Nore ami vient de nous quitter
Laissant derrière lui de la tristesse.
Durant un mois, il nous a accompagnés
Et aujourd'hui il s'en est allé.
Que garde-t-il de son séjour parmi nous ?
De la joie ou des regrets ?
Avons-nous su partager, aimer ?
Notre ami ne doit pas partir le coeur lourd
Mais doit être heureux des moments passés près de nous.
Il a festoyé avec nous
A la table du Coran, des invocations, des prières.
Nous avons été des hôtes sincères
Essayant de le recevoir tel un roi
Ne voulant jamais le négliger
Essayant toujours de le choyer
Afin qu'il est de la peine de nous quitter.
Ne soyons pas de ceux qui ne savent pas recevoir cet ami
Conjuguant seulement soif et faim
Sans jamais satisfaire son appétit de spiritualité.
Notre ami s'en va,
La tristesse nous gagne ainsi que la peur :
Ai-je accueilli mon ami convenablement ?
M'a-t-il aimé ou est-il heureux de se retirer ?
Mon ami si précieux aime moi et
Ne me laisse pas en ce Jour où chaque action comptera.
Mon ami d'un mois, tu étais là et tu n'es plus.
Dans un an je te retrouverai
Différent car celui que je laisse n'est plus,
Faisant parti du passé, de mon passé.
Tu laisses dans mon coeur le goût de la piété.
Tu m'as tant apporté.
Ô mon ami d'un mois, ô toi mon ami "jeûne de Ramadan" !
Ô toi mon ami de foi, de joie !
..
Anonyme poete
Laissant derrière lui de la tristesse.
Durant un mois, il nous a accompagnés
Et aujourd'hui il s'en est allé.
Que garde-t-il de son séjour parmi nous ?
De la joie ou des regrets ?
Avons-nous su partager, aimer ?
Notre ami ne doit pas partir le coeur lourd
Mais doit être heureux des moments passés près de nous.
Il a festoyé avec nous
A la table du Coran, des invocations, des prières.
Nous avons été des hôtes sincères
Essayant de le recevoir tel un roi
Ne voulant jamais le négliger
Essayant toujours de le choyer
Afin qu'il est de la peine de nous quitter.
Ne soyons pas de ceux qui ne savent pas recevoir cet ami
Conjuguant seulement soif et faim
Sans jamais satisfaire son appétit de spiritualité.
Notre ami s'en va,
La tristesse nous gagne ainsi que la peur :
Ai-je accueilli mon ami convenablement ?
M'a-t-il aimé ou est-il heureux de se retirer ?
Mon ami si précieux aime moi et
Ne me laisse pas en ce Jour où chaque action comptera.
Mon ami d'un mois, tu étais là et tu n'es plus.
Dans un an je te retrouverai
Différent car celui que je laisse n'est plus,
Faisant parti du passé, de mon passé.
Tu laisses dans mon coeur le goût de la piété.
Tu m'as tant apporté.
Ô mon ami d'un mois, ô toi mon ami "jeûne de Ramadan" !
Ô toi mon ami de foi, de joie !
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Anonyme poete

"Ravi de passer mon 2éme ramadan sur Fa "
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