"Dans El Mehna, Matoub associe à sa voix le cri et les larmes de son cœur. Le résultat : il faut écouter pour le constater. Mais dans le cas de Lounès, écouter ne suffit pas. Il faut écouter et réécouter, écouter, non seulement avec ses oreilles, mais avec son cœur aussi, son âme et ses tréfonds."


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