T’empoigner et te rejeter
Te piétiner, t’empoisonner
Voilà mes douces sincérités
Qui submergent mes pensées
Pleines de vérités
Etaient tes mensonges cachés
Ouvre-moi ta porte, effarée
Je ne supporte cette idée
Celle des actes inachevées
J’aurais du au lieu de rêver
T’extirper de ta fausse réalité
Te broyer, te compresser
Tu dors ? Je viens te réveiller
Pour mieux jouir de cette liberté
Remue-toi, prouve-moi la virilité
Je ne m’accommode pas de la facilité
Trop simple, tu ne fais que jouer
Agir et penser
Détruire pour ne point panser
J’aurais du au lieu de le miroiter
Te souffler, te compresser
J’admire, éveillée
La triste image laissée
Par tes vides, tes allées
Comprends-tu, frustré ?
Voici ma main alliée
Prends-là, égaré
Oui, je vais sûrement t’aider
D’abord me libérer
J’aurais du au lieu de pleurer
Tombe, crève, désespéré
Je viens, j’accours te pousser
Tu me réclames ? Je viens chanter
Les vers qui vont t’enchanter
Je passe, je vais t’ignorer
Pleure, sublime demeuré
Je jubile à te voir contempler
Ma folie dont tu es prisonnier
Espère, mais je ris de te tuer
Car j’aurais du au lieu de t’aimer
Te piétiner, t’empoisonner
Voilà mes douces sincérités
Qui submergent mes pensées
Pleines de vérités
Etaient tes mensonges cachés
Ouvre-moi ta porte, effarée
Je ne supporte cette idée
Celle des actes inachevées
J’aurais du au lieu de rêver
T’extirper de ta fausse réalité
Te broyer, te compresser
Tu dors ? Je viens te réveiller
Pour mieux jouir de cette liberté
Remue-toi, prouve-moi la virilité
Je ne m’accommode pas de la facilité
Trop simple, tu ne fais que jouer
Agir et penser
Détruire pour ne point panser
J’aurais du au lieu de le miroiter
Te souffler, te compresser
J’admire, éveillée
La triste image laissée
Par tes vides, tes allées
Comprends-tu, frustré ?
Voici ma main alliée
Prends-là, égaré
Oui, je vais sûrement t’aider
D’abord me libérer
J’aurais du au lieu de pleurer
Tombe, crève, désespéré
Je viens, j’accours te pousser
Tu me réclames ? Je viens chanter
Les vers qui vont t’enchanter
Je passe, je vais t’ignorer
Pleure, sublime demeuré
Je jubile à te voir contempler
Ma folie dont tu es prisonnier
Espère, mais je ris de te tuer
Car j’aurais du au lieu de t’aimer
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