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Les 5 prières

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  • #16
    moi jai entendu les imams dirent

    QUE La musique est l'instrument DU SHETAN

    A OUDOUBILLAH

    deja écoute le coran en entier chaque jour cela fais 22h !! donc puorkoi écouté du rai, des chasons qui parle de marige, de conquete, de divorce, de tristesse..pk mélange t-ils des mots qui non rien a voir

    je sais juste que un prof de din ma dit : que lon pouvé écoute la musique que de ceux qui ne faont pas chavirer le coeur dans la deprime, les pleurs, le frestyle (reférence au boite mdr lol :fumeur7: !!!)

    enfin

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    • #17
      Salam,

      Un petit passage rapide pour vous mettre en garde contre le site Islam-danger.com donné par Sheyla (je pense de manière involontaire). Il s'agit d'un site islamophobe lié à des cercles sionistes (regardez leur forum, ils ont une rubrique consacrée à Israel) comme il en existe un certains nombres sur le net et dont le but est de déformer le message de l'Islam en lui imputamt toute sortes de mensonge grossier.

      Donc toutes informations concernant des hadiths ou des versets issuent de ce site sont à prendre avec bcp de précautions !!!!

      Sinon en ce qui concerne la musique il faut savoir qu'il n'y a pas une unanimité entre les savants en ce qui concerne son interdiction.

      Désolé de ne pouvoir en dire plus faute de temps.

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      • #18
        Azul Afrouh alors désolée ce site m'a été offert par un Musulman pratiquant de Alger donc je conclue que ya encore des bons musulmans mais qui ignorent encore les dites hadiths malgré ce site j,ai seulement voulue demontrer que Islam met la musique haram et les versets donc des hadiths sont fausser??? :shock: (je sais pas tous par coeur les hadiths a vous de me dire si ils ont été modifiés) encore desolée

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        • #19
          Shelya l'erreur est humaine

          mais je suis avec Afrouh car les sites comme cela jen ai vus bcp sur le net, des sois disants site musulmans qui font en sorte que ceux qui y participent melange les vrais paroles avec leurs imagination, !!!!

          rien que musulmane.oneline je te raconte meme pas ce qui mettre dedans autres les injures, des hadits qui sorten des paroles dun fou, des fotos nue des filles!!! etc

          crois moi fau mieux se mégfier SURTOUT QUE COMME JE LAI ENTENDU DIRE PAR UN :ben: ET BIEN LA MEILLEUR ATTAQUE CEST DE FAIRE EN SORTE QUE LES ENNEMIS SENTENDENT PAS ENTRE EUX UNE SORTE DE MINI GUERRE CIVIL-MORAL !!!!!!!!!!

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          • #20
            Question:

            Nous avons entendu dire qu'il y a, chez certains savants musulmans, une opinion disant que le chant et la musique sont autorisés en islam. Quel est votre avis sur le sujet ?


            Réponse :

            En islam, il y a certaines catégories de musiques qui sont autorisées à l'unanimité, d'autres musiques qui sont interdites à l'unanimité, enfin certaines musiques qui font l'objet de divergences d'opinions parmi des savants musulmans.


            A) Ce qui fait l'unanimité et n'est pas concerné par ce débat :

            Ce qu'il faut d'emblée dire c'est que ce qui fait débat est seulement la question de savoir s'il est permis de faire ou d'écouter des chants ou de la musique en tant que divertissement, donc en tant qu'acte permis (mubâh) en soi, acte pour lequel il ne peut y avoir de récompense dans l'au-delà que par rapport à l'intention de se reposer pour pouvoir à nouveau mieux agir dans le bien. Cependant, il n'y a pas débat à propos du fait d'écouter ou de faire du chant ou de la musique en tant qu'actes cultuels en soi, en tant qu'actes qui serviraient directement à se rapprocher de Dieu : il n'y a pas débat car une telle perception est erronée à l'unanimité des savants (Islâm aur mûssîqâ, Muftî Muhammad Shafî', avec annotations de Cheikh Abd ul-Mu'izz, p. 291, p. 294).

            Cette précision faite, il faut aussi dire que, même lorsque chant et musique sont pris comme divertissements, les cas suivants sont eux aussi hors du cadre du débat car faisant l'unanimité chez les ulémas. En effet, attachés à un cadre éthique et à une certaine vision de la vie, les musulmans sont d'accord pour dire que les cas suivants (qu'ils concernent le chant seul ou l'instrumentation musicale seule ou le chant accompagné d'une instrumentation musicale) sont hors du cadre éthique :
            1) quand le contenu du chant manque aux principes musulmans (appel à la violence, grossièreté, obscénité, éloge de l'alcool, invitation à l'adultère, etc.) ;
            2) quand, à côté du chant ou de la musique, se trouve un ou plusieurs éléments qui contreviennent aux principes de l'islam (ambiance malsaine, nudité, scènes obscènes, etc.) ;
            3) quand chanter ou écouter le chant ou la musique est fait à un moment ou d'une façon qui entraîne un manquement dans ses devoirs vis-à-vis de Dieu ou de ses parents, etc. (pas de respect pour les horaires des prières obligatoires, délaissement des parents, manquements aux devoirs de son épouse ou de ses enfants, etc.) ;
            4) quand on se laisse aller à une inversion dans l'échelle de ses valeurs et qu'au lieu que le divertissement reste un moment temporaire et secondaire permettant de se prélasser pour pouvoir ensuite mieux et de nouveau se consacrer à l'objectif de la vie (se souvenir de Dieu, L'aimer, développer sa spiritualité, agir pour le bien de la société), c'est le chant qui prend, dans l'esprit, le cœur et les actes de sa vie, la place qui est réservé à d'autres choses.

            Ces points-ci sont donc hors du cadre du débat. Ce sont les autres types de chants et de musique qui font l'objet du débat que nous allons évoquer.


            B) Ce qui est concerné par le débat à propos du chant et de la musique :

            Pourquoi y a-t-il débat ? L'islam interdirait-il les divertissements ? Non, bien au contraire : le divertissement fait partie de l'existence humaine et l'islam ne l'interdit pas ; cependant il demande que les musulmans le fassent dans une mesure saine et équilibrée. Or, le divertissement a ceci de particulier par rapport à d'autres activités que, ne causant que du plaisir et de la détente, il peut facilement mener peu à peu le joueur à devenir paresseux et insouciant de ses devoirs (vis-à-vis des hommes ou vis-à-vis de Dieu). On peut ainsi remarquer qu'il est des divertissements qui, une fois qu'une personne se met à les pratiquer, se mettent – pour reprendre l'expression de Ben Halima – à occuper une bonne partie de sa "mémoire vive" : même après le temps passé dans ces divertissements, il devient très difficile à cette personne de se concentrer dans la prière, les invocations et la lecture du Coran, ces activités spirituelles perdant leur goût et devenant "lourdes" (voir Six leçons pour les jeunes, inspirées de Sourate Youssef, Ben Halima Abderraouf, Le Figuier, p. 8). De plus, ces divertissements absorbent une bonne partie du temps de la personne, détournant celle-ci d'activités infiniment plus profitables – telles qu'une promenade, la pratique d'un sport, des visites, des activités associatives – voire même d'activités essentielles – devoirs scolaires, service de la famille, etc. C'est pour lui éviter cela que l'islam a offert au musulman un cadre orientant ses divertissements.
            "… Tout ce par quoi le musulman se divertit est "bâtil" sauf le fait qu'il tire à l'arc, le fait qu'il éduque son cheval, et le fait qu'il joue avec sa famille, car cela relève de la vérité ("al-haqq")" (rapporté par At-Tirmidhî, n° 1637). Certains musulmans ont cru que le terme "bâtil" signifiait ici "interdit", alors qu'il est ici employé par opposition à "haqq" ("vérité") et qu'il signifie donc "inutile", dans le sens où le divertissement autre que ces trois-là n'est ni interdit, ni déconseillé, ni recommandé ni obligatoire, il reste juste permis en soi et ne rapporte aucune récompenses auprès de Dieu (voir ce que Ash-Shawkânî a écrit à ce sujet : Nayl al-awtâr, tome 8, p. 248). D'ailleurs il n'y a pas que ces trois divertissements qui fassent exception : tout divertissement qui contribue lui aussi à atteindre un objectif voulu par l'islam fait exception et n'est pas inutile ; ainsi le Prophète a-t-il invité Aïcha à regarder le jeu des Abyssiniens, fait autre que les trois divertissements sus-cités. Un autre Hadîth dénombre ainsi quatre divertissements qui font exception. Cet autre Hadîth emploie d'ailleurs, pour qualifier des divertissements autres que ceux qui font exception, le terme "lahw" au lieu de "bâtil" (voir As-Sahîha, n° 315). Il est vrai que, parmi ces divertissements autres que ceux faisant exception, il en est qui sont "interdits en soi" et sont donc à délaisser systématiquement ; cependant, les autres restent "lahw", c'est-à-dire "futiles" – dans le sens de "neutres" : ils ne rapportent ni récompense ni péché –, et restent donc permis en soi.

            La question qui se pose est seulement de savoir si le chant et la musique sont des divertissements qui relèvent de la catégorie "à délaisser systématiquement" ou qui relèvent de la catégorie "neutres, permis en soi du moment qu'ils sont utilisés avec modération". S'ils sont à délaisser systématiquement (harâm mutlaqan), cela est à rapprocher du cas du jeu de trictrac tel qu'il est compris par la majorité des savants : ce jeu est systématiquement à éviter parce que susceptible de créer chez celui qui se met à y jouer un fort attachement (huwa mazinna lis-sadd 'an dhikr-illâh wa 'an-is-salât – yad'û qalîluhû ilâ kathîrih) ; même si quelqu'un se sent capable de ne pas en devenir accro, la règle est qu'il doit s'en abstenir. Par contre, s'ils sont permis en soi (mubâh fî nafsih, yahrum bil-'âridh), cela veut dire qu'en soi on peut les pratiquer mais qu'il faut arriver à le faire dans le cadre éthique voulu et avec modération ; cela est alors à rapprocher du cas du jeu de trictrac comme le perçoivent ces quelques savants shafiites qui pensent que ce jeu est en soi permis et qu'il ne devient interdit que dans le cas où on le joue avec une mise d'argent, ou bien où on le joue d'une façon qui détourne concrètement de l'orientation de la vie, ou bien où on y devient accro.

            Pour reprendre les mots de Muftî Muhammad Shafî', la question du chant et de la musique "a fait l'objet de longs débats entre des savants musulmans de ces derniers siècles" (Islâm aur musîqâ, p. 87). Ici, nous allons aborder d'abord le cas du chant en tant que tel, ensuite celui de l'instrumentation musicale.

            Suite:

            http://www.maison-islam.com/article....mp;mode=thread

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            • #21
              Azul fellawen merci a toi soeur ferrudja et a Afrouh ton message dans ce contexte est tt a fait juste
              il y a certaines catégories de musiques qui sont autorisées à l'unanimité, d'autres musiques qui sont interdites à l'unanimité, enfin certaines musiques qui font l'objet de divergences d'opinions parmi des savants musulmans.
              .. 8)
              je vais surtout me mefier aussi des sites avec les moteurs de recherche sur le net ils donnent meme ce lien en premier donc desolant de voir bafouiller de cette facon je voudrais bien que l'ont enleve le lien que j'y est mis svp arriver chez moi ce soir je l'ai parcouru et Afrouh avait certe bon oeil merci a vous
              amicalement sheyla

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              • #22
                deja si cela aurait été autorisé !!
                alors yauré deja des :ben: :ben: :dude: en boîte !!!

                mdr jimagine meme pas le truc !!

                une fos jai parlé a mon libraire sur cela, il ma dit ya pas pire que les boîte de nuit ==> il ma dit CE LE PJ DU SHETAN leur QG
                MDR jai trop rigole surtout quand tu vois la tete du libraire :ben: un grand pere !!

                enfin je crois que seul le darbouka est autorisé !!!! :dude:

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                • #23
                  Salam

                  POURQOI VOUS ETES INTERESSE PAR LES SITES .
                  LISEZ LES LIVRES DE LA SOUNNA COMME SAHIH EL BOUKHARI ET SAHIH MOUSLM ET LES LIVRES DU FIK'H
                  no gain without pain

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