La femme a toujours été à l'origine de l'inspiration de beaucoup d'artistes. Ce n'est un secret pour personne. Mais que faire lorsqu'on est poète et atteint d'un mal, un mal terrible...l'impuissance?!
Ben on continue à aimer les femmes et on écrit un poème! ...et ça donne ça :
Mon cœur se couvre de nuages,
De larmes il déborde
Au souvenir de mes épreuves.
Ma confession fait trembler les montagnes
Et rouvre les plaies de mon cœur.
J’ai tout consacré aux plaisirs des filles,
Et, marqué au sceau d’un destin funeste,
Je n’eus point de chance.
Ah ! vivre seulement un jour de bonheur!
auteur: le poète kabyle Si Mohand
Dans le même registre de la souffrance et de l'agonie, un autre poète kabyle "El-Hossein" avait écrit :
Mon cœur s’en va goutte à goutte
Comme une bougie
Emprisonnée dans une lanterne.
Elle brûle et se consume,
S’étiole dans la chaleur étouffante,
Et décline, lentement, lentement.
Bientôt le vide à sa place,
Sa lumière s’éteint,
Et ce sont les ténèbres.
Vous venez de lire l'art du poème lyrique ou L’asfrou, en kabyle
Ben on continue à aimer les femmes et on écrit un poème! ...et ça donne ça :
Mon cœur se couvre de nuages,
De larmes il déborde
Au souvenir de mes épreuves.
Ma confession fait trembler les montagnes
Et rouvre les plaies de mon cœur.
J’ai tout consacré aux plaisirs des filles,
Et, marqué au sceau d’un destin funeste,
Je n’eus point de chance.
Ah ! vivre seulement un jour de bonheur!
auteur: le poète kabyle Si Mohand
Dans le même registre de la souffrance et de l'agonie, un autre poète kabyle "El-Hossein" avait écrit :
Mon cœur s’en va goutte à goutte
Comme une bougie
Emprisonnée dans une lanterne.
Elle brûle et se consume,
S’étiole dans la chaleur étouffante,
Et décline, lentement, lentement.
Bientôt le vide à sa place,
Sa lumière s’éteint,
Et ce sont les ténèbres.
Vous venez de lire l'art du poème lyrique ou L’asfrou, en kabyle
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