bonne mon amour a demia inchallah
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
L’ombre de ma vie
Réduire
X
-
Ma folie
J’attise ton cœur par mes paroles d’or
Pour que me donne autant de lumière,
Le lever de soleil arrive après l’aube qui précède l’aurore..
Mes poèmes vont au delà de mes pensées
Par fois auscultent et rendent l’âme austère..
J’avoue mes sentiments à toi l’azalée qui me tremble
Par tes fleurs rouges et blanches,
A bougie je suis, j’attend ma vie a me rejoindre
Pour te relater mes heures avortées, et te confier
Ces mots sacrés que j’ai appris dans le polar vénérable.
Sur la plage devant la mer bleue je t’offre mon cœur blanc,
Plein de passion et d’envie de te rendre heureuse..
Je veux que tu ris je veux que tu chantes l’amour fleuri..
Ce vent doux qui nous caresse les corps est témoin,
Et ces vagues calmes qui nous font chanter des belles mélodies,
D’un instant d’été qu’on passe ensemble sur le sable mouvant.
ce ciel constellé d’étoiles et qu’éclaire une belle lune caressant
Du bout de son croissant les flèches d’une majestueuse et fière citadelle,
Et sa couleur d’azur qui nous fait vivre des moments d’extase,
Sur le rivage, personne ne vient nous interrompons…
Oh cœur, je suis prisonnier de cet océan qui me rendre fou,
J’ai tout perdu sauf la raison et ton amour précieux..
Tu me tortures le cœur par le manque de tes paroles..
J'ai appris qu'il faut toujours croire au soleil car qu'il revient toujours.
Il y a dans mon cœur une femme qui attend
Le bon moment et l’heure pour offrir ses présentes.
Il y a dans mes yeux bien assez de tourment,
De courage et d’aveux pour te dire ce que je pense.
Une femme cachée a l’intérieure de moi même,
Une femme cachée prête à tous les combats.
Je ne vois que toi, je ne respire que ton parfum,
Et toutes mes pensées te sont destinées
Car dans mon esprit tu demeureras pour l'éternité...
Je t'aime si fort
Toi, l'amour de mon coeur
Tu sais que je t'adore
Et plus encore à chaque heure!
Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit.
Dernière modification par sam87, 10 août 2009, 00h43.Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire
-
J’ai ouvert l’armoire fermée depuis ma jeunesse le livre d’amour que j’y avais laissé y était tout couvert de poussière ,la poussière qui le recouvrait je l’ai secouée pour qu’il put me voir il me dit : qui me réveille ainsi ? Ne sachant pas que c’était moi les pages mêmes ne me reconnaissaient plus..Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire
-
Mon cœur esclave
Je regagne ton rivage
Sur la mer j’ai tracé mon passage
Pour te rejoindre j’ai pris ce voyage
On passant le dessert je vois que des mirages
Qui me dessine ce charmant visage
A cause de toi l’amour j’ai accepté cet orage
Dans mes rêves je me trouve otage
Comme un oiseau qui chante dans la cage
Et savoure le temps et l’esclavage
Dans ma mémoire j’ai gardé ton image
Ma plume qui déchire ces pages
Ne me laisse aucun souvenir qui me soulage
Ecrire et rimer les vers c’est mon seul langage
Ton absence qui me rendre sauvage
Me donne l’envie de t’aimer d’avantage
Le vent d’automne qui cache tes yeux par les nuages
Et l’hiver qui froisse mes mains et m’empêche de t’écrire les messages
Malgré la distance et les barrages
le soleil m’offre le courage
Et l’espoir de me rendre sage
Mais si seulement je pourrai te toucher le visage
et te dire combien est beau le cœur de ton ouvrage
tu sais que je t’aime c’est toi mon seul paysage….Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire
-
Hier soir, le temps a pleurniché ses heures
Par la pluie et le vent qui enflamment mes jours
Il m’a privé de champ et de net
Sans que Je puisse faire de miracle
En dirai que c’est le destin qui me sombre le faciès.
Est portant on’ était encore en été ou
Les nuits lumineuses ne sont pas encore finies
Par la lumière de ces étoiles colorées.
Les nuages qui m’ont causé ce soir de lundi.
Ils ont recelé ma lune et la nicher dans le flou
Au jour d’huit c’est la plume qui narre la fée.
J’ai entendu sa voix que j’adore l’écouter,
Et ses belles mélodies qui me charment l’oreille.
Elle commence par tu ne sais pas jaser...
Comme tu m’écris souvent ...
De son retour de la plage un flic l’a arrêtée
Parce qu’elle n’a pas mis sa sécurité…
Si j’étais moi je te livrerai un procès,
Et je mentionnerai je t’aime sur le ticket.
Je te dirai c’est une punition et que j’ai applique loi…
Quelle loi que je peux apposer ?
Sauf celle de mon cœur a rédigé …
Dernière modification par sam87, 14 août 2009, 00h20.Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire
-
Les ténèbres du silence ..
Les chants nus, la nuit vaste et le tiède silence,
L'aventure foulée aux herbes du désir,
La raison, belle encore en son lit d'opulence,
Et comme défendant la main de la saisir ;
Que sur ces vagues déguisées, dans l'immensité des cieux
N'être que deux amants, qui frissonnent juste à se regarder des yeux
Que nos plus beaux souvenirs, soient nos étreintes dans la mer
aux frontières de nos complicités, un écrin de velours porterait notre chair !
Pressez-vous de m'aimer. J'avais froid tout à l'heure.
Le vent du soir gémit comme un enfant glacé.
D'infatigables maux pleuvent sur ma demeure,
Et mes élans d'hier ont pour toujours cessé.
Car hier est si loin... si loin que, terrassé,
Je sens de toutes parts le néant qui m'effleure ;
Le fantôme d'un songe à peine commencée
Où ma vie, un moment, apparaissait meilleure.
Oh…Pressez-vous ! Je n'ai rien fait. Voilà demain.
Votre joue adorable et votre douce main
Seules peut-être ici, réchaufferont mes lèvres.
O parler dans le soir en contant des silences !
Parler, parler longtemps sous l'azur généreux !
Mon âme, le sens-tu ? J’aime les confidences ;
Soudain, je crois rêver toutes les existences.
Ce n'est plus si souvent que nous sommes heureux.
Pressez-vous. le temps fuit. J'ai vécu par hasard ;
Mon coeur faible a sombré dans des jours las et mièvres.
Et je veux tant qu'on m'aime avant qu'il soit trop tard.
Se voir le plus possible et s'aimer seulement,
Sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge,
Sans qu'un désir nous trompe, ou qu'un remords nous ronge,
Vivre à deux et donner son coeur à tout moment ;Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire
-
Allons une peitte précision !
Un minimum d'honnêteté intellectuelle ne serait pas un luxe, un texte est une partie de son auteur, il vient de toute sa personne. Le minimum qu'on puisse faire en tant que lecteur c'est de citer son NOM et de préciser à qui appartient l'écrit qu'on mets en ligne !
Pressez-vous de m'aimer. J'avais froid tout à l'heure.
Le vent du soir gémit comme un enfant glacé.
D'infatigables maux pleuvent sur ma demeure,
Et mes élans d'hier ont pour toujours cessé.
Auteur : Thierry Cabot
Mais il est vrai que dans le cas de ce dernier texte, poste 21, ce sont des morceaux de plusieurs poèmes.
Je ne comprendrais jamais les individus qui font du plagiat !
../..Dernière modification par l'imprevisible, 24 septembre 2009, 16h51.“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
Commentaire
-
.
.
.
.
.
Je regardais par la fenêtre
Il y avait encore des étoiles
Dans le ciel mon cœur était accablé
Je te cherche en quel lieu
Tu étais nuits et jours
J’avais soif de ton visage….
L’imprévisible des heures..
Et les ruines des mots
Me glissent la lumière sur le front
Les yeux ne voient que le sombre
Les mains te touche en solide..
Ah je marche sur le sable…Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
Saint augustin
Commentaire

Commentaire