Le vieillard
Dans un calme digne d’un cimetière
Il traînait son ombre sur la poussière
Sa tête brûle de mille feux blancs et
Les rides ont envahi son large front
Son pas entraînait les feuilles des sentiers
Qui jadis, fort de ses bras, était au chantier
Ses yeux éteignent chaque jour une lumière
Mais sa bouche récitait toujours ses prières
Entre les bras de la nuit, loin il s’en dort
Comme un enfant, il n’a plus de remords
Et quand le temps se prolonge de suite
Ses soupirs, on dirait une ode qu’il récite
Combien de fois il a raconté ses histoires
Sans oublier ses contes parfois dérisoires
Son âme, candide, telle une eau limpide
Son cœur sentait déjà ses foulées rapides
Dans un calme digne d’un cimetière
Il traînait son ombre sur la poussière
Sa tête brûle de mille feux blancs et
Les rides ont envahi son large front
Son pas entraînait les feuilles des sentiers
Qui jadis, fort de ses bras, était au chantier
Ses yeux éteignent chaque jour une lumière
Mais sa bouche récitait toujours ses prières
Entre les bras de la nuit, loin il s’en dort
Comme un enfant, il n’a plus de remords
Et quand le temps se prolonge de suite
Ses soupirs, on dirait une ode qu’il récite
Combien de fois il a raconté ses histoires
Sans oublier ses contes parfois dérisoires
Son âme, candide, telle une eau limpide
Son cœur sentait déjà ses foulées rapides
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