Ettes, Ettes » (Dors, Dors)
AIT MENGUELAT
« Dors, dors,
Apportez-moi un rameau.
D’où me le rapporterez-vous ?
De La Mecque.
Quiconque s’en éventera
Sombrera dans un sommeil,
D’où il ne s’éveillera pas.
Dors, dors, il n’est pas temps encore
Ce n’est pas ton tour de parole,
Toi qui a perdu le sommeil Plane vers Damas,
Doux ramier, je te prie,
Ramène le Talisman du sommeil,
Celui dont l’effet est irrépressible.
Si tu t’éveilles, A sa seule vue tes yeux se referment.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole,
Toi qui a perdu le sommeil.
Parcours Le Caire de bout en bout,
Oiseau porte leur mon message.
Dis leur : les caisses d’opium
Que vous nous avez envoyées
, Nous les avons reçues.
Dis leur : bannissez toute inquiétude,
Ceux que vous craignez sont tous endormis.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole.
Ils te bercent jusqu'à t’endormir,
Te couvrent, Tout ce que tu désires
Existe En rêve tout est facile
Refermes les yeux et rendors-toi,
De peur que nous te réveillions.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole.
Toi qui a perdu le sommeil,
Tu le retrouveras dans notre pays,
Toi qui as perdu le sommeil »
AIT MENGUELAT
« Dors, dors,
Apportez-moi un rameau.
D’où me le rapporterez-vous ?
De La Mecque.
Quiconque s’en éventera
Sombrera dans un sommeil,
D’où il ne s’éveillera pas.
Dors, dors, il n’est pas temps encore
Ce n’est pas ton tour de parole,
Toi qui a perdu le sommeil Plane vers Damas,
Doux ramier, je te prie,
Ramène le Talisman du sommeil,
Celui dont l’effet est irrépressible.
Si tu t’éveilles, A sa seule vue tes yeux se referment.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole,
Toi qui a perdu le sommeil.
Parcours Le Caire de bout en bout,
Oiseau porte leur mon message.
Dis leur : les caisses d’opium
Que vous nous avez envoyées
, Nous les avons reçues.
Dis leur : bannissez toute inquiétude,
Ceux que vous craignez sont tous endormis.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole.
Ils te bercent jusqu'à t’endormir,
Te couvrent, Tout ce que tu désires
Existe En rêve tout est facile
Refermes les yeux et rendors-toi,
De peur que nous te réveillions.
Dors, dors, il n’est pas temps encore,
Ce n’est pas ton tour de parole.
Toi qui a perdu le sommeil,
Tu le retrouveras dans notre pays,
Toi qui as perdu le sommeil »
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