Le cinéma algérien, né au cœur même de la lutte de libération nationale, a noué, au long de ses quarante années d’existence, des liens très forts avec l’histoire du pays. Des chefs-d’œuvre en sont nés, mais le poids de la mémoire et le rôle de la censure, notamment au cours de la dernière décennie, ont failli tarir la source de la créativité cinématographique. De nouveaux réalisateurs reprennent aujourd’hui le flambeau. Deux documents* récents, réalisés dans le cadre de Djazaïr, l’année de l’Algérie en France, rendent compte des étapes de ces quarante ans de cinéma algérien.
http://www.afrique-asie.com/archives...169culture.htm