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A yemma amek - Lounes Matoub

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  • #16
    matoub est toujours la et il restera ath yarheme rebi

    meci pour ses mots misn'thmourth

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    • #17
      Tafsut,

      non je n'enterre personne, au contraire il ya plusieurs petit Matoub, il ya beaucoup d'éspoir, nos jeunes sont plus fort que la mort...

      mais qu'est se tu veus que je te disent...des fois l'histoir nous surprie et nous rend aveugle...et on ne vois pas d'ou viendra le diable...

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      • #18
        en tout les cas si vous avez des questions sur l'œuvre
        de lounes matoub n'hésiter pas
        car je suis un grand "malade" de son œuvre en vidéo ou en musique
        eh oui j'ai grandi avec ses chansons comme pas mal d'Algériens
        bonne soirée

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        • #19
          voici un texte de da Lounes athe yareheme rebiAUSSITÔT QUE JE ME SUIS ÉLOIGNE


          Aussitôt que je me suis éloigné
          Le feu derrière moi s’est déchaîné.
          Vous idolâtrez l’injustice
          Et vous avez autour de moi fermé son cercle.
          Cette fois peut-être en mourrai-je,
          Ma tombe sera en terre étrangère.
          Mère, c’est toi que j’invoque,
          Vers moi le poignard se dirige.
          Je ne verrai plus ma patrie,
          L’échafaud me guette.
          Et c’est pour votre bien que je lutte,
          Alors que vous m’enterrez.
          Je suis tombé au centre des braises
          Et nul ne viendra à mon secours.
          Bonnes gens une requête cependant :
          Qu’est-il advenu de ma jeunesse ?
          Sur mon front vous avez semé la misère
          Et juré que, de ma vie, je ne reverrai mon foyer ;
          A ma mère je lègue mes tourments,
          Elle attend que m’emporte les ténèbres.
          Ce sont mes amis qui me trahissent
          Et me couvrent d’obscurité.
          A présent je suis en lutte avec moi-même
          Et ma plume en témoignera.

          J’ai amassé tous les affres, et l’insomnie
          Est ma compagne accoutumée.
          Et toi que j’aime, ma patrie,
          Il n’est plus de chemin qui me mène vers toi.
          Mes compagnons m’ont vendu,
          Si je me mouvais le feu se déchaînerait.
          Ils ont attaché mon regard à la misère
          Afin qu’elle me souille.
          Aussitôt que je me suis éloigné…

          Akken kan i-d- taxra, (1979)

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          • #20
            Et toi que j’aime, ma patrie,
            Il n’est plus de chemin qui me mène vers toi.
            Oui, malgrès tout !!!


            tanemmirt !!!

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            • #21
              Azul fellawen

              Attan aghentta lehdaqa nwen teccurriyi uliw, f-anecta akenbudegh acewiq-nni anida isyeqar Lwennas:

              Rec-degh-k a y-itbir lher
              Akcegâe-gh afegg âelliii

              TT-selim af tarwa n Jerr-jerr
              Uggin azagg-lu f yiri

              Aznassen lkurraj d ssber
              Xaqen lex-watter
              Macc-aka iâuden ad-tili

              Ay azzerzzur ma yesâa tagara zzurr...ar tagara...

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              • #22
                azulntt'fsuyt

                thaki dh'la cassette issmenesse -Thissirth n-ndema - n'87 et le titre c'est "Thadarth"

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                • #23
                  slt

                  On se réecoute aussi l'interprétation de Lounes Matoub.

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