Si j’étais une couleur, je serais ce bleu du ciel lavé par cet orage d’été.
Si j’étais un voyage, je serais cette rivière à l’ombre de ces grands arbres chahutés par le vent.
Si j’étais un objet, je serais cette varlope arrondissant les angles de cette table qui réunira mes amis.
Si j’étais un animal, je serais ce cheval au cœur de cette forêt, sur ce chemin de montagne, au coucher du soleil.
Si j’étais une fleur, je serais ce coquelicot au bord de ce champ de blé, respirant les bonnes odeurs des moissons.
Si j’étais un fruit, je serais cette pomme d’un rouge éclatant, perchée au sommet de cet arbre, inatteignable, balancée par les douces brises de septembre.
Si j’étais un sentiment, je serais cet amour complice, partagé, unique, durable, infatigable, impérissable.
Si j’étais un jour de la semaine, je serais ce dimanche après-midi assis devant cette maison, les yeux fermés, le visage baigné par les rayons du soleil.
Si j’étais toi, je serais celui qui me comprend et qui voit ce que je ressens. Je serais doux et paisible, confiant et rassurant.
Si j’étais un moment de la vie, je serais ces rires d’enfants et ces chants d’oiseaux dans ce jardin embaumé de parfums enivrants.
Si je n’étais rien, je serais ces petites heures du matin, arrosées de reflets de lune.
Si j’étais un voyage, je serais cette rivière à l’ombre de ces grands arbres chahutés par le vent.
Si j’étais un objet, je serais cette varlope arrondissant les angles de cette table qui réunira mes amis.
Si j’étais un animal, je serais ce cheval au cœur de cette forêt, sur ce chemin de montagne, au coucher du soleil.
Si j’étais une fleur, je serais ce coquelicot au bord de ce champ de blé, respirant les bonnes odeurs des moissons.
Si j’étais un fruit, je serais cette pomme d’un rouge éclatant, perchée au sommet de cet arbre, inatteignable, balancée par les douces brises de septembre.
Si j’étais un sentiment, je serais cet amour complice, partagé, unique, durable, infatigable, impérissable.
Si j’étais un jour de la semaine, je serais ce dimanche après-midi assis devant cette maison, les yeux fermés, le visage baigné par les rayons du soleil.
Si j’étais toi, je serais celui qui me comprend et qui voit ce que je ressens. Je serais doux et paisible, confiant et rassurant.
Si j’étais un moment de la vie, je serais ces rires d’enfants et ces chants d’oiseaux dans ce jardin embaumé de parfums enivrants.
Si je n’étais rien, je serais ces petites heures du matin, arrosées de reflets de lune.
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