Le cabinet d'analyses Xiti a rendu publics, lundi 13 juin, les résultats d'une enquête sur l'adoption croissante du navigateur Web Mozilla Firefox, par les internautes européens. L'enquête a porté sur environ 23 millions de connexions à des sites hébergés sur le Vieux Continent. Elle indique que Firefox représente 14,08 % du trafic Internet.
Depuis son lancement, à l'automne 2004, le navigateur Web grignote régulièrement le quasi-monopole détenu par Microsoft avec Internet Explorer (IE), pourtant intégré en série au système d'exploitation Windows.
La France se situe légèrement au-dessus de la moyenne européenne, avec 14,42 % du trafic attribué à Firefox. A peu près au même niveau que le Royaume-Uni (13,03 %) ou l'Autriche (14,79 %) ; devant la Lituanie (7 %), l'Italie (10,29 %) ou l'Irlande (10,56 %) ; derrière la Hongrie (22,06 %), l'Allemagne (24,36 %) et la Finlande, dont le trafic attribué à Firefox culmine à plus de 30 %. Selon Xiti, ces taux sont en augmentation dans tous les pays étudiés, à l'exception du Luxembourg et de la principauté de Monaco.
Réalisée en fin de semaine, l'étude présentée ne tient, de ce fait, pas compte du trafic Internet généré par les salariés d'entreprises qui sont souvent restées fidèles à IE. Stricto sensu, les chiffres avancés ne donnent pas d'indications sur la manière dont le marché est désormais réparti, entre les deux navigateurs. Ils offrent, en revanche, une photographie de la popularité croissante de Firefox auprès des particuliers.
Depuis son lancement, à l'automne 2004, le navigateur Web grignote régulièrement le quasi-monopole détenu par Microsoft avec Internet Explorer (IE), pourtant intégré en série au système d'exploitation Windows.
La France se situe légèrement au-dessus de la moyenne européenne, avec 14,42 % du trafic attribué à Firefox. A peu près au même niveau que le Royaume-Uni (13,03 %) ou l'Autriche (14,79 %) ; devant la Lituanie (7 %), l'Italie (10,29 %) ou l'Irlande (10,56 %) ; derrière la Hongrie (22,06 %), l'Allemagne (24,36 %) et la Finlande, dont le trafic attribué à Firefox culmine à plus de 30 %. Selon Xiti, ces taux sont en augmentation dans tous les pays étudiés, à l'exception du Luxembourg et de la principauté de Monaco.
Réalisée en fin de semaine, l'étude présentée ne tient, de ce fait, pas compte du trafic Internet généré par les salariés d'entreprises qui sont souvent restées fidèles à IE. Stricto sensu, les chiffres avancés ne donnent pas d'indications sur la manière dont le marché est désormais réparti, entre les deux navigateurs. Ils offrent, en revanche, une photographie de la popularité croissante de Firefox auprès des particuliers.
Et on comprend aisément que Microsoft si peu habitué à voir des concurents lui faire de l'ombre soit si empréssé d'avancer la sortie de IE 7.
Ce qui est dommage c'est que cette étude ne donne pas d'indication sur la répartition du marché entre les deux browsers mais c'est un beau succés pour la fondation mozilla . C'est une très belle revanche.
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