Toujours à cheval sur ses principes d’éclectisme, de non-exclusivisme et de partage, Timitar sera au rendez-vous, du 11 au 16 juillet, à Agadir, avec, dans sa besace, des moments de grâce et d’émotion. Histoire d’une étoile qui ne cesse de monter.
Timitar, qui est passé de 400 000 visiteurs lors de la première édition en 2004 à 600 000 l’an dernier, est sûr d’un score himalayen.
Ainsi, la soirée d’ouverture, dont l’affiche se compose d’Aglagal, Jimmy Cliff, Amouri M’barek et Jil Jilala, est bien partie pour être un des pics de fréquentation d’une édition fort alléchante. Les autres soirées ne seront pas en reste, et il faudra écourter sa séance de bronzette pour se frayer un chemin vers la place Al Amal, dimanche 16 juillet, vu qu’il s’y produira un certain Mami, icône des jeunes et des moins jeunes Marocains.
Une IIIe édition regorgeant d’emblèmes et de têtes d’affiche
La IIIe édition de Timitar s’ouvre mardi 11 juillet à 19 h, et durera jusqu’au dimanche 16 juillet, et tout le monde s’accorde déjà à reconnaître la réussite, tant les organisateurs ont mis le paquet. Six-cents artistes, 50 groupes, 56 concerts en six jours. De quoi apaiser les fringales les plus irrésistibles.
Des têtes d’affiche à satiété mais dont on ne se rassasie jamais :
Jimmy Cliff, Ammouri M’barek, Jil Jilala, Oumou Sangaé, Cheikh Lô, Sergent Garcia, Orchestre National de Barbès, Hadda Ouaki, Yuri Buenaventura, Cheb Mami..., un éventail de voix rauques ou voilées, nasillardes ou sensuelles, mordantes ou suaves, douces ou puissantes, celles de Najat Atabou, Karima Skalli, Oumghil, Chérifa, Tihihite, Archach-Ali Chouhade, Aârab Atigui, Mohamed Maghni ou Aïcha, pour ne citer que celles qui nous sont familières. Un voyage en musique parmi les genres et les continents : les groupes traditionnels amazighs (Aglagal, Ouad Haha, Taskiwine, Daqat Saif, Ahwach Telwet, Ajmak Souss), qui auront chaque jour le privilège d’inaugurer la soirée sur la place Al Amal ; le reggae jamaïcain (Jimmy Cliff,) ; le protest song marocain (Jil Jilala) ; le chant spirituel arabe (Karima Skalli), ; le chaâbi marocain (Najat Atabou) ; la chanson griotte (Malouma) ; la musique électronique (Lo’Jo) ; la world music (Cheikh Lô) ; les rwaïs (Aârab Atigui), le hip-hop marocain (H-Kayne) ; la musique kurde (Kamkars) ; le raï (Cheb Mami) ; la salsa (Yuri Buenaventura)... et tant et tant d’airs, de rythmes et sons, parfois doux, parfois survoltés, tantôt hybrides, souvent ébouriffants.
Timitar, qui est passé de 400 000 visiteurs lors de la première édition en 2004 à 600 000 l’an dernier, est sûr d’un score himalayen.
Ainsi, la soirée d’ouverture, dont l’affiche se compose d’Aglagal, Jimmy Cliff, Amouri M’barek et Jil Jilala, est bien partie pour être un des pics de fréquentation d’une édition fort alléchante. Les autres soirées ne seront pas en reste, et il faudra écourter sa séance de bronzette pour se frayer un chemin vers la place Al Amal, dimanche 16 juillet, vu qu’il s’y produira un certain Mami, icône des jeunes et des moins jeunes Marocains.
Une IIIe édition regorgeant d’emblèmes et de têtes d’affiche
La IIIe édition de Timitar s’ouvre mardi 11 juillet à 19 h, et durera jusqu’au dimanche 16 juillet, et tout le monde s’accorde déjà à reconnaître la réussite, tant les organisateurs ont mis le paquet. Six-cents artistes, 50 groupes, 56 concerts en six jours. De quoi apaiser les fringales les plus irrésistibles.
Des têtes d’affiche à satiété mais dont on ne se rassasie jamais :
Jimmy Cliff, Ammouri M’barek, Jil Jilala, Oumou Sangaé, Cheikh Lô, Sergent Garcia, Orchestre National de Barbès, Hadda Ouaki, Yuri Buenaventura, Cheb Mami..., un éventail de voix rauques ou voilées, nasillardes ou sensuelles, mordantes ou suaves, douces ou puissantes, celles de Najat Atabou, Karima Skalli, Oumghil, Chérifa, Tihihite, Archach-Ali Chouhade, Aârab Atigui, Mohamed Maghni ou Aïcha, pour ne citer que celles qui nous sont familières. Un voyage en musique parmi les genres et les continents : les groupes traditionnels amazighs (Aglagal, Ouad Haha, Taskiwine, Daqat Saif, Ahwach Telwet, Ajmak Souss), qui auront chaque jour le privilège d’inaugurer la soirée sur la place Al Amal ; le reggae jamaïcain (Jimmy Cliff,) ; le protest song marocain (Jil Jilala) ; le chant spirituel arabe (Karima Skalli), ; le chaâbi marocain (Najat Atabou) ; la chanson griotte (Malouma) ; la musique électronique (Lo’Jo) ; la world music (Cheikh Lô) ; les rwaïs (Aârab Atigui), le hip-hop marocain (H-Kayne) ; la musique kurde (Kamkars) ; le raï (Cheb Mami) ; la salsa (Yuri Buenaventura)... et tant et tant d’airs, de rythmes et sons, parfois doux, parfois survoltés, tantôt hybrides, souvent ébouriffants.
