Le monothéisme pur dans l'Hindouisme

[Issabrahimi]

Dans le livre Saint des Hindous connus comme les Upanishads, la description du Dieu est clairement d'un Dieu UN et Unique. La description ressemble bcp à la description de Dieu dans le Chapitre 112 connu sous le nom al Ikhlas ( la sincérité):

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

1. Dis : « Il est Allah, Unique.

2. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons.

3. Il n'a jamais engendré, n'a pas été engendré non plus.

4. Et nul n'est égal à Lui. »

Dans les Upanishad on trouve cela:



"Ekam evadvitiyam" "Il est Un seul, sans égal." [Chandogya Upanishad 61]1

"Na casya kascij janita na cadhipah." "Il n'a ni parents ni seigneur." [Svetasvatara Upanishad 6:9]2

"Na tasya pratima asti" "Il n'y a aucune ressemblance à Lui." [Svetasvatara Upanishad 4:19]3

Selon Al Bayrouni, l'élite Hindoue était tjs une élite monotheiste. Elle croyait que le polytheisme n'était que les différentes manifestations de Dieu mais à l'essence Dieu est Un et Unique san parteneur.

[Neufseptrois]

Ahahahah te voila devenu théiste !
Tu peux faire du concordisme avec toutes les religions monothéistes, pourtant Allah puni les associateurs...
Allahu akbar signifie "Allah est le plus grand" et non pas "Dieu est le plus grand", Allah n'est pas le mot générique pour « dieu » en arabe (Rabbi),
mais le nom de la divinité de l'Islam. Allah reconnait ainsi qu'il y a d'autres dieux mais que lui est simplement au dessus des autres, hindous compris.

[infinite1]

Neufseptrois,


Moi ce qui me pose problème, c'est comment un simple commun des mortels puisse être aussi formel sur l’existence d'un Dieu unique?

Sur quelle base s’appuient de telles déclarations péremptoires.

Un argument péremptoire comme chacun le sait clos la discussion, il qui indique qu'on ne peut rien objecter, ni rajouter.

Comment parler d'un ton péremptoire sur un sujet qu'on ignore?


A cela Issabrahimi ne peut pas répondre, sinon à tortiller du popotin afin de noyer le sujet (la question posée) dans un verbiage sans rapport, on convoquant "ses Couyoukhs" (selon Cheikh flen...) tout on faignant d'ignorer que "ses Chouyoukhs" ont chacun sa tête dans sa chéchia, et non pas dans la chéchia d’autrui .

[Neufseptrois]

infinite1,

Comme toi je m'étonne toujours du niveau d'endoctrinement qu'est capable de soutenir l'islam, la terreur de l'enfer les ont cognitivement atteint .
Les Allahistes pourraient donner l'impression d'une arrogance incroyable, alors que tenu dans l'obscurantisme par la barbichette,
c'est l'ignorance mais surtout la peur qui guide leurs arguments péremptoires.

Les musulmans sont parmi les religieux ceux qui connaissent le moins leur religion, on leur dit quoi dire, quoi faire, comment penser.
Un musulman qui a compris l'islam est un apostat parcequ'il a réfléchit librement .
Les Chouyoukhs appelés à leur secours ne sont plus d'aucune utilité en 2024 leur méthode de hold up mental ne fonctionne plus.
Avant, en milieu fermé ils pouvaient convaincre, subjuguer, braquer les esprits peu instruit comme je l'ai été, comme tous les enfants le sont.
Aujourd'hui ces VIPs illuminés sont comme des flaques d'obscurantismes noyés dans l'océan de savoir disponible sur internet.
Tu sais, certains prétendent encore que la terre est plate comme un tapis ou qu'Adam et Eve sont nos aïeuls, seulement maintenant on sait d'où ça vient....

[Issabrahimi]

Al Bayrouni a écrit toute une encyclopédie sur l'Inde, ses langues, ses peuples et sa religion. Il dit que l'élite Hindoue connaissait bien que Dieu est UN. Elle était monotheiste. Les peuplades ne savaient pas cela et pratiquaient le polytheisme. Mais dans l'essence de l'Hindouisme, Dieu est UN et Unique.

Il faut avoir un certain niveau chez les Hindous pour étudier les Upanishads. Il faut être purifié spirituellement et physiquement par le jeune, la méditation, l'isolement pour étudier ces livres Saints.

[infinite1]

Issa,

Avoir un certain niveau certes, "être purifié" éventuellement pourquoi pas !... mais croire mordicus en ces sornettes n'est pas une obligation.