J'aurais aimer te dire
J’aurais aimé ne pas être inspirer
J’aurais aimé ne pas être impliquer
Dans ces larmes que tu laisse couler
Sur le sol au bois déjà noyé
J’aurais aimé ne pas avoir a présenté
Des condoléances, de phrases toute faites
D’obsures mouvements trop courbés
Pour ceux qui ne sont plus a la fête
J’aurais aimé avoir des mots, des sons
Des musiques sans sommeil au tréfonds
De mon âme qui se blesse au tessons
Des porcelaines agiles aux bataillons
J’aurais aimé ne pas avoir a te prendre
Dans mes bras, et faire comme si
Tu n’avais rien perdu, mon ami
Toi qui va la réduire en cendres…
J’aurais aimé t’apprendre a souffrir
Les larmes, fusent même de ton rire
Mais elles on la teneur du souffre
Et ne ressemble pas au mélange du pourpre
J’aurais aimé te dire que tu la rêvera
Dans un paradis auquel tu ne crois pas
Te dire que les anges vous tendrons les bras
Quant tu passera de la vie a trépas...
J’aimerais prié pour tes mornes saisons
Anticipé ces nuages acides qui viendrons
Gâchés tes automnes, taché ton blouson
Du sang sacré de tes rebellions…
J’aimerais savoir comment combattre
Ces spectres qui se réjouissent de te hanter
T’apprendre a les repousser au minuit bossu
Mais il te ferons mal, ces démons repus
J’aimerais déguisés tes murs de blanc
Danser avec toi, jusqu'à la folie et l’inconscience
Mais cela n’anestesiera pas le sang
Au fond de ta gorge…qui crie l’absence
J’aimerais te guider au cimetière des assassins
Te dire que les morts ne dorment pas tous
Et que ce silence n’a rien de serein
Ils on massacré les enfants, et les rousses…
J’aimerais te dire que le voisin du ciel
En larmes envolées sur tes déchirures
Que ta souffrance et ta haine entrerons en duel
Et qu'elles seront semblables a milles pliures
J’aimerais te dire que c’est un cycle, une logique
Souffrira tu plus intelligemment que moi ?
Écrira tu des livres sur ces fins de vies tragique
Ou t’arracheras tu la peau avant la fin du mois ?
J’aimerais t’embrasser comme on embrasse un ami
Mais ma bouche a des relents amer et fétides
Depuis que je déguste les chaires aux terres arides
Des cadavres de ceux qui sont déjà parti…
J’aimerais nous emmenez au troquets infâmes
Boire un alcool qui brûle les entrailles profonde
Mais de quel utilité me sera cette belle blonde
Quelle ivresse remplacera celle de mon âme
J’aimerais te dire que c’est la vie
Mais ce n’est pas la vie, non…pas la vie
Ça n’a rien a voir avec la vie
C’est la mort…mon ami….
Chaarar,
J’aurais aimé ne pas être inspirer
J’aurais aimé ne pas être impliquer
Dans ces larmes que tu laisse couler
Sur le sol au bois déjà noyé
J’aurais aimé ne pas avoir a présenté
Des condoléances, de phrases toute faites
D’obsures mouvements trop courbés
Pour ceux qui ne sont plus a la fête
J’aurais aimé avoir des mots, des sons
Des musiques sans sommeil au tréfonds
De mon âme qui se blesse au tessons
Des porcelaines agiles aux bataillons
J’aurais aimé ne pas avoir a te prendre
Dans mes bras, et faire comme si
Tu n’avais rien perdu, mon ami
Toi qui va la réduire en cendres…
J’aurais aimé t’apprendre a souffrir
Les larmes, fusent même de ton rire
Mais elles on la teneur du souffre
Et ne ressemble pas au mélange du pourpre
J’aurais aimé te dire que tu la rêvera
Dans un paradis auquel tu ne crois pas
Te dire que les anges vous tendrons les bras
Quant tu passera de la vie a trépas...
J’aimerais prié pour tes mornes saisons
Anticipé ces nuages acides qui viendrons
Gâchés tes automnes, taché ton blouson
Du sang sacré de tes rebellions…
J’aimerais savoir comment combattre
Ces spectres qui se réjouissent de te hanter
T’apprendre a les repousser au minuit bossu
Mais il te ferons mal, ces démons repus
J’aimerais déguisés tes murs de blanc
Danser avec toi, jusqu'à la folie et l’inconscience
Mais cela n’anestesiera pas le sang
Au fond de ta gorge…qui crie l’absence
J’aimerais te guider au cimetière des assassins
Te dire que les morts ne dorment pas tous
Et que ce silence n’a rien de serein
Ils on massacré les enfants, et les rousses…
J’aimerais te dire que le voisin du ciel
En larmes envolées sur tes déchirures
Que ta souffrance et ta haine entrerons en duel
Et qu'elles seront semblables a milles pliures
J’aimerais te dire que c’est un cycle, une logique
Souffrira tu plus intelligemment que moi ?
Écrira tu des livres sur ces fins de vies tragique
Ou t’arracheras tu la peau avant la fin du mois ?
J’aimerais t’embrasser comme on embrasse un ami
Mais ma bouche a des relents amer et fétides
Depuis que je déguste les chaires aux terres arides
Des cadavres de ceux qui sont déjà parti…
J’aimerais nous emmenez au troquets infâmes
Boire un alcool qui brûle les entrailles profonde
Mais de quel utilité me sera cette belle blonde
Quelle ivresse remplacera celle de mon âme
J’aimerais te dire que c’est la vie
Mais ce n’est pas la vie, non…pas la vie
Ça n’a rien a voir avec la vie
C’est la mort…mon ami….
Chaarar,
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