Il aurait eu cent ans aujourd’hui, celui qu’on appelait le phénix, le cardinal et le cheikh de tous les cheikhs du genre chaâbi qu’il savait tant célébrer et élever, selon les puristes, à un véritable rang d’art.
Et d’art majeur qui plus est. Car l’enfant de la mythique Casbah, lieu dit pas tout à fait comme les autres en ce qu’il a enfanté de sublimes destinées, a eu un parcours tout à fait exceptionnel.
Et en tant que commun des mortels est sur le registre artistique qu’il a marqué de toute l’étendue de son talent et de cette voix si spécifique par ses sonorités magnétiques au genre chaabi.
Ceci est si vrai que toutes les qacidate de feu El-anka sont des classiques, des morceaux d’anthologie et pour tout dire, un régal pour les puristes.
Même si d’aucuns considèrent que Sobhane Allah Yaltif et Lahmam émergent du lot par toute l’épaisseur, la densité, le volume et l’amplitude dont ces deux repères majeurs dans l’œuvre du défunt, sont porteurs pour l’éternité.
Et l’hommage que vient de lui rendre le ministère de la Culture qui est en train d’exploiter à bon escient l’opportunité de «Alger capitale arabe de la culture 2007» pour immortaliser par-ci et réhabiliter par-là des pans entiers de la culture nationale aussi bien s’agissant du patrimoine matériel qu’immatériel.
Or cette dimension prend davantage de relief s’agissant de ce rafraîchissement de mémoire collectif dont l’hommage au cheikh disparu constitue tout autant la substance que la substantifique moelle. Par ailleurs, qui oserait contester, aujourd’hui, y compris parmi l’infime minorité de détracteurs du cheikh pour des raisons qui participent d’ailleurs davantage du subjectif que de l’objectif, que El-Hadj M’hamed El-Anka, au-delà de sa stature monumentale, fait surtout partie intégrante du patrimoine universel.
A. Z. in http://www.lejourd***********
Et d’art majeur qui plus est. Car l’enfant de la mythique Casbah, lieu dit pas tout à fait comme les autres en ce qu’il a enfanté de sublimes destinées, a eu un parcours tout à fait exceptionnel.
Et en tant que commun des mortels est sur le registre artistique qu’il a marqué de toute l’étendue de son talent et de cette voix si spécifique par ses sonorités magnétiques au genre chaabi.
Ceci est si vrai que toutes les qacidate de feu El-anka sont des classiques, des morceaux d’anthologie et pour tout dire, un régal pour les puristes.
Même si d’aucuns considèrent que Sobhane Allah Yaltif et Lahmam émergent du lot par toute l’épaisseur, la densité, le volume et l’amplitude dont ces deux repères majeurs dans l’œuvre du défunt, sont porteurs pour l’éternité.
Et l’hommage que vient de lui rendre le ministère de la Culture qui est en train d’exploiter à bon escient l’opportunité de «Alger capitale arabe de la culture 2007» pour immortaliser par-ci et réhabiliter par-là des pans entiers de la culture nationale aussi bien s’agissant du patrimoine matériel qu’immatériel.
Or cette dimension prend davantage de relief s’agissant de ce rafraîchissement de mémoire collectif dont l’hommage au cheikh disparu constitue tout autant la substance que la substantifique moelle. Par ailleurs, qui oserait contester, aujourd’hui, y compris parmi l’infime minorité de détracteurs du cheikh pour des raisons qui participent d’ailleurs davantage du subjectif que de l’objectif, que El-Hadj M’hamed El-Anka, au-delà de sa stature monumentale, fait surtout partie intégrante du patrimoine universel.
A. Z. in http://www.lejourd***********