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L’obscurité de la fin

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  • L’obscurité de la fin

    De cette obscurité aveuglante, je me rebelle
    Ce silence cathédral bourdonne fort dans mes oreilles
    Quelles échappatoires restent-elles pour s’enfuir?
    Chaque tentative ratée ne fait que me détruire
    Des sentiments que je différencie plus entre l’incapacité et l’émoi
    Des échecs successifs et retentissants jettent sur moi le désarroi
    J’aimerai bien y retourner pour corriger mes fautes
    Refaire le chemin inverse et vaincre mes doutes
    Je veux repartir pour corriger le tir et revenir
    Les portes sont fermées et ici est désormais mon avenir
    Ma courte vie, je l’ai voulue tellement parfaite
    Qu’aucune victoire éphémère n’a pu effacer cette défaite
    Je me souviens encore de mes torts tels des tatouages
    Et de la mort qui me guettait à chaque dérapage
    Je me tortille encore au fond de mon trou exigu et dédaigné
    Cette demeure que je ne quitterai que pour le jugement dernier
    Je cherche encore mes succès et ne trouve que méfaits
    Ma balance se penche d’un côté et de quel côté ?
    Mon corps dépourvu d’âme jonche le sol flegmatique
    Raide et érodé par des insectes insatiables et faméliques
    C’est la fin, la mienne sans conteste
    De là où je suis, je prie Dieu pour qu’il atteste
    Mes prières même tardives et ma sincère repentance
    Que mes enfants imploreront pardon et clémence


    B.B ( El Aneb)

  • #2
    Des sentiments que je différencie plus entre l’incapacité et l’émoi
    Des échecs successifs et retentissants jettent sur moi le désarroi
    J’aimerai bien y retourner pour corriger mes fautes
    Refaire le chemin inverse et vaincre mes doutes
    Je veux repartir pour corriger le tir et revenir
    Ma signature préférée ( J'aurai aimé être un pc pour pouvoir redémarrer ma vie en mode sans échec )
    mais ..Ainsi va la vie ..
    Très joli Anebneu ..merci pour le partage .
    J'aurais aimé être un PC pour pouvoir redémarrer ma vie en mode sans échec ...

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    • #3
      Merci d'être passée par là algérienne et merci d'avoir apprécier ces quelques mots posés pèle-mêle.

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      • #4
        Boubena


        bonjour d'aprés ce que j'ai interprété


        tu parle du début la naissance la vie et puis la fin la mort


        tu m'excuse ci j'ai mal compris

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        • #5
          Non je parle de la mort...les sentimens de remords qui nous submergent quand on n'a pour habille qu'un linceul, n'a pour demeure qu'un trou humide et glacé et n'a pour accompagnateur que nos faits dans la vie.

          Commentaire


          • #6
            Boubena

            donc j'ai bien compris et tu auras une conclusion de ma part sur cette discusion


            à ci ont pouvait ???

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            • #7
              Inchallah Fakrouna.

              Ca sera avec plaisir de lire tes interventions comme à l'accoutumée.

              Commentaire


              • #8
                Macabre my dear Watson.

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                • #9
                  tu es re-tombé malade, deja !

                  c est sombre a souhait et tellement vrai .

                  moi j en redemande... ca change !

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                  • #10
                    C'est un symptôme de guérison May. Avant, je n'ai pas -presque jamais tenté d'écrire dans ce genre de poésie- des poèmes noirs.
                    Ils étaient tous - même quand ils étaient gris - accompagnés d'un message d'espoir et d'un appel à la délivrance. Pour celui-là, la fin est irréversible hélas (l'espoir résidera plutôt de ce que feront les autres pour nous et là je parle bien de notre progéniture).

                    moi j en redemande... ca change !
                    à tomber malade?

                    Macabre my dear Watson.
                    Sometimes, it is necessary to not forget this fact for not exaggerate its enjoyment. Is'nt it my darling?

                    Commentaire


                    • #11
                      TchektchoukaMacabre my dear Watson.


                      du français svp pour qu'ont puissent répondre

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                      • #12
                        Sometimes, it is necessary to not forget this fact for not exaggerate its enjoyment. Is'nt it my darling?
                        In the midst of life, we are in death. [citation du requiem de l'église catholique romaine]

                        En français: Au milieu de la vie, nous sommes déjà dans la mort

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                        • #13
                          merçi pour ta réponse colomb


                          vous vous parler de la vie et de la mort moi je suis un mort vivant dans mon propre pays


                          mon symbole la valise et partir sans retour

                          Commentaire


                          • #14
                            Tchek,

                            Je suis encore au début mais personne ne pourra le confirmer.
                            Dieu seul le sait.

                            Donc, à j+1 de notre naissance, on peut déjà être au milieu de notre vie.
                            Multiplier par deux et tu auras notre mort...C'est presque blasphémtoire.


                            Fakrouna,
                            vous vous parler de la vie et de la mort moi je suis un mort vivant dans mon propre pays. Mon symbole la valise et partir sans retour
                            Que diraient vos sujets mon roi si vous êtes déjà mort vivant parmi ls votre et dans votre royaume entouré par votre reine. si vous voulez une seconde reine, vous n'avez qu'à nous le dire. J'orgniserai un casting ce soir. Vous êtes au courant que je suis le meilleur pour cette tâche....

                            Non, Fakrouna trouh we tekhlina wehdna tels des orphelins? lala ya sidi essoltane..

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                            • #15
                              Non Anebpnou, c'est plus subtile que ça.

                              Si on s'en tient au language des mathématiques, la vie est un vecteur qui va dans un sens unique -------> la mort.

                              On peut donc la mesurer dès le début, ou en faisant marche arrière depuis sa fin. Qu'est ce que la vie si ce n'est une course vers la mort inévitable? Au plein milieu de la vie, on est déjà dans la mort qui rode dans le coin.

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