lls sont certainement des centaines à avoir écouté la nouvelle cassette du chanteur Oujrih. C’est que celle-ci fait un tabac depuis sa sortie, il y a à peine quelques jours.
L’artiste lui-même, que nous avons rencontrés mercredi dernier, avoue que ce produit édité chez “Bel art édition” est le meilleur de ses 7 albums qu’il compte sur le marché.
Composé de huit titres, ce nouvel album ne laisse pas en effet indifférent avec notamment la chanson “Flexy” à travers laquelle le chanteur évoque ce phénomène qui s’est répandu dans notre société avec l’émergence du téléphone portable. Cette chanson est vite adopté par de nombreux jeunes. Ces jeunes, estime ce dernier, ont trouvé leurs comptes dans cette mesure préconisée par les différents opérateurs de téléphonie mobile. Oujrih qui semble très sensible à ce qu’endure la jeunesse algérienne et plus particulièrement kabyle a également consacré une autre chanson pour traiter des nombreux problèmes auxquels est soumise cette frange de la société. “A Moumendil” relate en effet cette dure réalité sociale faite de chantage et de manque de considération.
Dans son album, Oujrih a également chanté l’espoir la belle vie mais aussi l’amour en “imaginant” des histoires qui ne finissent pas forcément bien comme c’est le cas dans la chanson “Zwaj Ala” un remixe puisque celle-ci figurait déjà dans un des anciens albums du chanteur. Le tout interprété dans un style rythmé à l’exception de “Samia” où Oujrih s’est “testé” dans le sentimental, un style qui lui va comme un gant avec sa voix chaude qui exprime aussi bien le chagrin que le bonheur.
Une voix associée à celles de Nora-Nadia-Linda, trois chanteuses qui ont accompagné Oujrih dans cet album, en donnant plus de tonus à celui-ci, suivant des arrangements et un mixage ficelés.
Les paroles et les musiques mesurées de Oujrih vont faire de cette cassette un triomphe.
Oujrih : “C’est le meilleur produit de ma jeune carrière”
L. D. K. :Parlez-nous un peu de votre nouvel album ?
O. : C’est un album composé de huit titres traitant des choses de la vie en insistant sur les problèmes sociaux, la cherté de la vie, et bien entendu l’amour et ses chagrins. En somme, tout ce qui touche à la jeunesse. Dans la chanson Flexy j’ai soulevé un phénomène social en imaginant des scènes se produisant quotidiennement dans les taxi-phones.
A Moumendil par exemple relate la situation sociale peu reluisante que vit la jeunesse algérienne...
Vous avez également reproduit la chanson Zwaj Ala !
Cette chanson m’est très chère car je crois bien que c’est elle qui a fait Oujrih. C’est grâce à elle que je me suis fait un nom sur la scène artistique kabyle. Elle m’a lancé et j’ai toujours eu l’idée de l’injecter dans un autre album. Je l’ai fait cette fois comme j’aurais pu le faire l’année passée lors de la parution de ma dernière cassette.
Quelle appréciation faites-vous de l’écho que ce nouvel album a trouvé auprès du public ?
Je crois que l’album a eu un écho favorable auprès de mes fans. Je suis en tous cas satisfait de l’accueil qu’on lui a réservé. Je ne vous cache pas que je me suis énormément investi sur cette K7, d’ailleurs celle-ci reste pour moi mon meilleur produit sur tous les plans aussi bien musical que pour les textes.
Qu’a-t-il de nouveau par rapport à vos précédents albums ?
Comme je viens de vous le dire, il y a d’abord les paroles et les musiques qui sont nettement mieux travaillés même si j’ai toujours voulu être au top, et puis il y a surtout la qualité des arrangements et de la sonorisation, car comme vous pouvez le constater, j’ai dû changer de maison d’enregistrement en optant pour le studio Casbah. J’estime également que la touche de notre ami Kader dans la prise de son et du mixage a fait aussi la différence.
Et les trois voix féminines alors ?
Oui j’allais oublier, pourtant j’ai personnellement tenu à ce qu’il ait plus d’une voix féminine pour l’accompagnement. Je pense que cela a donné plus de consistance à mes chansons.
Pour conclure cet entretien, quels sont vos projets pour cet été ?
Comme d’habitude, j’ai plusieurs fêtes et galas à animer, j’envisage aussi de faire des clips pour ce nouvel album pour un VCD qui sortira le mois de carême prochain, si tout se passe bien.
Par la Dépêche de Kabylie
L’artiste lui-même, que nous avons rencontrés mercredi dernier, avoue que ce produit édité chez “Bel art édition” est le meilleur de ses 7 albums qu’il compte sur le marché.
Composé de huit titres, ce nouvel album ne laisse pas en effet indifférent avec notamment la chanson “Flexy” à travers laquelle le chanteur évoque ce phénomène qui s’est répandu dans notre société avec l’émergence du téléphone portable. Cette chanson est vite adopté par de nombreux jeunes. Ces jeunes, estime ce dernier, ont trouvé leurs comptes dans cette mesure préconisée par les différents opérateurs de téléphonie mobile. Oujrih qui semble très sensible à ce qu’endure la jeunesse algérienne et plus particulièrement kabyle a également consacré une autre chanson pour traiter des nombreux problèmes auxquels est soumise cette frange de la société. “A Moumendil” relate en effet cette dure réalité sociale faite de chantage et de manque de considération.
Dans son album, Oujrih a également chanté l’espoir la belle vie mais aussi l’amour en “imaginant” des histoires qui ne finissent pas forcément bien comme c’est le cas dans la chanson “Zwaj Ala” un remixe puisque celle-ci figurait déjà dans un des anciens albums du chanteur. Le tout interprété dans un style rythmé à l’exception de “Samia” où Oujrih s’est “testé” dans le sentimental, un style qui lui va comme un gant avec sa voix chaude qui exprime aussi bien le chagrin que le bonheur.
Une voix associée à celles de Nora-Nadia-Linda, trois chanteuses qui ont accompagné Oujrih dans cet album, en donnant plus de tonus à celui-ci, suivant des arrangements et un mixage ficelés.
Les paroles et les musiques mesurées de Oujrih vont faire de cette cassette un triomphe.
Oujrih : “C’est le meilleur produit de ma jeune carrière”
L. D. K. :Parlez-nous un peu de votre nouvel album ?
O. : C’est un album composé de huit titres traitant des choses de la vie en insistant sur les problèmes sociaux, la cherté de la vie, et bien entendu l’amour et ses chagrins. En somme, tout ce qui touche à la jeunesse. Dans la chanson Flexy j’ai soulevé un phénomène social en imaginant des scènes se produisant quotidiennement dans les taxi-phones.
A Moumendil par exemple relate la situation sociale peu reluisante que vit la jeunesse algérienne...
Vous avez également reproduit la chanson Zwaj Ala !
Cette chanson m’est très chère car je crois bien que c’est elle qui a fait Oujrih. C’est grâce à elle que je me suis fait un nom sur la scène artistique kabyle. Elle m’a lancé et j’ai toujours eu l’idée de l’injecter dans un autre album. Je l’ai fait cette fois comme j’aurais pu le faire l’année passée lors de la parution de ma dernière cassette.
Quelle appréciation faites-vous de l’écho que ce nouvel album a trouvé auprès du public ?
Je crois que l’album a eu un écho favorable auprès de mes fans. Je suis en tous cas satisfait de l’accueil qu’on lui a réservé. Je ne vous cache pas que je me suis énormément investi sur cette K7, d’ailleurs celle-ci reste pour moi mon meilleur produit sur tous les plans aussi bien musical que pour les textes.
Qu’a-t-il de nouveau par rapport à vos précédents albums ?
Comme je viens de vous le dire, il y a d’abord les paroles et les musiques qui sont nettement mieux travaillés même si j’ai toujours voulu être au top, et puis il y a surtout la qualité des arrangements et de la sonorisation, car comme vous pouvez le constater, j’ai dû changer de maison d’enregistrement en optant pour le studio Casbah. J’estime également que la touche de notre ami Kader dans la prise de son et du mixage a fait aussi la différence.
Et les trois voix féminines alors ?
Oui j’allais oublier, pourtant j’ai personnellement tenu à ce qu’il ait plus d’une voix féminine pour l’accompagnement. Je pense que cela a donné plus de consistance à mes chansons.
Pour conclure cet entretien, quels sont vos projets pour cet été ?
Comme d’habitude, j’ai plusieurs fêtes et galas à animer, j’envisage aussi de faire des clips pour ce nouvel album pour un VCD qui sortira le mois de carême prochain, si tout se passe bien.
Par la Dépêche de Kabylie