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Nouveau monde du high-tech....petite histoire

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  • Nouveau monde du high-tech....petite histoire

    Nouveau monde. Le téléphone portable date de 1973
    Nous sommes à New York, le 3 avril 1973. Dans la rue, un ingénieur de la société Motorola, Martin Cooper, passe le tout premier appel à l’aide d’un téléphone portable qu’il vient de mettre au point. Il appelle son collègue Joël Engel, de la société concurrente Bell Labs, qui travaille lui aussi sur un projet de téléphone portable, pour lui annoncer qu’il l’a doublé. Le brevet du radiotéléphone sera déposé six mois plus tard, le 17 octobre 1973, par Motorola.

    Cependant, il faudra attendre encore 10 ans, 1983, le temps de déployer des réseaux, pour que le premier téléphone portable soit commercialisé. C’est le DynaTac 8000X. Hérité du premier prototype de Motorola, il pèse 790 grammes et coûte presque 4 000 dollars. Viendront ensuite, le MicroTac de la même marque (1989) avec son célèbre clapet et sa petite antenne qui se déplie. En France, le réseau Radiocom 2000, voit le jour. Il est surtout destiné aux téléphones de voiture, c’est de la 1G. Parallèlement, on déploie le Bi-Bop, un petit téléphone très léger, mais qui marche seulement si on se tient sans bouger sous une borne.

    Puis vient le temps du téléphone intelligent

    Le premier concept de smartphone, c’est-à-dire un téléphone avec écran tactile, stylet, agenda et messagerie, c’est le Simon d’IBM, présenté en salon Comdex de Las Vegas en 1992. En 1996, Nokia lance le Communicator. Un gros appareil qui se déplie dans le sens de la largeur car il dispose d’un vrai petit clavier d’ordinateur. Il deviendra le chouchou des hommes d’affaires.

    En 1998, on compte 7 millions d’abonnés au téléphone mobile en France. Les mentalités sont prêtes pour accueillir les Palm, Blackberry et les premiers Windows Phone. Jusqu’à la sortie de l’iPhone en 2007, qui fixe les règles : plus de clavier, un écran tactile, et des applications téléchargeables (à partir de 2008 avec l’ouverture de l’App Store). Tout cela s’est accompagné de l’évolution des réseaux de télécommunications, qui ont dû à chaque fois s’adapter aux besoins et aux innovations technologiques.

    Jérôme Colombain
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    La calculatrice de poche est née il y a presque 50 ans

    On s’intéresse aux innovations technologiques qui ont changé nos vies. Parmi elles, une invention qui a sauvé du naufrage bon nombre de collégiens : la calculatrice de poche. Son origine est très ancienne, en réalité.

    La toute première machine à calculer, on la doit au mathématicien Blaise Pascal, au 17e siècle. C’est la Pascaline. Une machine de la taille d’une boite à chaussure, contenant tout un système de roues dentées. La Pascaline ne savait faire que des additions. On peut la voir aujourd’hui encore au Musée des arts et métiers à Paris. Au 19 siècle, des ingénieurs allemands ont inventé la calculette électromagnétique, capable de faire en plus les multiplications. Elle pesait 40 kilos. Autant dire qu’il n’était pas question de la mettre dans son cartable pour tricher au bac.


    Enfin, sont apparues les calculatrices, ou calculettes électroniques mais elles sont encore très grosses. La première date de 1965. Elle est signé Texas Instruments. En 1967, Texas met au point une deuxième version à piles, qui pèse encore plus d’1 kilo.


    Les vraies calculatrices de poche datent du début des années 70


    La première vraie calculatrice de poche à affichage LED a été lancée en 1971 par une marque japonaise aujourd’hui disparue, Busicom. Ensuite, d’innombrables modèles vont voir le jour, signés Texas Instruments, Sharp, Casio, Hewlett Packard. La calculatrice est une invention qui a le triste privilège d’avoir changé nos vies mais d’avoir aujourd’hui quasiment disparu au profit des smartphones, qui intègrent évidemment des applications de calcul.


    Cependant, la bonne vieille calculette n’a pas complètement disparue mais le marché s’est recentré sur les calculatrices scientifiques pour les étudiants. On peut citer la marque française, Numworks, qui a osé se lancer là-dedans en 2015 et qui propose une calculatrice qui permet de programmer directement en langage informatique Python. La calculette n’a donc pas dit son dernier mot…

    Jérôme Colombain
    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      Et vint la télécommande !

      Tout l’été , on vous raconte des histoires insolites ou méconnues du monde des technologies. Impossible de ne pas parler de la télécommande qui nous a permis d’être un peu plus paresseux.

      l fut un temps, lointain, où il fallait se lever de son canapé pour changer de chaîne ou monter le son sur son téléviseur. Jusqu’à l’apparition de la télécommande. Selon le livre Les 1001 inventions qui ont changé le monde, l’ancêtre de la télécommande est apparu en 1948. C’était "le télézoom de Garod", un boîtier relié au téléviseur par un fil avec une molette pour augmenter ou diminuer la taille de l’image. Cela ne servait qu’à ça. L’invention de la vraie télécommande, en 1950, a un rapport avec la publicité. C’est le président de la société américaine Zenith Electronics qui demande à ses ingénieurs de trouver un système pour : "faire taire ces ennuyeuses publicités", car il avait peur que les réclames tuent la télévision.

      Ainsi est née la "Lazy Bones", en français "la paresseuse", qui permet de changer de chaîne sans quitter son confortable fauteuil. C’est une sorte de grosse poire, avec deux boutons, reliée au téléviseur, là encore, par un long fil, pas très pratique. Quand on appuie sur l’un des boutons, cela actionne un petit moteur dans la télé qui change de canal.

      La télécommande sans fil est apparue !

      Cinq ans plus tard, en 1955, on la doit également à l’entreprise américaine Zenith, c’est une télécommande à rayon lumineux, sauf que le capteur sur le téléviseur est tellement sensible qu’il se déclenche au moindre rayon de soleil, et la télé s’éteint sans crier gare. Il faudra attendre 1956, pour voir arriver, toujours aux États-Unis, la télécommande à ultrasons, qui connut une belle carrière jusqu’à l’arrivée des télécommandes à infrarouges, dans les années 80.


      Aujourd’hui, on utilise le plus souvent des télécommandes à ondes radio.
      Le problème, c’est qu’il y a eu multiplication des appareils télécommandés et donc multiplication des télécommandes. Alors, on a vu apparaître les télécommandes universelles. La télécommande du futur, c’est probablement, pas de télécommande mais une commande vocale pour remplacer toutes les télécommandes manuelles…

      Jérôme Colombain
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        La carte à puce

        On parle des innovations technologiques qui ont changé nos vies. Impossible de ne pas évoquer la carte à puce. Cette invention française a révolutionné les paiements, mais pas seulement.

        Seuls les plus jeunes, aujourd’hui, ne savent pas que la carte à puce a été inventée en France, par un génial bricoleur, Roland Moreno. Au départ, ce n’était pas une carte qu’il voulait faire mais une bague connectée, qui contiendrait un porte-monnaie électronique pour payer dans les restaurants et les magasins. Finalement, la carte s’est imposée à la fois comme moyen de paiement, avec un code confidentiel, et comme moyen d’authentification (par exemple, les badges d’entreprises ou les cartes sans contact pour les transports). Elle est aussi très répandue aujourd’hui dans la téléphonie mobile à travers les cartes SIM. C’est quoi, une carte à puce ? C’est une carte en plastique avec un petit circuit intégré (puce) qui peut contenir de l’information numérique. Au départ, c’était une simple mémoire passive. Puis, on y a mis un véritable microprocesseur, capable de traiter de l’information, de manière active. Au total, 45 brevets ont été déposés pour la carte à puce.

        La carte à puce a fait la fortune de son inventeur

        Roland Moreno aurait empoché 150 millions d’euros de royalties, au cours de sa vie. Une belle fortune pour le remercier d’avoir changé nos vies.

        D’autres inventeurs ont cependant disputé à Moreno la paternité de cette invention, notamment un ingénieur du Centre national d’études des télécommunications (CNET) et des industriels allemands, mais aucun n’a obtenu gain de cause.

        Il reste bien l’inventeur officiel, même si d’autres personnes, comme le Français Michel Ugon, ont également déposé des brevets. À la fin des années 90, les brevets sont tombés dans le domaine public mais Roland Moreno a continué à toucher des royalties sur les cartes sans contact, jusqu’à son décès en 2012.
        La carte à puce, inventée en 74, ne s’est généralisé en France qu’à partir de 1983, sous la forme de la Télécarte pour cabines téléphoniques, dite aussi carte "pyjama", à cause de ses rayures blanc et bleue.

        En 1985, sont apparues les premières cartes bancaires à puce, fabriquées par Bull. Plus tard, les cartes à puces “sans contact”, grâce à la technologie NFC. L’avenir, c’est la carte biométrique à empreinte digitale. Plus besoin de code secret.

        Jérôme Colombain
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Le premier e-mail a été envoyé en 1971

          on vous raconte des histoires insolites ou méconnues du monde des technologies. Vendredi, on apprend que l’e-mail est l’une des plus vieilles inventions de l’informatique.

          L’e-mail, le courrier électronique, a été inventé il y a 49 ans, en octobre 1971. Cette année-là, Georges Pompidou est président de la République, Richard Nixon est président des États-Unis. Et il y a autant d’ordinateurs dans les foyers que d’Européens dans l’espace, c'est-à-dire aucun. En plus, internet n’existe pas encore. Le réseau des réseaux ne verra le jour qu’au début des années 1980.

          Mais alors qui peut bien envoyer et recevoir des e-mails ? Ce sont les pionniers qui travaillent sur un projet du gouvernement américain nommé arpanet, l’ancêtre d’internet. Parmi eux, un ingénieur du nom de Ray Tomlinson. Il va être le premier à envoyer un message écrit d’un ordinateur à un autre. Une vraie petite révolution pour l’époque car les ordinateurs, c’est fait pour calculer, pas pour communiquer. Il faut dire que ce premier message ne va pas faire un long voyage. Les deux machines qui servent à cette expérience se trouvent dans la même pièce.Mais elles sont reliées entre elles par le réseau informatique arpanet. La révolution, c’est ça.

          Le fameux caractère "@" est adopté

          Car pour envoyer un message à quelqu’un par ordinateur, il faut que l’expéditeur et le destinataire soient identifiés sur le réseau. Qu’ils aient chacun une adresse.
          C’est donc Tomlinson qui a l’idée de créer, en guise d’adresse, un identifiant qui contient le nom de la personne suivi du nom de l’ordinateur, les deux séparés par un caractère spécial : l’arobase "@".

          Pourquoi l’arobase ? Parce que c’est un caractère typographique qui n’est utilisé dans aucun mot, donc aucun risque que cela se confonde un jour avec une lettre. La toute première adresse sera la sienne : tomlinson@bbn-tenexa (le nom de l’ordinateur).

          Et savez-vous quel fut le contenu du tout premier message de courrier électronique ?
          Tout simplement : "QWERTYUIOP", ce qui correspond à la première ligne de touches sur un clavier anglo-saxon. Voilà donc l’histoire de l’e-mail. Le courriel, comme on dit depuis 2003.

          Jérôme Colombain
          dz(0000/1111)dz

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          • #6
            Non, Apple n’a pas inventé la souris d’ordinateur

            En août, on s’intéresse aux innovations technologiques qui ont changé nos vies. Avec mardi : la souris d’ordinateur. Une invention bien plus ancienne qu’on ne croit.
            Beaucoup de gens pensent à tort que la souris d’ordinateur a été inventée par Steve Jobs et la société Apple. Il est vrai que la marque à la pomme est l’une des premières à avoir commercialisé des ordinateurs avec une interface graphique et une souris, ce petit périphérique permettant de cliquer sur des icônes.
            C’était l’ordinateur Lisa, en 1983 qui n’a pas connu un grand succès puis, le MacIntosh, en 1984. Mais, en réalité, Steve Jobs avait piqué l’idée à quelqu’un d’autre. L’invention de la souris, on la doit à un chercheur américain du nom de Douglas Engelbart. Seuls les passionnés d’informatique connaissent ce nom…
            Ce génial inventeur dirigeait alors un laboratoire au Stanford Research Institute, en Californie. C’est lui, et l’équipe qu’il dirigeait, qui ont eu l’idée géniale de créer un petit appareil, équipé de deux roues perpendiculaires, relié par un fil à l’ordinateur, pour faire bouger un curseur sur l’écran selon des coordonnées X et Y.

            Un accessoire rapidement indispensable

            La toute première souris informatique a été montrée publiquement le 9 décembre 1968, lors d’une démonstration restée dans l’histoire sous le nom de "mère de toutes les démos". Car ce jour-là, toutes sortes d’innovations spectaculaires ont été dévoilées, comme l’interface graphique d’ordinateur, l’e-mail ou encore la visioconférence. La souris a été breveté par Douglas Engelbert en 1970. Elle avait trois boutons.


            Apple a acheté une licence d’exploitation et a pu l’utiliser sur ses ordinateurs en la simplifiant avec un seul bouton et le double-clic. Puis, tout le monde s’y est mis. Ensuite, la souris s’est améliorée. La marque suisse Logitech a inventé la souris optique, avec un faisceau laser pour remplacer la boule, en 2004. En 2005, Apple a inventé la souris sans fil Bluetooth. C’est ce qui a permis, en 1996, à Jacques Chirac de découvrir ce drôle de bidule, lors de l’inauguration de la Bibliothèque Nationale et de demander ce que c’était. Les Guignols de l’info en ont tiré la fameuse série de sketchs sur "le mulot". Aujourd’hui, la souris est concurrencée par les pavés et les écrans tactiles ainsi que les stylets, mais elle est toujours fidèle au poste.

            Jérôme Colombain
            dz(0000/1111)dz

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            • #7
              on se penche sur le passé des fondateurs de la société Apple, Steve Jobs et Steve Wozniak. Leur toute première invention était une machine à pirater le téléphone.

              Nous sommes dans les années 70, en Californie. À cette époque lointaine, les communications téléphoniques sont payantes avec une tarification basée sur la distance et la durée. Un appel entre deux pays, ou même entre deux États américains, peut coûter très cher.

              Steve Jobs et Steve Wozniak, les deux futurs créateurs de la société Apple, n’ont même pas vingt ans. Ils ont une super idée mais qui n'est pas très légale, ils fabriquent un appareil qui permet de pirater le téléphone pour passer des appels gratuits : la Blue Box. C’est un bidule qui génère des fréquences à 2 600 Hz, ce qui a pour effet de tromper les centraux téléphoniques automatiques de l’opérateur AT&T. Et ça marche ! Cela permet de passer des coups de fil à l’autre bout des États-Unis, et même à l’étranger, sans débourser un centime. Sans que l’opérateur s’en rende compte.

              Génie commercial

              En réalité, Jobs et Wozniak n’ont pas tout à fait inventé la Blue Box. Le premier modèle avait été mis au point dix ans plus tôt, en 1960, par un bidouilleur du nom de Ralph Barclay. C’était dans une boîte bleue, ce qui a donné le nom de Blue Box. À l’époque, il y avait des jeunes gens qui bidouillaient des trucs électroniques et qui pirataient les réseaux téléphoniques car c’était une manière de défier l’autorité et l’ordre établi. On les appelait des "freakers".

              La Blue Box conçue par Jobs et Wozniak n’était pas bleue mais elle avait quelque chose de plus : c’était la première box numérique et pas analogique. Elle fonctionnait beaucoup mieux.

              Du coup, les deux garçons ont décidé de commercialiser leur invention sous le manteau.
              C’est là où, à côté du talent d’électronicien de Steve Wozniak, le génie commercial de Steve Jobs s’est révélé. La Blue Box coûte 40 dollars à fabriquer mais Steve Jobs a décidé de la vendre 150 dollars. Ils en vendront une petite quarantaine. Selon Steve Jobs, c’est vraiment cette Blue Box qui a permis aux deux garçons de savoir qu’ils pouvaient faire de grandes choses ensemble et qui les a incités à fonder Apple.

              Sources :

              Livre : Steve Jobs , Walter Isaacson (Lattès, 2011)

              Jérôme Colombain
              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Dès 1989, une première tablette tactile

                L’histoire de la tablette électronique remonte en réalité aux années 1980. Elle a vu le jour en 1989. La GRiDPad avait été conçue par l’entreprise américaine GRiD Systems et fabriquée par le Coréen Samsung.

                On s’intéresse à un produit qui est entré dans nos vies : la tablette tactile. On croit souvent que c’est Apple qui a inventé la tablette. En réalité, c’est un peu plus compliqué que ça.

                La tablette tactile que nous connaissons le plus, c’est l’iPad d’Apple sorti en 2010. Déclinée en différentes tailles et différents modèles, copiée et imitée par diverses marques. Mais l’histoire de la tablette électronique remonte en réalité aux années 1980. La première tablette de l’histoire, sans aller jusqu’à Moïse ou aux pharaons, c'est-à-dire un appareil portable avec un écran et un stylet, a vu le jour en 1989. Elle s’appelait GRiDPad. Elle avait été conçue par l’entreprise américaine GRiD Systems et fabriquée par le Coréen Samsung. La GRiDPad pesait pas loin de deux kilos et était équipée d’un stylet relié à l’appareil par un fil. Elle fut surtout utilisée par des professionnels, notamment les militaires.

                Puis, en 1993, Apple a lancé un petit appareil à écran tactile qui s’appelait le Newton. l’époque, on disait un PDA (Personal Digital Assistant). Le Newton était surement inspiré d’un autre appareil, le Magic Link, mis au point par la société californienne General Magic, qui était plein de promesses mais qui n’a jamais connu aucun succès, car la technologie d’il y a 15 ans ne permettait pas de faire tout ce qu’on attendait.

                Puis vint le Palm Pilot

                Toujours, dans les années 90, en 1996, l’entreprise américaine Palm Computing a créé le Palm Pilot. Un assistant personnel numérique à écran tactile, équipé d’un stylet, qui connaîtra un immense succès jusqu’au début des années 2000.
                En 2001-2002, on revient à des ordinateurs à écrans tactiles avec le système Tablet-PC de Microsoft. Bill Gates prédit alors que dans cinq ans le PC sera une tablette.
                On pourrait donc dire que c’est Microsoft qui a inventé le concept de tablette.
                Sauf que le Tablet-PC était trop cher et pas adapté. Cinq ans plus tard, il a disparu.
                C’est alors qu’arrive un certain Steve Jobs qui lance l’iPhone en 2007, et surtout l’iPad en 2010. Pas trop cher et doté d’un vrai logiciel pour la mobilité. L’iPad est sorti après l’iPhone mais en réalité il avait en fait été inventé avant.

                Pour en savoir plus : Tech-Time.fr
                dz(0000/1111)dz

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                • #9
                  Un "copier-coller" entre le monde réel et le monde virtuel

                  Parmi les innovations technologiques insolites figure un logiciel visuel pour "copier-coller" une image réelle sur un document virtuel.

                  C’est une innovation assez étonnante qui a été mise au point par un jeune Français, Cyril Diagne, développeur et designer, diplômé de l’école de l’image des Gobelins, à Paris, et actuellement artiste en résidence au Google Cultural Institute Lab.

                  La spécialité de Cyril Diagne, c’est la réalité augmentée, c'est-à-dire le mélange d’images réelles et virtuelles. Il a donc mis au point un système qui permet de photographier avec son smartphone un objet, par exemple un pot de fleur ou un livre, et de le coller dans une image sur ordinateur, juste en dirigeant son téléphone vers l’écran de l’ordinateur. Un copier-coller entre une image réelle et un document virtuel. Cela paraît presque magique quand on voit cela dans la vidéo qu’il affiche sur son site et qui a fait le tour des réseaux sociaux et des médias spécialisés :
                  Cyril Diagne explique que cela marche avec un logiciel spécial qui doit être installé sur le smartphone. Il faut aussi mettre en place un serveur local entre le mobile et l’ordinateur pour permettre aux deux appareils de communiquer. Cela fonctionne pour l’instant uniquement avec le logiciel de retouche d’image Photoshop.
                  Pour l’instant, cette technologie, qui s’appelle ARcopypaste, est encore expérimentale mais le jeune développeur veut en faire le moyen le plus rapide d'extraire l'information du monde réel pour l'importer dans un environnement de travail numérique, surtout pour les professionnels. Par exemple, pour la vente en ligne de vêtements, de meubles ou d’objets de toutes sortes.

                  C’est beaucoup plus rapide que de prendre des photos, les envoyer en ligne, les mettre en forme manuellement, comme aujourd’hui. Le jeune homme aurait déjà plusieurs contacts avec des acteurs industriels, du monde de l'éducation ou encore du secteur de l’immobilier. Dans le domaine de l’enseignement, cela permet à un étudiant de copier très rapidement un schéma fait au tableau par un professeur et de l’intégrer dans ses notes, par exemple.
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #10
                    👍👍👍👍👍

                    🅜🅔🅡🅒🅘 ​ 🅟🅞🅤🅡 ​ 🅒🅔🅢 ​ 🅡🅐🅟🅟🅔🅛🅢 ​ 🅗🅘🅢🅣🅞🅡🅘🅠🅤🅔🅢 ​

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