Soleil de ma vie
Pétale de la nuit
Croissant de ma lune
Appétit sans faim
Caresses du lendemain
Je reviens demain
D’un voyage si loin
Où le vent m’emporte
La nuit quand tout dors
Passer la fenêtre
Là nue sous ma couette
Passé le chemin
Qui m’emmène si loin
De la nuit des étoiles
Toiles invisibles
Tissées de corail
Au parfum de jasmin
La nuit mon amie
Sait bien cela
Et parfois l’amour
Sans faire de détour me cherche
En vain
Je ne suis qu’une ombre
De notre destin
Repas sans vin mais
Que d’ivresse de liesse
Qui nous grise sans fin
Amant de la nuit
Démon que je suis
Ange fatal
Mais idéal
Ombre et lumière
Coups de tonnerre et fruits D’enfer
Chasse la lumière
Qui ne fait que brûler
Sans rien demander
Ouvres moi ta porte
Où tu seras morte
En dedans de moi
Explose ta conscience
En un grondement de joie
La vie sera morte sans
Ça
Ouvre moi ton cœur
D’encre et de frayeur
Ombres cruelles cauchemar
De ta vie
Sans moi
Ton bonheur sans pleurs
Ne sera que feu de joie
Tiède et insipide
Frustrant et sinistre
Pff ! Laisse moi
Cruel que je te tonde
Tes sinistres pensées
Enrobées dans du café
De mauvaise qualité
Tu prêches que du vent
Et l’air que tu inspires
N’est rien à coté du souffle
D’un amant
Tempête indicible
Astre je t’attends
Que ton éclair jaillisse du néant
Sans bruit mais avec grâce
Surgit comme le vent
Soufflant sur la terre
Pour tous les vivants
Morjane
13 Avril 2003
Pétale de la nuit
Croissant de ma lune
Appétit sans faim
Caresses du lendemain
Je reviens demain
D’un voyage si loin
Où le vent m’emporte
La nuit quand tout dors
Passer la fenêtre
Là nue sous ma couette
Passé le chemin
Qui m’emmène si loin
De la nuit des étoiles
Toiles invisibles
Tissées de corail
Au parfum de jasmin
La nuit mon amie
Sait bien cela
Et parfois l’amour
Sans faire de détour me cherche
En vain
Je ne suis qu’une ombre
De notre destin
Repas sans vin mais
Que d’ivresse de liesse
Qui nous grise sans fin
Amant de la nuit
Démon que je suis
Ange fatal
Mais idéal
Ombre et lumière
Coups de tonnerre et fruits D’enfer
Chasse la lumière
Qui ne fait que brûler
Sans rien demander
Ouvres moi ta porte
Où tu seras morte
En dedans de moi
Explose ta conscience
En un grondement de joie
La vie sera morte sans
Ça
Ouvre moi ton cœur
D’encre et de frayeur
Ombres cruelles cauchemar
De ta vie
Sans moi
Ton bonheur sans pleurs
Ne sera que feu de joie
Tiède et insipide
Frustrant et sinistre
Pff ! Laisse moi
Cruel que je te tonde
Tes sinistres pensées
Enrobées dans du café
De mauvaise qualité
Tu prêches que du vent
Et l’air que tu inspires
N’est rien à coté du souffle
D’un amant
Tempête indicible
Astre je t’attends
Que ton éclair jaillisse du néant
Sans bruit mais avec grâce
Surgit comme le vent
Soufflant sur la terre
Pour tous les vivants
Morjane
13 Avril 2003
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