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Par Valery Marchive
Orange s'attaque finalement au nouveau marché des ordinateurs ultra-portables à bas coût, après SFR et The Phone House. Si elle s'est fait attendre, la réponse du premier opérateur mobile de France n'en manque pas moins d'intérêt.
L'offre d'Orange s'appuie ainsi sur l'Akoya Mini E1210 de Medion, un ordinateur très proche, au moins d'extérieur, des MSI Wind et Acer Aspire One . Affichant 1,2 kg sur la balance, l'Akoya E1210 embarque en effet un écran de 10 pouces de diagonale d'une résolution de 1024x600 pixels, surplombé d'une webcam. Il est doté d'un disque dur interne de 80 Go et d'une puce WiFi.
L'Akoya Mini E1210 est animé par un processeur Intel Atom cadencé à 1,6 GHz, et épaulé par 1 Go de mémoire vive ; de quoi utiliser confortablement Windows XP, ne serait-ce que pour surfer sur Internet et communiquer avec ses proches.
Plus intéressant sur le papier que les EeePC 700 et 900 de SFR, l'Akoya Mini E1210 risque néanmoins de souffrir de son prix : Orange le propose à partir de 349 euros sans abonnement et 249 euros avec un abonnement Internet Everywhere souscrit pour un an. Chez SFR, le premier prix est à 99 euros avec un EeePC de première génération (écran 7 pouces), ou 199 euros avec le modèle plus récent doté d'un écran 9 pouces.
Au final, c'est probablement sur le terrain des abonnements que risque de se jouer la bataille. Et là, hélas, le temps des offres illimitées, utilisées par SFR pour lancer son EeePC en début d'année, semble révolu.
Reste que, comme SFR, Orange ne limite pas son offensive sur le terrain de la micro-informatique nomade communicante aux seuls ultra-portables. L'opérateur propose également les Samsung Q45, un ultra-portable 12 pouces embarquant un module 3G+, et Toshiba A300, un portable polyvalent, à partir de 799 et 599 euros respectivement, avec subvention éventuelle.
Orange s'attaque finalement au nouveau marché des ordinateurs ultra-portables à bas coût, après SFR et The Phone House. Si elle s'est fait attendre, la réponse du premier opérateur mobile de France n'en manque pas moins d'intérêt.
L'offre d'Orange s'appuie ainsi sur l'Akoya Mini E1210 de Medion, un ordinateur très proche, au moins d'extérieur, des MSI Wind et Acer Aspire One . Affichant 1,2 kg sur la balance, l'Akoya E1210 embarque en effet un écran de 10 pouces de diagonale d'une résolution de 1024x600 pixels, surplombé d'une webcam. Il est doté d'un disque dur interne de 80 Go et d'une puce WiFi.
L'Akoya Mini E1210 est animé par un processeur Intel Atom cadencé à 1,6 GHz, et épaulé par 1 Go de mémoire vive ; de quoi utiliser confortablement Windows XP, ne serait-ce que pour surfer sur Internet et communiquer avec ses proches.
Plus intéressant sur le papier que les EeePC 700 et 900 de SFR, l'Akoya Mini E1210 risque néanmoins de souffrir de son prix : Orange le propose à partir de 349 euros sans abonnement et 249 euros avec un abonnement Internet Everywhere souscrit pour un an. Chez SFR, le premier prix est à 99 euros avec un EeePC de première génération (écran 7 pouces), ou 199 euros avec le modèle plus récent doté d'un écran 9 pouces.
Au final, c'est probablement sur le terrain des abonnements que risque de se jouer la bataille. Et là, hélas, le temps des offres illimitées, utilisées par SFR pour lancer son EeePC en début d'année, semble révolu.
Reste que, comme SFR, Orange ne limite pas son offensive sur le terrain de la micro-informatique nomade communicante aux seuls ultra-portables. L'opérateur propose également les Samsung Q45, un ultra-portable 12 pouces embarquant un module 3G+, et Toshiba A300, un portable polyvalent, à partir de 799 et 599 euros respectivement, avec subvention éventuelle.