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Un conseil:
Quand vous dormez, évitez de vous couvrir le visage ou du moins les orifices de respiration ( narines et bouche). Je ne sais pas comment on dit ça en français mais chez nous on dit: "Yetghamghel" يتغمغل.
El Bouberrak est souvent la conséquence du Etghamghil qui empêche l'air qu'on respire de se renouveler.
Un nez bouché (grippe par exemple) peut aussi entraîner des troubles de sommeil.
Notre sommeil est influencé par plusieurs facteurs materiels externes et par d'autres facteurs psychologisues.
Quelqu'un m'a raconté que، quand il était enfant, lors d'une colonie de vacances, il remplissait une tasse d'eau et passait dans les rangs de ses camarades endormis et trempait leurs mains dans la tasse d'eau. Résultat: beaucoup parmi ses victimes finissait par faire pipi au lit.
N.B:
Moi personnellement, je ne crois pas aux rêves prémonitoires.
Dernière modification par sud_Men, 25 octobre 2019, 10h04.
On meurt de dette en oxygène, jamais du contraire.
On entend dire souvent qu'il ne faut pas donner plus de 3 litres d'oxygène par minute à un insuffisant respiratoire chronique car il risque de ne pas le supporter. Cette phrase n'est vraie qu'en dehors d'une phase de décompensation: très sensibles à l'oxygène, les centres nerveux de ce type de malade réagissent parfois à l'augmentation brutale et non motivée du taux d'oxygène sanguin en diminuant la fréquence respiratoire jusqu'à l'arrêter; c'est ce que l'on appelle l'effet paradoxal de l'oxygène qui va jusqu'à endormir le malade. Lors d'une insuffisance respiratoire aiguë, le manque en oxygène est tel qu'il ne faut pas craindre chez ce type de victime un effet paradoxal mais délivrer au contraire de forts débits pour lutter contre la mauvaise qualité des échanges gazeux de ses poumons. Par contre, en l'absence de détresse respiratoire, l'oxygénothérapie ne s'impose pas. Mieux vaut rester prudent et ne pas délivrer d'oxygène ou, après avis médical, à faible débit ( selon le débit utilisé à domicile, par exemple).
HYPOXIE qui peut mener a l asphyxie par mauvaise habitude et meconnaissance de l intoxication au CO2
Les personnes QUI DORMENT EN SE OUVRANT LA TETE ET VISAGE AVEC COUVERTURE PEUVENT OU TOMBENT DANS UNE HYPOXIE VRAIE AVEC TOUTES SES CONSEQUENCES . ( ...La plus visible EST UN MANQUE DE VIGILENCE FAIBLESSE DE COMPREHENSSION FAIBLESSE DE REACTIONS PARLEES ECRITE ENTENDUES ......
et pour reprendre CELA METTRAI DES JOURS ET DES MOIS selon les lésions
sinon meme des années .
Un vrai gâchis ............
Puits
1960 Royaume-Uni (Londres) [38]
Accident dans un puits fermé pendant 48 heures : l’accumulation de
CO2 au fond du puits aurait été nettement accélérée pendant les
deux jours de fermeture par une pression barométrique particulièrement faible (993 mbars).
1963 Royaume-Uni (Londres) [39]
Perte de connaissance d'un homme chargé de l’échantillonnage d’eau,
pratiqué de manière hebdomadaire,immédiatement après son entrée
dans la chambre de tête du puits. Perte de connaissance des deux
hommes qui ont voulu lui apporter de l’aide.
1969 Pologne [23]
Perte de connaissance d'un travailleur descendu dans un ancien puits
pour l’approfondir.
1982 Pologne [40]
L’accès à des canalisations à nettoyer devait se faire par un puits. Perte
de connaissance immédiate des deux premiers ouvriers arrivés au
fond du puits ; les deux ouvriers qui suivaient perdent connaissance à
mi-chemin et sont remontés à la surface par leurs collègues.
La concentration de CO2 dans la
cuve a été estimée entre 30 et
60 %.
La concentration en CO2 a été
évaluée a posteriori entre 2 000
ppm et 10 000 ppm.
La concentration de CO2 des
puits d’accès aux galeries vérifiée
le jour même n’avait pas été
jugée excessive. Après l’accident,
la concentration mesurée était
de 20 %.
La concentration de CO2 a été
estimée entre 25 et 30 % et
aucun autre gaz toxique n'a été
détecté.
Pas de mesure de CO2, gaz le
plus fréquent dans ces circonstances ; pas de carboxyhémoglobine à l’autopsie ; pas d’odeur de
H2S.
Pas de mesure. Mais les circonstances et la soudaineté de la perte
de connaissance ont été considérées comme spécifiques de l’intoxication au CO2, favorisée par
les conditions climatiques (pression barométrique à 981 mbars et
gel du sol).
La concentration de CO2 mesurée était de 10 %.
La concentration de CO2 mesurée au fond du puits était de 20 %.
Sur 42 victimes, 31 décès (18
immédiats, dont un quart en
tentant de porter secours).
Un décès.
14 décès et 8 malaises.
45 victimes, dont deux décès.
Aucun décès. Symptomatologie
neuropsychiatrique persistant plusieurs mois après l’accident, chez
les cinq patients ayant eu un coma.
Trois décès rapides, un quatrième après un coma de 11 mois.
Un décès. Séquelles neuropsychiatriques et oculaires chez les 2
survivants (exposés pendant 1 et
5 min).
Céphalées pendant plus d’un
mois.
Deux décès. Deux survivants
MAIS N A RIEN A VOIRE AVEC LE SUJET DU POST
Dernière modification par m1111, 25 octobre 2019, 11h51.
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