Anis, on ne peut pas sauver une culture en meprisant les autres, la langue chaoui chanté peut trés bien faire sa place à cote de l'arabe, alors que les textes soient en chaoui c'est un plus, s'ils se communiquent en arabe ce n'est pas un probleme, tout reside en l'education, un peuple qui ne veut perdre sa memoire c'est un peuple qui prends en charge integralement l'education de sa langue et de sa culture, maintenant pour ce qui est de l'oouverture sur le monde, l'internationalisation de grande culture et la minoration des petites langue frappe partout sur la planete, nous sommes coupable d'être un peu mou en ce domaine, quand on voit que la culture bretonne survit et retrouve une santé de jeunesse aprés le developpement de festivités donnant l'honneur aux sonorité et à la musique folklorique traditionnelle, qu'attends t'on en algerie (entrepris par Jarmouni )? l'internationalisation de l'arabe, dont souscrit l'algerie par sa politique culturelle et son systeme educatif fait qu'on est en train de mettre en danger la vieille culture, il faut innover si l'on veut une survie du minimum, et donc une ouverture arabe n'est pas à négliger, elle se fait par le staifi, même si à la base il n'a plus grand chose à voir avec les irahabane, qui sont la veriable identité folklorique d'une partie du monde ichawwiyen, il faut une mission ethno-musicologique pour sauver et archiver ses sonnorités et cette culture qui nous viens du fond des âges. Issa Djermouni est tout de même un ichawwi qui a mis son talent au service de la culture algerienne et à l'homme algerien dans son ensemble, alors qu'il use de la langue de ses pair c'est pas un probleme, ce qui est plus dangereux c'est le phenomene d'identification erronée du genre khalass = chaoui !! là oui il y beaucoup à dire

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