@Nedjma
voici l'article
voici l'article
Posté le 22.11.2007 par djamazz
Gaston au balcon, Mossad au salon !
mercredi 21 novembre 2007
par Gouns
La ratonnade du quartier arabe de Constantine le 12 mai 1956 à laquelle beaucoup soupçonnent Enrico Macias au sein d’une milice juive locale d’avoir participé (à l’époque plusieurs habitants de la ville se souviennent l’avoir vu parader avec une arme ) fit une cinquantaine de morts arabes. Elle a été délibérée et s’est inventé de toutes pièces un prétexte. L’intérêt du Mossad israélien dans cette affaire était, en poussant la communauté juive à se mouiller avec le colonialisme, de créer un fossé entre les communautés arabe et juive afin d’aboutir in fine à l’exode vers Israël des juifs d’Algérie. (Le même scénario sera répété à Bagdad en 1958 pour obtenir le départ vers Israël des juifs irakiens qui ne voulaient pas y aller. Des attentats furent organisés par le Mossad contre des synagogues et des mosquées afin d’envenimer les relations inter communautaires, ces faits sont absolument avérés ). Par ailleurs, en 1956, Raymond Leiris le beau père d’Enrico était loin de n’être qu’un pacifique musicien de Maalouf comme le prétend E.M. Il avait déjà fait le voyage en Israël et en était revenu enthousiaste. En tant que responsable communautaire de Constantine il était devenu un des principaux relais du Mossad dans cete ville. C’est lui qui commença à organiser ces groupes de choc de jeunes juifs qui deviendront par la suite l’OAS J. ( J. pour Juive, cette organisation branche juive de l’OAS sévira particulièrement à Oran et Constantine ) Raymond Leiris sera finalement abattu en représailles de ses méfaits par le FLN, en 1961 en plein marché de Constantine. Pourtant un appel avait été lancé par le FLN en juin 56 dans sa presse clandestine appelant à l’unité contre le colonialisme de toutes les communautés. Cet appel ne sera pas écouté par les dirigeants de la communauté juive de Constantine auxquels était lié Enrico Macias ni par ceux d’Oran. Dans d’autres villes d’Algérie les communautés juives se conduisirent différemment notamment à Tlemcen ou Laghouat où elles eurent un comportement comparable à celui de leurs compatriotes musulmans. Des juifs intégrèrent même le FLN et bien sûr certains firent de la prison ou furent torturés pour actes de résistance. Malheureusement le poison colonial et le sionisme en général furent les plus forts et réussirent à diviser. En tout cas il s’agit d’une question politique et non comme ce triste sbire d’E.M. veut le faire croire d’une querelle religieuse, ce qui est grotesque vu le nombre de juifs qui retournent en Algérie chaque année. Ses mensonges sont ignobles et il nous fait ses yeux de coker pour ne pas avoir à avouer qu’il s’est conduit comme un salaud, méprisant ses compatriotes et trahissant son pays l’Algérie car il n’est pas pied-noir. Son vrai nom est Ghenassia. Son prénom est Gaston car depuis le décret Crémieux qui leur donnait la nationalité française, les juifs d’Algérie pour s’identifier à la France abandonnaient leurs prénoms judéo-arabes et se prénommaient Gaston, Benjamin, Alexandre ou Roger. Cela veut dire que ses ancêtres sont des indigènes arabo-berbères. Ils ne viennent pas de France ou d’Europe et donc ne peuvent pas être appelés Pieds-noirs. D’autre part il veut aller en Algérie car il cherche à savoir qui a flingué son beau père, Raymond Leiris, le responsable de l’OAS j . Avec volonté de représailles contre le ou les auteurs encore en vie grâce à ses amis du Mossad, va savoir Charles ?! A la place de cette racaille de Macias je me méfierais des Constantinois : des gens sérieux, ils n’ont pas son sens de l’humour et je doute que les parents des martyrs du 12 mai 1956 aient vraiment envie de faire poï, poï, poï, avec lui.
Gaston au balcon, Mossad au salon !
Gaston au balcon, Mossad au salon !
mercredi 21 novembre 2007
par Gouns
La ratonnade du quartier arabe de Constantine le 12 mai 1956 à laquelle beaucoup soupçonnent Enrico Macias au sein d’une milice juive locale d’avoir participé (à l’époque plusieurs habitants de la ville se souviennent l’avoir vu parader avec une arme ) fit une cinquantaine de morts arabes. Elle a été délibérée et s’est inventé de toutes pièces un prétexte. L’intérêt du Mossad israélien dans cette affaire était, en poussant la communauté juive à se mouiller avec le colonialisme, de créer un fossé entre les communautés arabe et juive afin d’aboutir in fine à l’exode vers Israël des juifs d’Algérie. (Le même scénario sera répété à Bagdad en 1958 pour obtenir le départ vers Israël des juifs irakiens qui ne voulaient pas y aller. Des attentats furent organisés par le Mossad contre des synagogues et des mosquées afin d’envenimer les relations inter communautaires, ces faits sont absolument avérés ). Par ailleurs, en 1956, Raymond Leiris le beau père d’Enrico était loin de n’être qu’un pacifique musicien de Maalouf comme le prétend E.M. Il avait déjà fait le voyage en Israël et en était revenu enthousiaste. En tant que responsable communautaire de Constantine il était devenu un des principaux relais du Mossad dans cete ville. C’est lui qui commença à organiser ces groupes de choc de jeunes juifs qui deviendront par la suite l’OAS J. ( J. pour Juive, cette organisation branche juive de l’OAS sévira particulièrement à Oran et Constantine ) Raymond Leiris sera finalement abattu en représailles de ses méfaits par le FLN, en 1961 en plein marché de Constantine. Pourtant un appel avait été lancé par le FLN en juin 56 dans sa presse clandestine appelant à l’unité contre le colonialisme de toutes les communautés. Cet appel ne sera pas écouté par les dirigeants de la communauté juive de Constantine auxquels était lié Enrico Macias ni par ceux d’Oran. Dans d’autres villes d’Algérie les communautés juives se conduisirent différemment notamment à Tlemcen ou Laghouat où elles eurent un comportement comparable à celui de leurs compatriotes musulmans. Des juifs intégrèrent même le FLN et bien sûr certains firent de la prison ou furent torturés pour actes de résistance. Malheureusement le poison colonial et le sionisme en général furent les plus forts et réussirent à diviser. En tout cas il s’agit d’une question politique et non comme ce triste sbire d’E.M. veut le faire croire d’une querelle religieuse, ce qui est grotesque vu le nombre de juifs qui retournent en Algérie chaque année. Ses mensonges sont ignobles et il nous fait ses yeux de coker pour ne pas avoir à avouer qu’il s’est conduit comme un salaud, méprisant ses compatriotes et trahissant son pays l’Algérie car il n’est pas pied-noir. Son vrai nom est Ghenassia. Son prénom est Gaston car depuis le décret Crémieux qui leur donnait la nationalité française, les juifs d’Algérie pour s’identifier à la France abandonnaient leurs prénoms judéo-arabes et se prénommaient Gaston, Benjamin, Alexandre ou Roger. Cela veut dire que ses ancêtres sont des indigènes arabo-berbères. Ils ne viennent pas de France ou d’Europe et donc ne peuvent pas être appelés Pieds-noirs. D’autre part il veut aller en Algérie car il cherche à savoir qui a flingué son beau père, Raymond Leiris, le responsable de l’OAS j . Avec volonté de représailles contre le ou les auteurs encore en vie grâce à ses amis du Mossad, va savoir Charles ?! A la place de cette racaille de Macias je me méfierais des Constantinois : des gens sérieux, ils n’ont pas son sens de l’humour et je doute que les parents des martyrs du 12 mai 1956 aient vraiment envie de faire poï, poï, poï, avec lui.
Gaston au balcon, Mossad au salon !
Commentaire