Ton eau claire et ton étendue au calme olympien me rassurent,
La brise naissante des profondeurs de tes abysses,
Fraîchement parfumée d’iode pur m’envoûte,
A rester là, méditant, à contempler ton âme sacrée,
Tes vagues réduites par le silence complice du vent,
Viennent en clapotant gaiement et sur mes orteils vieillissants,
Mourir, amoureusement, en douces caresses et vont,
Mouiller, d’un doux baiser, cette immense plage au sable doré,
Inlassablement ils continuer à laver cette souillure lointaine
Mais toujours inquiet par cet horizon obscurci et incertain,
D’où me parvient, encore, des chuchotements perfides,
Des lois votées glorifiant les biens faits de la colonisation,
Des clairons sonnants le réveil de la bêtise humaines
Des bruits d’armes aiguisées, le son sourd des boulets rangés
Des navires fantômes discrètement glissés sur l’eau,
Attendons patiemment la discorde de tes enfants,
Guettons jours et nuits le fléchissement des gardes côtes,
Mais serait il possible, aujourd’hui, aux enfants de Ben M’hidi,
D’Amirouche, de Si El-Haoues et d’El-Mokrani,
De ne pas être à ce point éveillés et bien sur leurs gardes,
Et préserver pour toujours dans la dignité leur mère patrie,
Loin des goinfreries de la corruption insatiable,
Et les tentations malveillantes d'autrui ?
rosier belda.
La brise naissante des profondeurs de tes abysses,
Fraîchement parfumée d’iode pur m’envoûte,
A rester là, méditant, à contempler ton âme sacrée,
Tes vagues réduites par le silence complice du vent,
Viennent en clapotant gaiement et sur mes orteils vieillissants,
Mourir, amoureusement, en douces caresses et vont,
Mouiller, d’un doux baiser, cette immense plage au sable doré,
Inlassablement ils continuer à laver cette souillure lointaine
Mais toujours inquiet par cet horizon obscurci et incertain,
D’où me parvient, encore, des chuchotements perfides,
Des lois votées glorifiant les biens faits de la colonisation,
Des clairons sonnants le réveil de la bêtise humaines
Des bruits d’armes aiguisées, le son sourd des boulets rangés
Des navires fantômes discrètement glissés sur l’eau,
Attendons patiemment la discorde de tes enfants,
Guettons jours et nuits le fléchissement des gardes côtes,
Mais serait il possible, aujourd’hui, aux enfants de Ben M’hidi,
D’Amirouche, de Si El-Haoues et d’El-Mokrani,
De ne pas être à ce point éveillés et bien sur leurs gardes,
Et préserver pour toujours dans la dignité leur mère patrie,
Loin des goinfreries de la corruption insatiable,
Et les tentations malveillantes d'autrui ?
rosier belda.