On peut être un jeune chercheur et être costaud en mécanique des matériaux. Nicolas Pugno, italien, vient de calculer la structure d’un câble qui va faire rêver David Copperfield : un filin quasi invisible mais suffisamment fort pour soutenir un homme.
Nicolas Pugno est un professeur assistant à l’école polytechnique de Turin. A 37 ans, il a son actif plus de 200 publications de recherches. Derrière ses petites lunettes rondes se cache un maître de la mécanique des matériaux.
Sa dernière publication a fait l’objet d’une article dans NewScientist. Nicolas Pugno a calculé la structure d’un câble fait à partir de nanomatériaux. Les caractéristiques de ce câble sont étonnantes : il pourrait supporter le poids d’un homme tout étant lui-même particulièrement léger (10 mg/km).
Le câble serait fabriqué à partir de nanotubes de carbone, chacun ayant un diamètre de 5 micromètres. Cette structure le rendrait difficilement visible même si le câble atteignait 1 cm de diamètre. Les calculs de Nicolas Pugno ont pris en compte les pertes de qualité dues à la fabrication des nanotubes.
Pour que la science-fiction devienne réalité, il suffit qu’une âme charitable mette en pratique les calculs et les procédés publiés. Simple, non ?
Source: New Scientist magazine
Nicolas Pugno est un professeur assistant à l’école polytechnique de Turin. A 37 ans, il a son actif plus de 200 publications de recherches. Derrière ses petites lunettes rondes se cache un maître de la mécanique des matériaux.
Sa dernière publication a fait l’objet d’une article dans NewScientist. Nicolas Pugno a calculé la structure d’un câble fait à partir de nanomatériaux. Les caractéristiques de ce câble sont étonnantes : il pourrait supporter le poids d’un homme tout étant lui-même particulièrement léger (10 mg/km).
Le câble serait fabriqué à partir de nanotubes de carbone, chacun ayant un diamètre de 5 micromètres. Cette structure le rendrait difficilement visible même si le câble atteignait 1 cm de diamètre. Les calculs de Nicolas Pugno ont pris en compte les pertes de qualité dues à la fabrication des nanotubes.
Pour que la science-fiction devienne réalité, il suffit qu’une âme charitable mette en pratique les calculs et les procédés publiés. Simple, non ?
Source: New Scientist magazine