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Ait Menguellet - Teryel
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J’attends comme celui qu’attend l’ogresse
Mais le cœur qui attend désespère
Mon attente devient scandaleuse
Sans que mon amour s’amoindrisse
Les jours pour moi passent
Comme passent les jours pour toi
Mais moi je souffre
Que n’ai-je point subi pour toi ?
Ton image me hante
Malgré les jours qui passent
Je ne sais qui a dit
Que le fou n’oublie pas sa porte
Ainsi mon cœur n’oublie pas les chemins
Qui le mènent vers l’objet de ses désirs
Mais dès qu’il touche au but
Un obstacle s’interpose
J’ai peur que le jour où je te reverrai
Le temps n’ait déjà fait son œuvre
Qu’à ta place je trouve Une vieille chenue
Moi-même j’aurai vieilli
Et chacun de nous s’occupera de soi
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J’attends comme celui qu’attend l’ogresse
Mais le cœur qui attend désespère
Mon attente devient scandaleuse
Sans que mon amour s’amoindrisse
Les jours pour moi passent
Comme passent les jours pour toi
Mais moi je souffre
Que n’ai-je point subi pour toi ?
Ton image me hante
Malgré les jours qui passent
Je ne sais qui a dit
Que le fou n’oublie pas sa porte
Ainsi mon cœur n’oublie pas les chemins
Qui le mènent vers l’objet de ses désirs
Mais dès qu’il touche au but
Un obstacle s’interpose
J’ai peur que le jour où je te reverrai
Le temps n’ait déjà fait son œuvre
Qu’à ta place je trouve Une vieille chenue
Moi-même j’aurai vieilli
Et chacun de nous s’occupera de soi
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