dans une pièce blanche
elle était là
allongée
je la vois souriante
sans un mot
je m'approche
et m'asseois tout près d'elle
c'est elle!
cette pièce lunimeuse flamboyante
ornée de coussins et tapis blanc
respirant la tranquilité...
elle, si belle dans son habit
son foulard rosatre
sa robe longue et blanche
l'enveloppait d'une douceur éternelle
ses joues rose le sourire aux lèvres
elle me dit :
tu es venue
je baisse la tete
en lui chuchottant
d'une voix emplit de sanglot : oui
Voit comme c'est beau
regarde la broderie de ce coussin
elle me le tend je le prend
il est soyeux le travail délicat
je le caresse
les larmes aux yeux je le lui rend
voilà ce que je veux
pour mon quarantième jours
c'est pas grand chose
non pour une femme qui ne demandait
jamais rien ce n'est rien!
on se croirait dans un mariage
le monde qui vient
et elle rit, rit
comme on riait
quand on se rencontrait
dans l'espace du temps
quand on passait des instants seules
à se parler!
nos regards se sont croisés
dans le néant de mon rêve
elle est venue!
sans mot je me suis levée
je l'ai embrassé sur le front
elle a fermé les yeux
j'ai sentit en moi
comme une chaleur indescriptible
parcourant mon corps
et je suis partie sans me retournée
là je me suis réveillée
souriante
et j'ai dit
mami ouda je suis heureuse
d'avoir pu vous revoir
vous murmurer mon aurevoir
même si pour certain
cela parait dérisoir
mais si important
quand on décide
pour autruit
mais cela n'est rien
le moment que j'ai passé
près de vous
cette nuit là
personne ne pourra
me le voler
me l'interdir
me le faire effacer
il est en moi
à jamais!
merci!
lily
la diablesse!
elle était là
allongée
je la vois souriante
sans un mot
je m'approche
et m'asseois tout près d'elle
c'est elle!
cette pièce lunimeuse flamboyante
ornée de coussins et tapis blanc
respirant la tranquilité...
elle, si belle dans son habit
son foulard rosatre
sa robe longue et blanche
l'enveloppait d'une douceur éternelle
ses joues rose le sourire aux lèvres
elle me dit :
tu es venue
je baisse la tete
en lui chuchottant
d'une voix emplit de sanglot : oui
Voit comme c'est beau
regarde la broderie de ce coussin
elle me le tend je le prend
il est soyeux le travail délicat
je le caresse
les larmes aux yeux je le lui rend
voilà ce que je veux
pour mon quarantième jours
c'est pas grand chose
non pour une femme qui ne demandait
jamais rien ce n'est rien!
on se croirait dans un mariage
le monde qui vient
et elle rit, rit
comme on riait
quand on se rencontrait
dans l'espace du temps
quand on passait des instants seules
à se parler!
nos regards se sont croisés
dans le néant de mon rêve
elle est venue!
sans mot je me suis levée
je l'ai embrassé sur le front
elle a fermé les yeux
j'ai sentit en moi
comme une chaleur indescriptible
parcourant mon corps
et je suis partie sans me retournée
là je me suis réveillée
souriante
et j'ai dit
mami ouda je suis heureuse
d'avoir pu vous revoir
vous murmurer mon aurevoir
même si pour certain
cela parait dérisoir
mais si important
quand on décide
pour autruit
mais cela n'est rien
le moment que j'ai passé
près de vous
cette nuit là
personne ne pourra
me le voler
me l'interdir
me le faire effacer
il est en moi
à jamais!
merci!
lily
la diablesse!

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