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Jagelloul... Mais tu es encore là ? J ai cru comprendre... Après le bonne continuation.
Re bienvenue 11 et bon appétit.
Océane : comme tu vois, personne n a touché à ta place... Le décor est toujours le même... Ou presque !
Je te laisse découvrir, ça ne saurait tarder... Je suis sûre que tu vas tatfakri wahdek :-)
Inata, Fieda, Bougnia, Brel, Benam, mes amis, mes amis, Océane t'es là
Merci nassim pour avoir créée le forum merci du fond du cœur
Que la vie est belle ... je peignais, j'ai peint deux portes et deux fenêtres ce matin restera fête et joie en ma mémoire ... Cher Emile Verhaeren
Un matin
Dès le matin, par mes grand’routes coutumières
Qui traversent champs et vergers,
Je suis parti clair et léger,
Le corps enveloppé de vent et de lumière.
Je vais, je ne sais où. Je vais, je suis heureux ;
C’est fête et joie en ma poitrine ;
Que m’importent droits et doctrines,
Le caillou sonne et luit sous mes talons poudreux ;
Je marche avec l’orgueil d’aimer l’air et la terre,
D’être immense et d’être fou
Et de mêler le monde et tout
A cet enivrement de vie élémentaire.
Oh ! les pas voyageurs et clairs des anciens dieux !
Je m’enfouis dans l’herbe sombre
Où les chênes versent leurs ombres
Et je baise les fleurs sur leurs bouches de feu.
Les bras fluides et doux des rivières m’accueillent ;
Je me repose et je repars,
Avec mon guide : le hasard,
Par des sentiers sous bois dont je mâche les feuilles.
Il me semble jusqu’à ce jour n’avoir vécu
Que pour mourir et non pour vivre :
Oh ! quels tombeaux creusent les livres
Et que de fronts armés y descendent vaincus !
Dites, est-il vrai qu’hier il existât des choses,
Et que des yeux quotidiens
Aient regardé, avant les miens,
Se pavoiser les fruits et s’exalter les roses !
Pour la première fois, je vois les vents vermeils
Briller dans la mer des branchages,
Mon âme humaine n’a point d’âge ;
Tout est jeune, tout est nouveau sous le soleil.
J’aime mes yeux, mes bras, mes mains, ma chair, mon torse
Et mes cheveux amples et blonds
Et je voudrais, par mes poumons,
Boire l’espace entier pour en gonfler ma force.
Oh ! ces marches à travers bois, plaines, fossés,
Où l’être chante et pleure et crie
Et se dépense avec furie
Et s’enivre de soi ainsi qu’un insensé !
Dernière modification par Aloha, 03 mai 2014, 20h01.
Tu sais mon amie je viens de rallumer le poêle, que je n'ai plus allumé depuis
ton départ coïncidence lorsque le virtualité rencontre la réalité comme cette odeur de ce feu qui commence à emplir l'air qui me rappelle les délicieux souvenirs de ce temps passé ici sur le forum avec Océane et d'autres ...moi doucement petit à petit je recollais les morceaux enfouis, les sensations oubliées, niées et les expression et même les mots effacés de ma mémoire
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