Aucun fils
Germe, de ma glaise pétrie
Seul héritier, rêve fécond
Mon plus beau cadeau
Et rempart contre l’age gâteux
Unique amour incontesté constant
A qui je conterai l’histoire
Du relais des faux printemps
Veilleurs de mon mal latent
Remué, je déplore
L’absence de ma G.M
Elle avait un visage anguleux
Des paupières légères
Et un regard vigil
Edentée, un dos voûté
Des doigts noueux
D’une main généreuse, elle est …. !
Jusqu’au dernier soupire
Elle disait, que là-haut
Il y’avait de l’espoir
Et si malgré mes misères
Je sens que l’avenir sera noir et morose
En moi, je garde un peu de fantaisie
Contre le temps, l’ordre des choses
Et la vile métamorphose
Se dresse notre massue
Aux murs en torchis
Et vit dans ma tête, le vertige de l’escarpolette
Le goût des ombres
L’odeur de la miche
Aimé à satiété
Je garde mon tricot aux accrocs..
L’identique simplicité, mon enfance prosaïque
Les espaces ludiques
Et aucun regret
Germe, de ma glaise pétrie
Seul héritier, rêve fécond
Mon plus beau cadeau
Et rempart contre l’age gâteux
Unique amour incontesté constant
A qui je conterai l’histoire
Du relais des faux printemps
Veilleurs de mon mal latent
Remué, je déplore
L’absence de ma G.M
Elle avait un visage anguleux
Des paupières légères
Et un regard vigil
Edentée, un dos voûté
Des doigts noueux
D’une main généreuse, elle est …. !
Jusqu’au dernier soupire
Elle disait, que là-haut
Il y’avait de l’espoir
Et si malgré mes misères
Je sens que l’avenir sera noir et morose
En moi, je garde un peu de fantaisie
Contre le temps, l’ordre des choses
Et la vile métamorphose
Se dresse notre massue
Aux murs en torchis
Et vit dans ma tête, le vertige de l’escarpolette
Le goût des ombres
L’odeur de la miche
Aimé à satiété
Je garde mon tricot aux accrocs..
L’identique simplicité, mon enfance prosaïque
Les espaces ludiques
Et aucun regret