Autrefois appelée Numidie
Je me suis toujours dis
Que je serais le carrefour des communautés
Parceque mon paysage inspirait la beauté
Jeune, belle et fraîche
J'en ai fais sortir de ma crèche
Des hommes fiers et beaux
Qui m'ont écris de jolis mots
Plus éloignée que jamais de mon objectif
D'harmoniser le concert des nations
Pas besoin d'être doué du meilleur sens auditif
Pour savoir que je suis pleine de consternations
Epuisée, usée, et abusée
par ceux qui se croient rusés
Je suis aujourd'hui fatiguée
De devoir encore voguer
On m'a chanté, glorifié mais aussi pleuré
Pour mon maquis responsable de beaucoup de choses
Souvenez vous lorsque sur les tombes j'ai déposé des roses
A cause des bombes déposées par les sangliers de la forêt
Et lorsque ma jeunesse a souffert
Tabassée par ceux à qui elle a donné la clé
Et lorsque la nature s'est acharnée
A me prendre mes enfants en laissant leur mère
Des tragédies, j'en ai vu passé
Pourtant, du bonheur aussi j'en ai eu
Que dire alors à tous ceux qui se sont lassés
Et qui sont partis regrettant ce que je fus
A tout ceux qui n'attendent plus rien
Je leur dis que je suis la mère des Algériens
A tout ceux qui ont préféré une autre reine
Je leur dis que je suis la mère des Algériennes
Peut être qu'un jour, un nouvel héros
viendra me prendre la main et me rendre ma gloire
Mes chers enfants, ne perdez pas espoir
Car ceux qui me trahissent, j'en fais des bourreaux
D'ici là, faites moi confiance
Et sachez la valeur de la patience
Pour que demain, le desespéré sourit
Lorsque vous prononcez mon nom: "Algérie"
Je me suis toujours dis
Que je serais le carrefour des communautés
Parceque mon paysage inspirait la beauté
Jeune, belle et fraîche
J'en ai fais sortir de ma crèche
Des hommes fiers et beaux
Qui m'ont écris de jolis mots
Plus éloignée que jamais de mon objectif
D'harmoniser le concert des nations
Pas besoin d'être doué du meilleur sens auditif
Pour savoir que je suis pleine de consternations
Epuisée, usée, et abusée
par ceux qui se croient rusés
Je suis aujourd'hui fatiguée
De devoir encore voguer
On m'a chanté, glorifié mais aussi pleuré
Pour mon maquis responsable de beaucoup de choses
Souvenez vous lorsque sur les tombes j'ai déposé des roses
A cause des bombes déposées par les sangliers de la forêt
Et lorsque ma jeunesse a souffert
Tabassée par ceux à qui elle a donné la clé
Et lorsque la nature s'est acharnée
A me prendre mes enfants en laissant leur mère
Des tragédies, j'en ai vu passé
Pourtant, du bonheur aussi j'en ai eu
Que dire alors à tous ceux qui se sont lassés
Et qui sont partis regrettant ce que je fus
A tout ceux qui n'attendent plus rien
Je leur dis que je suis la mère des Algériens
A tout ceux qui ont préféré une autre reine
Je leur dis que je suis la mère des Algériennes
Peut être qu'un jour, un nouvel héros
viendra me prendre la main et me rendre ma gloire
Mes chers enfants, ne perdez pas espoir
Car ceux qui me trahissent, j'en fais des bourreaux
D'ici là, faites moi confiance
Et sachez la valeur de la patience
Pour que demain, le desespéré sourit
Lorsque vous prononcez mon nom: "Algérie"
Vive l'Algérie.
Moha.
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