Il n’en fallut pas plus que cela, rien qu’un regard !
Croisant cet autre par le plus grand des hasards,
Soudain plus rien d’autre n’habite le champs de ma mémoire,
Et que cette bouffée d’air chaud emplit tout mon réservoir,
Le doute me ronge, je crois me voir sans un miroir !
Presque en tremblant je sens mon cœur dans une bouilloire,
Puis je me rends compte que c’est l’amour qui me soumet à son pouvoir,
Certes, je me demande s’il n’y a pas la quelque méchant grimoire !?
Pourtant, bientôt j’abdique et presque sans crier gard !
Et de mon plein gré je me rends à la merci de cet étrange pressoir,
Nuit et jours je maudirais d’avoir croise ce doux regard,
Et dans mon mal je traiterais de tous les noms ce cruel hasard,
Mais sous le charme je me dirais qu’elle est si belle et tellement rare,
Et tombant de haut je me résoudrais a encaisser ces dards,
Alors à Dieu j’adresserais tous mes déboires,
Et a Lui seul je confirais tous mes espoirs,
Je le prierais de la soustraire à tout autre regard,
Si ce n’est au mien qui depuis ce jour la goutera d’un œil hagard,
Car plus jamais je ne pourrais la contempler d’un simple regard,
Mais de tout mon être et même sans yeux elle sera reine sans même y croire.
Croisant cet autre par le plus grand des hasards,
Soudain plus rien d’autre n’habite le champs de ma mémoire,
Et que cette bouffée d’air chaud emplit tout mon réservoir,
Le doute me ronge, je crois me voir sans un miroir !
Presque en tremblant je sens mon cœur dans une bouilloire,
Puis je me rends compte que c’est l’amour qui me soumet à son pouvoir,
Certes, je me demande s’il n’y a pas la quelque méchant grimoire !?
Pourtant, bientôt j’abdique et presque sans crier gard !
Et de mon plein gré je me rends à la merci de cet étrange pressoir,
Nuit et jours je maudirais d’avoir croise ce doux regard,
Et dans mon mal je traiterais de tous les noms ce cruel hasard,
Mais sous le charme je me dirais qu’elle est si belle et tellement rare,
Et tombant de haut je me résoudrais a encaisser ces dards,
Alors à Dieu j’adresserais tous mes déboires,
Et a Lui seul je confirais tous mes espoirs,
Je le prierais de la soustraire à tout autre regard,
Si ce n’est au mien qui depuis ce jour la goutera d’un œil hagard,
Car plus jamais je ne pourrais la contempler d’un simple regard,
Mais de tout mon être et même sans yeux elle sera reine sans même y croire.
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