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Elle est à côté de l’éternité.

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  • Elle est à côté de l’éternité.

    ...............................

    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 09h36.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    e suis juste de passage, et j'ai trouvé ton texte sublime zac,
    une manière à part d'écrire, mais agréable quoi qu'elle est sa façon de parler....

    Mais c'est tellement triste que ça m'attriste aussi!


    Là, je la vois
    Mais ma voix,
    Par son étreinte,
    S’est éteinte…


    même si parfois te semble que ta voix ne sais prononcer un mot ta plume le fait toujours ,


    j'aime tellement te lire même lorsque c'est triste!

    j'espère que tu nous reviendra bientôt avec tes belles mots d'amours qui chantent le bonheur.
    une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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    • #3
      Bonjour mirages, Bonjour Zac,

      Zac c'est magnifique a en donner des frissons. A la fois c'est épuré et d'une telle richesse d'une telle amplitude, c'est tres beau.

      Merci Majesté.

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      • #4
        reinventer l espoir

        Lasse ;
        Elle s’abandonne
        A la faiblesse
        Ses oreilles bourdonnent

        Ce vacarme l’angoisse
        Elle veut être seule
        Quand ce mal l’enlace
        Et ce brouillard l’aveugle !

        Qu’on la laisse
        A cette douleur qui la ronge ?
        On devine à ses grimaces
        Ce à quoi elle songe !

        Elle souffre en silence
        Ce qu’elle n’a don d’avouer
        Vienne qu’elle gémisse
        S’en voient nos cœurs ébranlés

        Non,
        Ce silence l’agace
        Venez qu’on rompe ce vide
        Des couleurs fugaces
        A peine perceptibles dans ce fond aride

        Oh ;
        Allumons des bougies
        Réchauffons son cœur
        Tentons la magie
        De réinventer l’espoir !

        i nettat …

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        • #5
          Les jours s'envolent
          Et les nuits ruissèlent

          La mer soupire
          Et les pleurs se déchirent

          Le temps d'un regard
          Et il est deja trop tard

          Il fait tellement foid cette nuit
          Qu'il gèle jusqu'à l'utopie

          Aigle
          __________________________________
          "Est-ce ainsi que les hommes vivent..." Louis Aragon

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          • #6
            Mirages et Morjane merci à vous d’être passées
            Bienvenue à vous deux, Nettat et aigle noir et merci pour l'enchaînement.
            continuez à enrichir la rue.
            Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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            • #7
              Très beau Zac... Merci de continuer de nous enrichir de ton talent et de ta plume si enchanteresse et magique.

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              • #8
                Magnifique ZAC !

                lasse, épuisée elle s endort
                au devant de cet ecrin
                tapissé de velours blanc
                blanc comme la page
                qui s offre au devant
                de sa vie qu elle ...
                n ecrit plus,

                lasse, épuisée elle se reve
                loin de la tristesse
                et des ames sombres
                sombre comme ces jours
                qui s offrent au devant
                d un avenir qu elle...
                ne vit plus,

                lasse,épuisée elle se tait
                loin du brouhaha
                et des rires et de la joie
                la joie comme ce cadeau
                qu il lui a offert lui ouvre
                les portes d un
                ailleurs.

                lasse,épuisée...
                Dernière modification par absente, 26 mars 2009, 19h05.

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                • #9
                  Lasse,épuisée
                  Elle se laisse fermer les yeux
                  Elle qui ne s'est jamais incliner

                  Ce soir, elle s'en va
                  Baisse les armes
                  Regarde autour d'elle
                  Pourquoi toutes ces larmes
                  Pourquoi tant de visages tristes
                  Ne vais-je pas me reposer?!!

                  Sa voix tremble
                  Ses mains sont relaxées
                  Elle sent ce froid qui parcourt ses jambes
                  Lui gèle la voix

                  Elle n'a pas peur pour elle
                  Mais pour tout ce monde qui est là
                  Adroite, à gauche et tout autour
                  A ces femmes,ces hommes à qui elle a donné le jour
                  Au petits et au grands et même ceux qui attendent leur tour

                  Elle se dit le moment est venu
                  De partir, de changer d'avenue

                  Elle la regarde elle, une dernière fois
                  Comme pour lui dire, épargne-moi!
                  tes pleurs et sèche ceux de tes frères et sœurs
                  Je m'en vais alors sois courageuse
                  Je suis épuisée mais heureuse

                  Heureuse, de rejoindre celui
                  Qui m'a un jour laissé en oubli
                  Ce compagnon, cette autre moitié

                  La haut, je ne serai pas seule..
                  Alors, arrangez bien mon linceul
                  Tenez moi la ma mâchoire,
                  Fermez moi les yeux et dites au revoir
                  Ne faites pas rire les visteurs
                  Car même dans la mort, il existe des rieurs

                  Pour moi la vie s'arrête ici, ce soir
                  Mais la votre continue, il faut le savoir

                  Rassurez vous, rassure-toi
                  je serai là chaque soir
                  Par ma bénédiction j'essuie tout
                  Alors rangez vos mouchoirs
                  mes enfants, il va falloir
                  Que je vous quitte ce soir
                  Dernière modification par Hiziia, 26 mars 2009, 18h40.

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                  • #10
                    très beau!! merci Zac

                    à toi aussi hiizia.. j'ai aimé ton texte

                    Commentaire


                    • #11
                      ué moi je l ai pas aimé !












                      parce que pour me relever now.......

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                      • #12
                        trés joli zac ta façon d'écrire est unique je ne sais pas pourquoi les poemes tristes m'attire plus .
                        Quand c'est beau comme dans un rêve ,c'est encore plus beau parce que ce n'est pas un rêve .

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                        • #13
                          Merci à ceux et celles qui sont passés (es) par là.
                          May et Hiziia, j'ai aimé vos enchaînements.
                          Comme elle est belle
                          Notre chère rue des perles
                          Quand je vous vois affluer
                          Et les topics non pollués.
                          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

                          Commentaire


                          • #14
                            L'amour et l'amitié...

                            Aimer jusqu'à en chavirer,
                            de feu ton coeur s'est embrasé,
                            je te donne toutes mes pensées.

                            Aimer, c'est aussi s'oublier,
                            le risque d'être un jour désemparé,
                            la tristesse d'une fleur fânée,
                            l'illusion des hommes bléssés.

                            Le mal devient le bien,
                            les larmes au goût de miel,
                            une blessure qui ne guérira pas,
                            une braise qui ravivera,
                            ce rêve qui t'emportera.

                            Aimer, c'est aussi ça,
                            se couper du monde,
                            rejoindre ton île,
                            pour mieux se perdre,
                            se dissoudre dans la mer,
                            plonger dans les âbimes.

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