Inconnu sans nom,
Etranger sans visage,
Fantaisie ou fantasme,
Esclave de mon imagination puerile,
Jour apres jour, je te faconne...
Sultan de mes pensees,
A la peau d'olive,
Idole ou illusion... je ne sais plus..
Omnipresence infinie,
Tu peuples tous mes reves
Nevrose obsessive frisant presque la folie,
Pour qui la raison est impotente,
Et la logique, helas! une moquerie!
Perdante ou gagnante, que m' importe!
C'est une lutte sans merci
La lutte d'une damnee
Pour un paradis tant convoite...!!
Dans un tourbillon magique tu m'entraines.
Perdus dans ces ecumes vertigineuses,
L'un pres de l'autre
Nos deux corps glissants s'entrelacent
Ivres, insatiables..
Tu deviens cette torche incendiaire
Rallumant les cendres de mon ame,
Mon etre, cet autel incandescent
Defiant les orages et la pluie
S'offre en ultime sacrifice...
Prisonniere de ta loi, j'implore aujourd'hui ma liberation,
Derriere ces barreaux, je tends mes bras
Impuissants, affaiblis et suppliants
Tu restes muet,
Tu me reponds par ton cynisme..
Dehors, j'entends hurler l'ouragan de l'oubli,
Charriant avec lui les feuilles mortes du passe,
Balayant dans sa memoire desinvolte nos souvenirs de papier....
Un instant, rien qu'un instant
Laisse- moi cueillir notre dernier moment,
Ces gouttes de pluie
Larmes froides et solitaires
Sur mes levres ameres et dessechees......
Etranger sans visage,
Fantaisie ou fantasme,
Esclave de mon imagination puerile,
Jour apres jour, je te faconne...
Sultan de mes pensees,
A la peau d'olive,
Idole ou illusion... je ne sais plus..
Omnipresence infinie,
Tu peuples tous mes reves
Nevrose obsessive frisant presque la folie,
Pour qui la raison est impotente,
Et la logique, helas! une moquerie!
Perdante ou gagnante, que m' importe!
C'est une lutte sans merci
La lutte d'une damnee
Pour un paradis tant convoite...!!
Dans un tourbillon magique tu m'entraines.
Perdus dans ces ecumes vertigineuses,
L'un pres de l'autre
Nos deux corps glissants s'entrelacent
Ivres, insatiables..
Tu deviens cette torche incendiaire
Rallumant les cendres de mon ame,
Mon etre, cet autel incandescent
Defiant les orages et la pluie
S'offre en ultime sacrifice...
Prisonniere de ta loi, j'implore aujourd'hui ma liberation,
Derriere ces barreaux, je tends mes bras
Impuissants, affaiblis et suppliants
Tu restes muet,
Tu me reponds par ton cynisme..
Dehors, j'entends hurler l'ouragan de l'oubli,
Charriant avec lui les feuilles mortes du passe,
Balayant dans sa memoire desinvolte nos souvenirs de papier....
Un instant, rien qu'un instant
Laisse- moi cueillir notre dernier moment,
Ces gouttes de pluie
Larmes froides et solitaires
Sur mes levres ameres et dessechees......
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