L'amour,
C’est une voix qui résonne dans mes rêves
S’inspirant de mes vers, colorié au vermeil
Parfumant mes réveils, apaisant mon sommeil
Calmant la rumeur qui circule sur la grève
C’est l’éclat de la destiné, c’est l’écho de la vie
C’est un voile sur le cœur, qui soigne les maux
En porte a faux, entre deux jardin du paradis
C’est un bel après-midi, un bonheur qui éclot
C’est une larme de joie, sur les joues de maman
C’est une mer qui exulte ses poissons rougeoyants
Exaltant la blanche musique, des sourires déployés
Où l’homme ivre de joie, doucement c’est noyé
C’est ce qui se dévoile aux regards qui s’étonnent
Le frisson du hasard, les frictions sont atones
Ça tâtonne, a tâtons le cœur qui fait Tam-tam
C’est la soie de nouveaux draps glorifiant la femme
C’est la confession muette, d’un dévot fourvoyé
Confiant aux voiles éphémères sa passion foudroyée
Léguant ses regrets aux lagons étendus
Le corps en transe il s’abandonne aux abus
La nuit lui offrira l’aurore, c’est un signe de Dieu
L’âme en constellation, il fera des vœux pieux
En prétextant que ce sont les cieux qui l’inspirent
Il avouera …« l’amour est donc le divin élixir »
Chaarar,
C’est une voix qui résonne dans mes rêves
S’inspirant de mes vers, colorié au vermeil
Parfumant mes réveils, apaisant mon sommeil
Calmant la rumeur qui circule sur la grève
C’est l’éclat de la destiné, c’est l’écho de la vie
C’est un voile sur le cœur, qui soigne les maux
En porte a faux, entre deux jardin du paradis
C’est un bel après-midi, un bonheur qui éclot
C’est une larme de joie, sur les joues de maman
C’est une mer qui exulte ses poissons rougeoyants
Exaltant la blanche musique, des sourires déployés
Où l’homme ivre de joie, doucement c’est noyé
C’est ce qui se dévoile aux regards qui s’étonnent
Le frisson du hasard, les frictions sont atones
Ça tâtonne, a tâtons le cœur qui fait Tam-tam
C’est la soie de nouveaux draps glorifiant la femme
C’est la confession muette, d’un dévot fourvoyé
Confiant aux voiles éphémères sa passion foudroyée
Léguant ses regrets aux lagons étendus
Le corps en transe il s’abandonne aux abus
La nuit lui offrira l’aurore, c’est un signe de Dieu
L’âme en constellation, il fera des vœux pieux
En prétextant que ce sont les cieux qui l’inspirent
Il avouera …« l’amour est donc le divin élixir »
Chaarar,
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