Lorsque tu n’es pas là
Le soleil semble éteint
Le ciel s’assombrit et la vie est en berne
Au dehors tout me semble morose
Les arbres s’agitent et les branches chassent les oiseaux
Même les roses semblent avoir le cafard
Et tout me semble si vide sans toi
Lorsque tu n’es pas là
En réalité J’exagère
Lorsque tu n’es pas là
L’air que je respire est l’air que tu m’inspires
C’est celui du bonheur de t’aimer
L’air que j’expire est celui de tes bras là
Qui se posent et m’enlacent si fort
Le bruit de tes pas est le bruit de mon cœur qui s’ébat là
Le regard que je pose
est celui d’un sourire qui m’accompagne jour et nuit
Les roses sont pétales de ton coeur
Les oiseaux chantent et dansent
Sur une montagne de rire
Et même le silence est le souffle qui se pose
Là comme une caresse
Bien sur je peux dire que tu me manques
Que je m’ennuie de toi,
Que la terre s’arrête de tourner
Que les aiguilles semblent coller
Que l'horloge de mon coeur est en apné
Que le temps est suspendu
Au dessus d’un puit sans fond
Mais si sombre et si obscur
Mais non ce ne serait pas la vérité
Lorsque tu n’es pas là
Ce qui me manque est le temps
Qui s’envole si vite alors que je le voudrai tant éternel
Alors vite
je tisse mes mots
pour faire semblant de le ralentir
Encore un peu
Un tout petit peu
Juste pour nous deux.
morjane
21/03/09
Le soleil semble éteint
Le ciel s’assombrit et la vie est en berne
Au dehors tout me semble morose
Les arbres s’agitent et les branches chassent les oiseaux
Même les roses semblent avoir le cafard
Et tout me semble si vide sans toi
Lorsque tu n’es pas là
En réalité J’exagère
Lorsque tu n’es pas là
L’air que je respire est l’air que tu m’inspires
C’est celui du bonheur de t’aimer
L’air que j’expire est celui de tes bras là
Qui se posent et m’enlacent si fort
Le bruit de tes pas est le bruit de mon cœur qui s’ébat là
Le regard que je pose
est celui d’un sourire qui m’accompagne jour et nuit
Les roses sont pétales de ton coeur
Les oiseaux chantent et dansent
Sur une montagne de rire
Et même le silence est le souffle qui se pose
Là comme une caresse
Bien sur je peux dire que tu me manques
Que je m’ennuie de toi,
Que la terre s’arrête de tourner
Que les aiguilles semblent coller
Que l'horloge de mon coeur est en apné
Que le temps est suspendu
Au dessus d’un puit sans fond
Mais si sombre et si obscur
Mais non ce ne serait pas la vérité
Lorsque tu n’es pas là
Ce qui me manque est le temps
Qui s’envole si vite alors que je le voudrai tant éternel
Alors vite
je tisse mes mots
pour faire semblant de le ralentir
Encore un peu
Un tout petit peu
Juste pour nous deux.
morjane
21/03/09

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