salam
Poète abusé de muses éprises,
amusé allant tête baissée
abusé tant pis de muses incomprises.
dis muse, la poésie connait elle le poète?
Et la muse sans le savoir s'abuse nue.
Récif parfumé, le poète trébuche sans savoir,
aime sans être compris -tant pis-
s'amuse et s'abîme,
tant pis la muse s'amuse et l'abîme grandit.
L'amour s'amuse et s'abuse tant mieux;
de ses voeux pieux le poète de ses yeux
gèle le ciel qui veut la terre et la terre qui veut les cieux,
là où ma muse s'amuse
cieux où se perdent mes yeux...
là, dans le lointain,
je te vois déjà
allant repartant ma muse
éprise de brises fugitives
s'épuise ma muse et s'abîment mes voeux...
Mes yeux alors se ferment
car j'abîme le ciel de mes voeux.
Le monde aboit je ne l'entends plus il se brise
et je ne vois plus les cieux.
De mes mains caresser ses cheveux
Mais la muse s'amuse et je m'abuse.
Ce sont ses cheveux qui caressent mes mains
et mes mains d'ailleurs je ne les sens plus...
La muse...ses yeux me disent
"c'est toi qui t'amuse et m'abîme"
Je ne sais plus alors si mes yeux s'abusent ou si les cieux s'amusent
incompris allant tant pis je l'aime.
-et la muse se brise
-Yoann- 30 juin 2000
j'ai trouvé se poem super j'ai voulu le partagé alors j esper qu'il a un sens dans vos esprits :hihihi:
:roll: Un Réaliste :roll:
Poète abusé de muses éprises,
amusé allant tête baissée
abusé tant pis de muses incomprises.
dis muse, la poésie connait elle le poète?
Et la muse sans le savoir s'abuse nue.
Récif parfumé, le poète trébuche sans savoir,
aime sans être compris -tant pis-
s'amuse et s'abîme,
tant pis la muse s'amuse et l'abîme grandit.
L'amour s'amuse et s'abuse tant mieux;
de ses voeux pieux le poète de ses yeux
gèle le ciel qui veut la terre et la terre qui veut les cieux,
là où ma muse s'amuse
cieux où se perdent mes yeux...
là, dans le lointain,
je te vois déjà
allant repartant ma muse
éprise de brises fugitives
s'épuise ma muse et s'abîment mes voeux...
Mes yeux alors se ferment
car j'abîme le ciel de mes voeux.
Le monde aboit je ne l'entends plus il se brise
et je ne vois plus les cieux.
De mes mains caresser ses cheveux
Mais la muse s'amuse et je m'abuse.
Ce sont ses cheveux qui caressent mes mains
et mes mains d'ailleurs je ne les sens plus...
La muse...ses yeux me disent
"c'est toi qui t'amuse et m'abîme"
Je ne sais plus alors si mes yeux s'abusent ou si les cieux s'amusent
incompris allant tant pis je l'aime.
-et la muse se brise
-Yoann- 30 juin 2000
j'ai trouvé se poem super j'ai voulu le partagé alors j esper qu'il a un sens dans vos esprits :hihihi:
:roll: Un Réaliste :roll:
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