Pour une maman en peine
Vous avez perdu votre enfant
Et rien ne sera jamais comme avant
Votre enfant
Le sang de votre sang
Le cœur de votre cœur
S’est éteint un beau matin
Après avoir tant bataillé.
Que de pleurs et de malheur
Le temps a passé mais la douleur est restée
Chaque fleur vous dit qu’elle n’est plus là
Chaque pensée vous ramène vers elle
Et ce vide qu’elle a laissé s’amplifie
C’est un gouffre qui vous aspire
Non le temps n’a rien cautérisé
Et pourtant
Pourtant
Il faut reprendre le combat
Ne pas baisser les bras
Faites le pour elle
Qui vous aime du ciel
Où elle repose.
Faites le parce que égoïstement
On vous aime
Et vous savoir en peine
Nous peine.
Votre cœur
Pauvre cœur
Vous joue de tours
C’est pour vous dire sans détour qu’il entend
ces larmes qui ne coulent plus
Qu’il ressent ces lames qui vous déchirent
Et vous laissent à genoux.
Mais votre cœur doit se reposer
battre au rythme des saisons
Respirer le bonheur de vivre
et d'aimer ceux qui sont restés à vos cotés
Parce que ce n’est pas le moment
De ne plus respirer
Votre fille vous adorait
Elle voulait vous protéger
Résistez.
S'il vous plait.
morjane
17/01/09
Vous avez perdu votre enfant
Et rien ne sera jamais comme avant
Votre enfant
Le sang de votre sang
Le cœur de votre cœur
S’est éteint un beau matin
Après avoir tant bataillé.
Que de pleurs et de malheur
Le temps a passé mais la douleur est restée
Chaque fleur vous dit qu’elle n’est plus là
Chaque pensée vous ramène vers elle
Et ce vide qu’elle a laissé s’amplifie
C’est un gouffre qui vous aspire
Non le temps n’a rien cautérisé
Et pourtant
Pourtant
Il faut reprendre le combat
Ne pas baisser les bras
Faites le pour elle
Qui vous aime du ciel
Où elle repose.
Faites le parce que égoïstement
On vous aime
Et vous savoir en peine
Nous peine.
Votre cœur
Pauvre cœur
Vous joue de tours
C’est pour vous dire sans détour qu’il entend
ces larmes qui ne coulent plus
Qu’il ressent ces lames qui vous déchirent
Et vous laissent à genoux.
Mais votre cœur doit se reposer
battre au rythme des saisons
Respirer le bonheur de vivre
et d'aimer ceux qui sont restés à vos cotés
Parce que ce n’est pas le moment
De ne plus respirer
Votre fille vous adorait
Elle voulait vous protéger
Résistez.
S'il vous plait.
morjane
17/01/09
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