Cette page blanche m’invite à me libérer
Nourrir de mots mes pensées inachevées
Tant de sentiments qui se plaisent à me déchirer
Vient un temps où tout s’arrête pour continuer
Le livre de mon cœur déborde à m’enivrer
Chaque goutte consommée me ramène à mes vérités
Un lien nous tient par nos êtres mélangés
Futiles caprices d’une fierté mal placée
Laisser de soi, parler de toi
Donner au silence une place de choix
Cette image de l’autre, l’idéal qu’on emploi
Dans l’invisible reste la perception, je crois !
Le regard envie le geste du touché
Atteindre le cœur, le frôler sans le blesser
Cueillir en offrant le mystère de survie
Prise de conscience où simple moralité ?
Je ne sais plus, puisque je me laisse dépasser
Peut-être une halte sur l’histoire de ma vie
J’aimerais te dire, entendre le souffle d’un soupir
Croire qu’un arrêt sur le temps peut nous servir
Un instant de doute peut tout faire basculer
Sans confiance, on tourne en rond, aveuglé
Incertitude qui s’invite, une part démesurée
Tellement à dire dans tes murmures mon bien-aimé
Souviens-toi destin de celui que j’ai choisi
Te rappelle-tu nos rires, ta façon de m’attendrir ?
Consommée de plaisir, je succombe au désir
Je m’interroge, cherchant une cause inavouée
Retrouver mon autre, unir nos âmes perdues
Que nos remords ne deviennent des regrets.
Hayet.
Nourrir de mots mes pensées inachevées
Tant de sentiments qui se plaisent à me déchirer
Vient un temps où tout s’arrête pour continuer
Le livre de mon cœur déborde à m’enivrer
Chaque goutte consommée me ramène à mes vérités
Un lien nous tient par nos êtres mélangés
Futiles caprices d’une fierté mal placée
Laisser de soi, parler de toi
Donner au silence une place de choix
Cette image de l’autre, l’idéal qu’on emploi
Dans l’invisible reste la perception, je crois !
Le regard envie le geste du touché
Atteindre le cœur, le frôler sans le blesser
Cueillir en offrant le mystère de survie
Prise de conscience où simple moralité ?
Je ne sais plus, puisque je me laisse dépasser
Peut-être une halte sur l’histoire de ma vie
J’aimerais te dire, entendre le souffle d’un soupir
Croire qu’un arrêt sur le temps peut nous servir
Un instant de doute peut tout faire basculer
Sans confiance, on tourne en rond, aveuglé
Incertitude qui s’invite, une part démesurée
Tellement à dire dans tes murmures mon bien-aimé
Souviens-toi destin de celui que j’ai choisi
Te rappelle-tu nos rires, ta façon de m’attendrir ?
Consommée de plaisir, je succombe au désir
Je m’interroge, cherchant une cause inavouée
Retrouver mon autre, unir nos âmes perdues
Que nos remords ne deviennent des regrets.
Hayet.
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