface à la vérité sublime, passage du temps cyclo-linéaire au non temps de la vérité ultime. C'est dans le rite que culminent la vie et l'expérience religieuses, que s'achève l'aventure religieuse, cette aventure qui ancre l'éphémère dans l'essentiel, qui fait goûter à l'atemporalité divine, qui fait savourer le charme de l'être/non être. Le rite, acte religieux par excellence, libère le chercheur des contraintes du temps cyclo-linéaire, et par là même le libère des contraintes de l'existence relative. Par sa beauté et par son intensité, l'acte religieux rend le pratiquant victorieux des vanités de la vie. L'acte religieux invite le chercheur avide de vérité à explorer les espaces illimités d'un au-delà à la fois infiniment proche et infiniment lointain. Allez, bon courage
            A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
            Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

            Commentaire


            • #36
              savoir laisser aux autres le dernier mot quand il le faut.
              Malheureusement tu ne sais pas le faire, c'est plus fort que toi !


              Tu adoptes une tactique propre aux individus comme toi , dans un premier temps , tu réponds à un message, à tous les messages qui sont postés , et soit que tu réponds en caressant dans le sens des poils soit ta réponse est une réaction brutale couverte par un long texte cliché , embrouillant et sans réelle consistance . pour le premier cas , tu vas en tentant de ramener vers toi le posteur du message , tu le met à l'aise , en confiance et tu provoque une réponse de sa part, sachant qu'il ne va pas résister à ton appel . le voici donc qui répond avec une touche d'avis personnel et la tu te mets dans une situation de force et tu réponds en usant de stratagèmes dogmatiques verbaux , tu utilises de belles phrases stéréotypées qui dans un premier temps forcent l'admiration, mais dans tout ceci , tu cherche en vérité à agacer ton interlocuteur et sachant que tu as de belles locutions toutes faites et bien préparées, et étant très bien rodé à ce genre de discussion tu t'en sort toujours avec le dernier mot . Voila , je viens d'écrire ce texte sans m'y preparer , immédiatement apres avoir lu ta première phrase. je ne suis pas allé plus loin , je n'ai pas lu le reste !!!!


              Tu es borné, tu ne vois pas plus loin que ce que tu as dans ta petite cervelle conditionnée, je t'ai proposé une ouverture amicale que tu as refusé , ton entêtement est digne d'une mule récalcitrante , tu n'accepte pas les idées des autres , tu es renfermées sur tes principes qui t’empêchent de voir autre choses que ton nez !
              pffff

              Commentaire


              • #37
                il faut seulement rajouté une chose el makr c'est généralement des tactiques dans les guerres..c'est une régle que n'importe qui peut utilisé dans les deux camps sans le rendre illicite pour son ennemie..
                dans le verset "Khayrou el makirine" le mot makre est devancé par khayrou qui aboutit a une bonne chose, alors que chez les autre le makre aboutit au mal, tendre un piège..
                le makre c'est une tactique de guerre prenez un exemple de la tactique de guerre contre le pharaon d’Égypte par exemple..

                dans une guerre des villes c'est généralement le sérilla urbain, lorsque l'ennemie est acculé il prend des otages..donc vous avez sans doute fait le constat il est possible de faire une tactique pour les faire sortir des villes..

                il parait que les juifs ont fait un makre qui a été nien servi..celui de récuperer tout l'or des villes , ce butin a servi de piège de forcer les armés du pharaon a sortir les demander...

                les tirer vers la mér c'est un piege sans faire de combats et sans exposer les croyant et les oppréssé et surtout sans les obligér a prendre des armes car ils etaient trop faible physqiuement et moralement..

                la chose etait differente avec les arab avec Mohamed salalhou 3alayhi wassalem. Moise comme Mohamed avait apprie les technqiues de combats.
                Moise a était formé par l'armée du pharaon qui c'est retourné contre eux, et Mohamed avait apprie le combat dans ses multiple parcours de va et vient dans les caravanes exposés aux bandits et pillards des routes..
                généralement les musulmans en écrivant sur le prophète oublient cette phase ou il sortaient en caravanier..
                c'est pourquoi Khadidja n'avait jamais eu de gains que avec Mohamed qui sécurisait les convoie elle redevenue plus riche qu'auparavant car avant la moitié sinon la totalité de mla marchandise ne revenait jamais a destination dans les deux sens..
                Mohamed sallalahou 3alayhi wasalame, avait sécurisé tout les échanges commerciaux, il a ainsi dire éliminé tous les bandits chose que nos musulmans n'ont pas assez détaillé, ils se sont concentré uniquement sur la religion, alors que son action entrait plus dans le commerce mondiale de chine jusqu’à l'algerie si on veut dire
                il etait le patron de L'OMC actuel..si il restait vivant il serait maintenant( son PATRON sans contexte.

                d'ici quelque année un nouveau pharaon va s'installer dans la planète, associé comme auparavant a satan , donc la tactique qui va venir a l'avenir et le makr est plus important que celui appliqué sur pharaon, car l'espace du pharaon l’Égypte était réduite. maintenant l'espace couvre toute la terre..

                une belle parie de makr va se jouer et ou Dieu va montrer son Génie..essayiez vous dans un arène et regarder vous allez être dans l’extase avant de passer a l'acte ultime, il faut tout d’abord faire grossir le taureau lui donner la puissance car Dieu ne fait pas la guerre a un chat, il faut au moins qu'il redeviendra un léopard..Dieu ne montre pas sa puissance devant les chats actuels;, pour un chats on lui envoie a la rigueur un chien a sa hauteur qui le fait tressaillir de peur et grimper dans un arbre a toute allure..

                Commentaire


                • #38
                  bien que le pharaon etait un tigre, Dieu est descendu sur terre en personne et a rencontre Moise, Dieu n'a pas envoyé un ange..il est descendu en personne
                  alors les chats actuels dans le monde doivent faire leur calcul

                  Commentaire


                  • #39
                    tu ne vois pas plus loin que ce que tu as dans ta petite cervelle conditionnée
                    Cher Abdelhamid,
                    C'est la seule phrase qui peut attirer l'attention dans votre précédent post, les autres ne sont que mépris, mais je me demande comment vous avez pu penser cela. Pourtant, il apparaît clairement que le rite reste sans aucun conteste le pertinent miroir qui contribue à donner un sens à l'existence de toute religion et en souligne avec force tout ce qui est important, et tout ce qu'il ne faut jamais oublier ou négliger. C'est pour ainsi dire le vrai combat continuel contre l'insouciance de l'ego. C'est cela la raison d'être des rites, des cérémonies, des prières, de toutes les pratiques religieuses. Les gestes de la piété ne sont effectivement vrais que s'ils expriment une attitude spirituelle de foi, si par leur moyen, le croyant se remet et se soumet à Dieu. Les rites dans la mesure où ils sont révélés portent en eux la pleine bénédiction divine dans leur forme et dans leurs fonds. Le vrai danger ne se trouve alors que quand l'homme se laisse aller à inventer des formes et des pensées qui ne font que satisfaire ses sentiments et son ego et perdent donc le vrai sens de l'adoration.

                    Le caractère universel des rituels en Islam apparaît dans le fait que les heures de la prière par exemple ne sont pas fixes mais liées au mouvement purement cosmique. C'est le cas aussi pour le Ramadan ou l'observation du croissant n'est qu'un simple moyen, et non pas une fin en soi, c'est elle aussi un simple acte d'adoration. Les musulmans tournent sept fois autour de la kaaba, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Cette notion de tourner autour d'un point central se retrouve aussi dans la nature, dans un atome, les électrons tournent autour d'un noyau, les planètes tournent autour du soleil, dans une galaxie toutes les étoiles tournent autour d'un point central, etc. En épousant les cycles biologiques et cosmiques de la nature, ou ses cycles, la rituelle marque la fin de tout conditionnement et célèbre l’aube spirituelle naissante, chargée de nouveaux espoirs auprès du divin Seigneur.
                    A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
                    Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

                    Commentaire


                    • #40
                      J'ai longuement réfléchi à mon attitude et cela depuis très longtemps déjà .
                      Et puisse tu réfléchir à ton tour sur ce que je vais écrire maintenant .
                      Imagine toi un royaume peuplé d'Hommes de toutes catégories et de toutes souches sociales, il y a aussi les dirigeants , les ordonnateurs etc; et puis il y a le roi avec sa cour ses ministres ses valets etc.
                      imagine un homme ordinaire du peuple qui désirerais consulter en audience le roi . Ceci lui sera refusé et ce dernier va être reçu par un responsable désigné pour régler les affaires populaires . pour qu'un homme puisse avoir accès au roi directement , il devra d'abord gravir les échelons sociaux et s’élever ainsi en stature et en dignité pour enfin acquérir un titre de noblesse qui lui permettra d'approcher le roi . il en est ainsi ! Suppose donc un enfant né dans la noblesse, il n'aura pas besoin de faire des efforts " sociaux" puisqu'il est déjà dans la cour du roi de par sa naissance.
                      Et c'est ainsi que Dieu choisi parmi ses serviteur celui qu'il veut pour être un proche de Lui et cela sans lui imposer un travail que d'autres devront accomplir , souvent sur toute une vie . Alors , à partir de cette considération , crois tu que les proches du roi , ceux qui font partie de sa cours vont adopter une attitude militaire rigoureuse , ou au contraire jouir de leurs privilèges en riant, jouant , écoutant de la musique , dansant, mangeant et festoyer etc. ? Si tu as compris cette métaphore , alors tu comprendras que la proximité de Dieu dispense de bien des rigueurs coutumières.

                      Tu cites :

                      C'est pour ainsi dire le vrai combat continuel contre l'insouciance de l'ego.
                      Soit, je suis d'accord avec toi pour ce qui concerne celui qui n'est pas encore arrivé au but .


                      Et tu cites encore :

                      C'est cela la raison d'être des rites, des cérémonies, des prières, de toutes les pratiques religieuses. Les gestes de la piété ne sont effectivement vrais que s'ils expriment une attitude spirituelle de foi, si par leur moyen, le croyant se remet et se soumet à Dieu.

                      Je suis d'accord avec toi en ce qui concerne , encore une fois, ceux qui doivent fournir un effort pour acquérir la proximité de Dieu.


                      Et puis encore :
                      Le vrai danger ne se trouve alors que quand l'homme se laisse aller à inventer des formes et des pensées ...
                      Penses tu que les gens de la cour du roi ne se racontent pas entre eux et avec le roi , des histoires amusantes, imaginaires, drôles, et même érotiques et plus encore sans pour cela que ça offense le roi ?

                      Encore une fois , la proximité dispense de bien des rigueurs et permet bien des délices .

                      Commentaire


                      • #41
                        Suppose donc un enfant né dans la noblesse, il n'aura pas besoin de faire des efforts " sociaux" puisqu'il est déjà dans la cour du roi de par sa naissance
                        En france et ailleurs ont a coupès des centaines de tetes pour un detail comme sa
                        Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

                        La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

                        Commentaire


                        • #42
                          Envoyé par abdelhamid31
                          Le nombre 99 !!!!!!


                          Les théologiens ont sorti ce nombre 99 je ne sais d’où et il est devenu un chiffre dogmatique , tous le monde croit que Dieu*possède*99 Nom et attributs , ce qui est totalement faut ! C'est de la pure imbécilité !
                          Est-ce que les théologiens t'ont trompé ou C'est toi qui les a pris pour ce qu'ils ne prétendent pas ?( dans cette question précise ) .


                          L'histoire de 99 noms vient d'un Hadith précis soulignant que Dieu détient plusieurs nom ! ensuite , le Hadith liste 99 noms sans pour autant dire que ce sont les seuls noms d'ailleurs, cette dernière partie qui parle des 99 noms on ne sait pas si elle est la parole du prophète , du compagnon ou de son disciples ?? Il y'a divergence parmi les interprétes de ce Hadiths et même ceux qui font remonter les noms au prophètes ne croient pas à une liste unique ( il y'a des variantes ) .


                          Finalement , certains savants ( Bayhaqi entre autre ) ont listé jusqu'à 140 noms détenu dans le Coran et le Hadith .



                          أسماء الله ليست محصورة بعدد معين ، والدليل على ذلك قوله صلى الله عليه وسلم في الحديث الصحيح : ( اللهم إني عبدك وابن عبدك وابن أمتك . . إلى أن قال : أسألك بكل اسم هو لك سميت به نفسك ، أو أنزلته في كتابك ، أو علمته أحداً من خلقك ، أو استأثرت به في علم الغيب عندك

                          Commentaire


                          • #43
                            ceux qui n'ont pas appri l'arabe l ne peuvent pas acceder a l'isame car our y acceder il faut lire le coran...si n lit le manuel de logiciel en anglais et traduit ce n'est pas a meme chose..avec ma connaissance scolaire de l'anglais je lit une technique en anglais que en français..en français je ne comprend rien.le style passe du littéraire au scientifique..et il parait le lire en allemand c'est autre chose encore...
                            dans ce verset l'ordre fut donner individuelement chaque croyant prie Dieu par un nom spsecifique selonsa propre situation, quelqu'un qui n'a pas encore d'enfant il s'adresse a Dieu par el wahabe, il n'a pas le choix mais si il a des enfants et veux faire plus d'argent il choisira le nom de razzake , un scientifique qui bute devant la découverte d'un médicament il choisira el 3alime ainsi de suite..
                            et d'apres ce verset Dieu met la main sur les meilleurs qualificatif, personne ne peut l'égaler dans tous les domaine..un genral de l'armée bute devant le nom de El Jabbar , devant Dieu et le ophete et leurs deux armés il dépose les armes et signe l'acte de se rendre ''aslim taslame you'ata ajroka maratayini'' rends toi tu sera épargné et ton salaire sera doublé

                            (179) وَلِلَّهِ الْأَسْمَاءُ الْحُسْنَىٰ فَادْعُوهُ بِهَا ۖ وَذَرُوا الَّذِينَ يُلْحِدُونَ فِي أَسْمَائِهِ ۚ سَيُجْزَوْنَ مَا كَانُوا يَعْمَلُونَ (180)

                            Commentaire


                            • #44
                              وأصل " الإلحاد " في كلام العرب: العدول عن القصد, والجورُ عنه, والإعراض. ثم يستعمل في كل معوَجّ غير مستقيم, ولذلك قيل للحْد القبر: " لحد ", لأنه في ناحية منه، وليس في وسطه. يقال منه: " ألحد فلانٌ يُلْحِد إلحادًا ", و " لَحد يلْحَد لَحْدًا ولُحُودًا ". (19) وقد ذكر عن الكسائي أنه كان يفرّق بين " الإلحاد " و " اللحٍْد ", فيقول في " الإلحاد ": إنه العدول عن القصد, وفي " اللحد " إنه الركون إلى الشيء. وكان يقرأ جميع ما في القرآن: (يُلْحِدُونَ) بضم الياء وكسر الحاء, إلا التي في النحل, فإنه كان يقرؤها: " يَلْحَدُون " بفتح الياء والحاء, (20) ويزعم أنه بمعنى الركون

                              il ya un nom de ilhade que tu ne peux pas trouvé chez les monotheiste banou israil chretiens ou musulman et tu ne le trouves bligatoirement que chez certain groupe .. le fait de dire Jesus fils de Dieu ou Osayre fils de Dieu tu sera obligé de rajouter ce nom ''EL Walid'' le Pére le géniteur
                              ce nom existe chez certain groupe ''le pére et le st esprit .

                              le nom de géniteur et père n'existe pas chez les monothéiste pure et dure

                              wallahou a3lam

                              Commentaire


                              • #45
                                Ibn Arabî et le voyage sans retour,


                                L’Assemblée des Noms divins

                                Les Noms ne sont pas l’Essence, et pourtant ils ne sont pas autre chose que Celui
                                qu’ils désignent : « Chaque Nom divin désigne à la fois l’Essence et le sens particulier
                                qu’il véhicule et qu’il réclame. En tant qu’il désigne l’Essence, il inclut tous les autres
                                Noms, en tant qu’il réfère au sens qui lui est spécifique, il se distingue des autres Noms
                                [...]. Le Nom est donc le Nommé sous le rapport de l’Essence, il est autre que le Nommé
                                sous le rapport du sens particulier qu’il véhicule [1] » Pas plus que la création n’affecte
                                Son éternelle solitude, la pluralité des Noms n’altère pas la radicale simplicité de
                                l’Essence. Dans sa nudité, l’Essence est à jamais inconnue et inconnaissable. Exclusive
                                de toute multiplicité, elle ignore les créatures, elle ignore les Noms. De ce point de vue, «
                                Dieu est et rien n’est avec Lui », et l’univers est rigoureusement inexistant. C’est du «
                                Trésor caché » qui aspire à dévoiler ses richesses, c’est-à-dire de l’Être en tant qu’il
                                contient la multiplicité des Noms, qu’il puise à chaque instant son existence.
                                Cette apparition du monde à l’existence va être opérée par l’« effusion sainte » (al-fayd
                                al-muqaddas) - ebullitio dans le vocabulaire de Maître Eckhart. Il est à peine besoin de
                                préciser que les « opérations » dont nous parlons s’accomplissent dans l’éternel Présent
                                divin et que seule la structure du langage humain impose de les décrire comme se
                                déroulant successivement dans une durée. Présents dans l’« unité inclusive », les Noms
                                sollicitent des mazâhir, des «réceptacles épiphaniques », de sorte qu’ils puissent se
                                différencier en acte: «N’eussent été les possibles, nul effet des Noms divins n’aurait été
                                manifesté; et le nom est identique au nommé particulièrement quand il s’agit des Noms
                                divins [2] . »
                                A plusieurs reprises (dans le Anqâ, dans l’Inshâ al- dawâ’ir, dans les Futûhât), Ibn
                                Arabî décrit la dramaturgie divine qui se conclura par la manifestation ad extra de la
                                multiplicité interne à l’unité. « Les Noms se rassemblèrent en présence du Nommé; ils
                                contemplèrent leurs réalités et leurs significations propres et réclamèrent de manifester
                                leurs effets afin que leurs entités se distinguent les unes des autres [3] ... » Un soupir
                                cosmique va résoudre la tension intradivine que symbolise le désir amoureux du «
                                Trésor caché » d’être connu et qu’explicite la scène grandiose de l’« Assemblée des
                                Noms». L’«expir» ou le « souffle du Tout-Miséricordieux » (nafas al-rahmân, une
                                expression empruntée au langage prophétique) produit la « Nuée » (al-amâ), qu’Ibn
                                Arabî appelle aussi - empruntant cette formule au soufi andalou Ibn Barrajân - « la
                                réalité dont toute chose est créée », autrement dit la materia prima.
                                Connus de Dieu de toute éternité, les « possibles » apparaissent donc en mode distinctif
                                dans la « Nuée ». Présents à Dieu, ils sont absents d’eux-mêmes jusqu’à ce que
                                retentisse le « Sois ! » qui les projette ad extra : « Le Souffle a pour origine Son amour
                                des créatures dont Il voulait Se faire connaître afin qu’elles Le connaissent. Ainsi
                                apparut la Nuée, que l’on appelle “la réalité dont toute chose est créée”. Cette Nuée est la
                                Substance du cosmos, aussi reçoit-elle toutes les formes, les esprits, les composés de
                                l’univers; c’est un réceptacle infini... Lorsque nous entendîmes Sa parole “Sois!”, alors
                                que nous étions des entités immuables dans la substance de la Nuée, nous ne pûmes
                                nous détourner de l’existence [4] » De même, remarque Ibn Arabî, que l’expiration
                                humaine produit des phonèmes, le Souffle du Miséricordieux génère des kalimât, des
                                paroles dont la somme constitue l’univers : « L’univers n’est rien d’autre que Ses
                                paroles [5] . » Nous sommes des lettres dont Il est le sens [6] .
                                La création est doublement un acte de futuwwa, de générosité divine, à l’égard des
                                Noms et à l’égard des créatures. Les «possibles» étant revêtus de l’existence, les Noms
                                peuvent exercer leur autorité (hukm) ; la requête des Noms ayant été satisfaite, les «
                                possibles » peuvent se connaître et connaître Dieu. Aussi bien Ibn Arabî n’hésite-t-il pas
                                à dire que les Noms sont notre subsistance autant que nous sommes la leur. Et que sont
                                les Noms sinon le Nommé ? «Étant donné que l’univers ne subsiste que par Dieu et
                                étant donné que l’attribut divin ne subsiste qu’à travers l’univers, chacun des deux est la
                                subsistance de l’autre, chacun se nourrit de l’autre [7] ... »
                                Comme d’autres spirituels, musulmans et non musulmans, Ibn Arabî a recours à
                                diverses métaphores pour exprimer cette subtile relation entre haqq et khalq, entre Dieu
                                et Sa création : celle de la lumière, dont les rayons ne sont visibles que s’il y a un objet
                                pour les réverbérer, celle de l’ombre, qui, pareillement, ne se manifeste en acte qu’à
                                condition d’être projetée sur une surface. Les Noms sont l’ombre de Dieu, les rayons de
                                Son Essence... Les créatures sont les réceptacles qui les réfléchissent à plus ou moins
                                grande échelle selon leur configuration propre, c’est- à-dire selon leur prédisposition
                                essentielle. De même que les rayons ne sont ni le soleil ni autre chose que le soleil, les
                                Noms ne sont pas Dieu, mais ils ne sont pas autre chose que le Nommé. On peut donc
                                dire de l’univers qu’« il n’est rien d’autre que Ses noms [8] » ou qu’« il est l’ombre de
                                Dieu [9] », ou bien encore qu’« il n’est rien d’autre que Son épiphanisation dans les
                                formes des entités immutables qui ne pourraient exister sans cela [10] ».
                                Lieux épiphaniques de l’Être, les créatures sont pareilles aux formes que réfléchit un
                                miroir, réelles et visibles à l’œil nu et pourtant absolument chimériques : que celui qui se
                                regarde dans le miroir se retire, aussitôt elles s’évanouissent dans le néant. Ainsi en va-t-
                                il des « étants ». Au moment même où l’un d’eux apparaît à l’existence, sa nature
                                ontologique de « possible » le ramène au néant; dépourvu d’être propre, il est voué par nature au non-être.
                                Ce sont les théophanies, incessantes et perpétuellement nouvelles,
                                qui, à chaque instant, le revêtent d’une existence neuve : « “Non, en vérité, ils sont dans
                                la confusion quant à la re-création (khalq jadîd)" (Cor. 50:15) : l’entité de chaque étant
                                est renouvelée à chaque instant et il ne peut en être autrement car Dieu ne cesse jamais
                                d’être l’Agent de l’existence des possibles [11] . »
                                « A chaque instant le cosmos, du point de vue de sa forme, subit une nouvelle création,
                                dans laquelle il n’y a pas de répétition [12] . » L’instant où une chose cesse d’être est
                                celui- là même où Dieu la revêt d’une autre existence, similaire mais non identique à la
                                précédente. A nos regards infirmes, l’univers semble donc posséder une existence
                                continue.

                                Claude Addas

                                [1] Fusûs, I, p. 79, 80.
                                [2] Fut., I, p. 323.
                                [3] Fut., II, p. 331
                                [4] Fut, I, p. 366 ; II, p. 390, 395 et 459.
                                [5] Fut., III, p. 148.
                                [6] Fut., III, p. 363.
                                [7] Fut., III, p. 405.
                                [8] Fusûs, I, p. 101.
                                [9] Fusûs, I, p. 101.
                                [10] Fusûs, I, p. 81.
                                [11] Fut., IV, p. 320.
                                [12] Fut., II, p. 677.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X