Elle m'a séduite
J'ai peur de ces yeux que tu illumine si magistralement
Où tu abaisse délicatement le cou pour ne pas brûler
Ma pauvre peau, tel l'esclave du royaume de tes mouvements
Tu finis de m'achever lorsque ta chevelure tu fait onduler
J'ai peur de ta voix aux éclats doré, aux accents parfumés
Je rêve déjà des danses hindoues, que tes iris projettent
J'aime cette peau qui te couvre comme se prélasse l'écume
Sur l'océan dont la houle noie le soleil d'une étreinte muette
J'ai peur de ces "Je t'aime" qui se cachent sous tes lèvres
Ne me condamne pas à aimer une odeur, a adorer une ombre
Je manipule trop mal les senteurs folles d'un corps en fièvre
Ne m'habitue pas a tes caresses, mais je sent que je sombre
Le jour où de m'on corps vidé de tout tu tapissera ton palais
Comme les rois des contrés glaciales des provinces fantômes
Qui gisent le cœur dans la main, un sourire sur le visage sculpté
Le temps ne sait qu'embellir ta chaire, ton sourire n'est qu'arôme
Des plus beaux printemps, de plus purs mélange exaltés
De vapeurs végétale, de splendeurs profonde d'une terre calciné
Ne mélange pas les effluves sacré, je ne veut plus te résister
Envole mon âme d'un baiser, emmène moi dans les cieux déchiré
Chaarar,
J'ai peur de ces yeux que tu illumine si magistralement
Où tu abaisse délicatement le cou pour ne pas brûler
Ma pauvre peau, tel l'esclave du royaume de tes mouvements
Tu finis de m'achever lorsque ta chevelure tu fait onduler
J'ai peur de ta voix aux éclats doré, aux accents parfumés
Je rêve déjà des danses hindoues, que tes iris projettent
J'aime cette peau qui te couvre comme se prélasse l'écume
Sur l'océan dont la houle noie le soleil d'une étreinte muette
J'ai peur de ces "Je t'aime" qui se cachent sous tes lèvres
Ne me condamne pas à aimer une odeur, a adorer une ombre
Je manipule trop mal les senteurs folles d'un corps en fièvre
Ne m'habitue pas a tes caresses, mais je sent que je sombre
Le jour où de m'on corps vidé de tout tu tapissera ton palais
Comme les rois des contrés glaciales des provinces fantômes
Qui gisent le cœur dans la main, un sourire sur le visage sculpté
Le temps ne sait qu'embellir ta chaire, ton sourire n'est qu'arôme
Des plus beaux printemps, de plus purs mélange exaltés
De vapeurs végétale, de splendeurs profonde d'une terre calciné
Ne mélange pas les effluves sacré, je ne veut plus te résister
Envole mon âme d'un baiser, emmène moi dans les cieux déchiré
Chaarar,
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